La folie à vos trousses - l'histoire dont VOUS êtes l'héros - 2 -

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Malgré la douleur, tu te lève debout, mais tu as à peine fait un pas, que ton corps s'écrase lamentablement sur le sol. Soudainement, tout les objets qui volait dans la salle s'immobilise. Une horrible douleur te saisit à la tête.

Un son aigu retentit à tes oreilles. Tu ouvre douloureusement les yeux. Tout est flou. Il liquide opaque coule le long de ton bras. Des morceaux de vitre son étalé sur le sol. Tu es dans un autobus, un autobus renversé sur le côté. Couché sur un corps salit par son sang, tu tente de te relevé. Aucun muscle n'obéit, tu reste donc étendu sur cette pauvre personne, dont le crâne est percé par des morceaux de vitre maintenant rougeâtre.  Garder les yeux ouvert est difficile... Devant toi s'avance une ombre. Tu ne parvient pas à voir son visage, il est couvert par une cagoule. Tes yeux son attiré par un objet brillant qui pend à sa main. Une hache. Dont coule le sang.

L'homme s'avance vers toi, marmonnant un air enfantin:

Son reflet coule dans l'eau
Comme sa main qu'il osa trempé
Le jeune homme se trouva sot
D'avoir osé quitter le quai

Il vus au fond un carpeaux
Qu'il voulu vite attrapé
Il tomba, aussitôt
Dans l'eau qui le fit coulé

La silhouette couverte d'une cagoule s'avança vers toi, sa hache pendouillant à sa main.

Il est perdu le petit enfant
Il est perdu presque noyé
La douce peau que caressait le vent
De mes mains fut retrouvé

Je la tranchai toute lentement
Respirant l'odeur salé
Je lui fit coulé le sang
Mon plaisir décuplé

Encore là, je l'entend
Qui me supplie d'arrêter
De ma hache je le fend
De ma hache je l'ai tué

Tes yeux s'ouvrent difficilement. Tu constate que tu viens pour la deuxième fois de faire ce rêve sanglant. Mais cette fois, l'homme avait chanter. Et pourtant cette air, ne t'es pas inconnu.

Pendant que tu réfléchis à la provenance de cette chanson, tu remarque que deux pieds se retrouve à l'autre extrémité de la salle. Et ces deux pieds, accompagnent un corps entier.

Chapitre 38