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Tu évites les monstres en te rendant à la plus basse étagère. Tu le dépose délicatement, avant de te retourner vers les royautés. Ils marchent d'un pas lent attiré par les cris de l'enfant. Tu t'éloigne de leur proie, t'approchant de la porte. Tu ne sais plus ce que tu peux faire. Tu ne sais plus ce qu'ils vont faire.

Les deux horribles tendent les bras vers le criard, sans pour autant l'atteindre. Tu pousses un long soupir, contente de ta trouvaille lorsque ton coeur se sert: les affamés secoue l'étagère, faisant basculer l'enfant. Les longs ongles de la princesse transperces la peau du torturé avant qu'elle ne le saisisse et en fasse son repas. Tu ne peux t'empêcher de crier longuement, dévasté par l'atrocité du spectacle.

Les monstres se retournes vers toi, te fixe de leurs grand yeux corpulent, intrigué par ta détresse. Avec peine, tu sors de la pièce, pleurant comme si ce n'était ce que tu pouvais faire. Dans le couloir, il n'y avait plus rien. Ni monstres, ni sang, ni chaises roulantes. Seulement le vide et son silence.

Tu te dirige vers une porte, sans trop te contrôler désormais. Une fois la porte ouverte, tu découvre une petite pièce, munis d'un simple lavabo et d'un miroir. Ton reflet, n'a rien qui te ressemble. De grandes cernes noirs entoures tes yeux, tes joues sont creusent.

Mais le plus effrayant de ton visage, c'est que ton menton et tes lèvres sont couvertes de sang. Lentement, le sentiment neutre, tu passe de l'eau sur ton visage, effaçant tout rouge qui puisse y être. 

Le lendemain on te retrouva dans ton lit d'hôpital, qui dormais paisiblement. On jugea correcte de te rapporter à la maison dès le début d'après-midi. Les monstres restèrent pour toi un secret jamais dévoilé.

Tu aura sus survivre. Du premier coup? Presque impossible... Ce n'est pas une si belle fin si on y réfléchis. Pourquoi mérites-tu plus de vivre que ces deux enfants que tu aura abandonné. Et abandonné, n'est pas le meilleurs termes, si on connait le secret de l'histoire. Mais ce secret, seul les plus perspicace et moi même le connaissons. Le connais-tu? Viens t'essayer en messages privée... Le jeux ne se termine jamais. La vie oui.

La folie à vos trousses - l'histoire dont VOUS êtes l'héros - 2 -Where stories live. Discover now