CHAPITRE 3

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POINT DE VUE MARK.

  Je me réveille, ce matin, sans les pleures de ma fille étant donné que c'est Callie et Arizona qui s'occupent de ma petite Sofia. Je me lève avec la bonne odeur du café. Je vais en direction de la cuisine, il y avait Julia qui faisait des pancakes, toujours avec son grand sourire.

-            Coucou, chérie !, me dit-elle.

-            Hey !, lui répondis-je en allant l'embrasser avec un faux sourire.

  Je ne pensais pas du tout qu'elle resterait cette nuit, et encore moins ce matin, durant le rendez-vous, j'ai été clairement absent ; je ne répondais que par des onomatopées ou par de courtes phrases qui ne dépassait pas les environs de 10 mots.

-            Tu as l'air mieux qu'hier ! Tu veux un pancake ?, me demande-t-elle.

-            Non, non, ça va !, tentai-je d'avoir l'air en pleine forme.

-            Qu'est-ce que tu avais hier soir ? La dernière fois que tu étais comme ça, c'était avant de partir pour les siamoise, c'était quand Lexie t'avais parlé et-et-et là aussi...

  Eh merde ! Elle vient de perdre son sourire. Merde ! Elle se rend compte de quelque chose. Je t'en supplie, Julia, ne pose pas cette question.

-            Tu crois qu'elle a des sentiments pour toi ?

  Eh merde !

-            Lexie ? Non, pas du tout, elle est passée à autre chose !

-            Et toi... Tu es aussi passé à autre chose ?

  Double merde.

-            Bien sûr que oui !, menti-je.

-            Mark, je suis certes, parfois un peu naïve, mais je suis très loin d'être conne...

  C'est bon, voilà, ça, c'est un signe de rupture. Je suis pratiquement sûr qu'elle sent que j'ai toujours des sentiments pour mini Grey, elle le sait.

-            Elle n'est pas passé à autre chose comme toi. C'est évident ! Ce n'est pas normal qu'une aussi jolie et intelligente fille comme elle soit célibataire.

  Tu m'étonnes !

-            Tu sais quoi ? Je vais aller la poliment et lui dire de t'oublier parce que Mark Sloan est pris !

  Après le petit-déjeuner, qui est sans doute classé dans un des pires de ma vie, nous allons au Seattle Grace

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  Après le petit-déjeuner, qui est sans doute classé dans un des pires de ma vie, nous allons au Seattle Grace. Durant tout le trajet, elle n'a cessait de me demander si ce n'était pas trop méchant ou déplacé ce qu'elle allait dire à Lexie. Je lui répondais à chaque fois que non, qu'elle utilisait les bons termes, ainsi de suite...

It's possible that two people really love each other and it just isn't enough ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant