MJ-Fiction-2958

Chapitre 23

« Michael : (me chuchote) Tu sais .. si tu n'es pas prête je ne t'oblige à rien...
Julie : Oui... je sais, mais j'ai envie..
Michael : (me regarde avec de yeux d'ange) Tu es sûr ? »

Je l'embrassa pour lui répondre, il souriait en même temps. Il descendit sa main vers mes parties plus intimes, que c'est excitant mon dieu.. Il vient m'embrasser le cou, doucement, en prenant son temps tout en continuant à me caresser. Il fini par descendre doucement mon shorty jusqu'à me retrouver nu devant lui

Il me regarda avec un petit sourire au coin. Je m'allongea sur le ventre, gêné de son regard sur moi. C'est tout nouveau pour moi, le regard d'un homme sur mon corps, et même moi par moment, je n'ose me regarder dans le miroir. Il vient se coller à mon dos, mettant sa tête sur celui-ci. Sa main caressait les courbes de mon corps, me provoquant de multiples frissons. Ses lèvres frôlaient mon oreille, je sentais sa respiration, il me dit en chuchotant : "Tu n'as pas à te cacher, crois moi, tu es.. magnifique. Laisse moi te regarder mon amour..." Je ne bougeais pas pour autant de place. Il se releva et se replaça quelques seconde plus tard à la même place. Mais.. il y avait quelque chose de changé.. "Voilà, comme ça on est à égalité". Il me retourna doucement pour me retrouver allongeait sur le dos. Alors oui, lui aussi avait la même tenu que moi. Je resta figé sur son corps, mon dieu quel corps.. Il ricana et prit les draps pour les mettre au dessus de nous "Voilà, comme ça je ne te verrai pas" il me fit un clin d'oeil. Il était si compréhensif.. Comment j'ai pu arriver dans les bras d'un ange comme lui?.. Il porta doucement et avec hésitation sa main vers mes parties intime. Je mordis mes lèvre en le regardant faire. Il passa un de ses doigt sur la partie la plus érogène de la femme. Il me tira un faible gémissement, c'était tellement étrange de le sentir me faire ça. Mais j'en prenais mon pied. Je laissa tout le stresse de mon corps s'envoler. Les draps, les oreillers, ses mains, ils étaient tous aussi doux les uns que les autres. Et plus les minutes passaient, plus ses caresses s'intensifiés. Je sentais son sourire portait sur moi, fermant les yeux et en lâchant quelques gémissement dut à ses caresses.

Je ne savais pas quelle mouche m'avait piqué, l'excitation peut être, les caresses qu'ils me procuraient. Mais j'osais, j'osais le toucher, toucher son torse, son dos, son ventre. Et plus ça continuait, plus mes mains glissaient le long de son corps. Il s'arrêta de me caresser pour regarder ma main glisser le long de son corps. Il ravala sa salive plusieurs fois même. Je me redressa doucement sous son regard surpris. Je mis mes mains sur son torse, le poussant à s'allonger sur le lit. Je me mise alors à califourchon sur lui, posant mes mains sur son torse et m'emparant de ses douces lèvres. Ma main descendit le long de son torse. Arrivant jusque sur ses parties intimes. Ma main toucha son fruit défendu. Il se mordit les lèvres en regardant ma main sous les draps. Sa respiration s'accéléra de plus en plus à force de sentir ma main près de son joujou. Je me recula pour me mettre sur le côté. Je regarda les draps, il tourna son regard également sur eux. Il se mordit les lèvres et détourna son regard du mien pour m'empêcher de le voir. Il était surement gêné de la situation. On pouvait y voir une bosse assez.. importante on va dire. Pour tout vous dire, pour moi la situation n'étais pas si gênante. Elle était plutôt excitante à vrai dire.. Même très excitante. Je tira avec excitation les draps et découvrit sa virilité. Wouah.. quelle virilité, à en couper le souffle. Lui n'avait pas bougé depuis. Contre toute attente, je pris son joyaux dans ma main. Il tourna sa tête surpris vers moi, et porta son regard vers ma main.

C'est très bizarre cette sensation.. Je commença à bouger ma main sur son pénis. Il se mordit fort les lèvres tout en me regardant faire. C'était tellement bizarre cette sensation, mais j'adorais ça. Je m'approcha plus près de lui tout en continuant de le masturber un peu plus vite. Il s'empêchait de gémir, mais c'était peine perdu. Il posa sa tête sur son oreiller en mettant ses main sur son visage. Que c'est excitant tout ça, je n'arrive toujours pas à croire se que je suis entrain de lui faire. Et je n'arrive toujours pas à croire se que je vais faire là. Je me pencha encore plus sur lui, prête à dévorer cette lolipop rien que pour moi. J'ouvris la bouche et entra son pénis en refermant mes lèvres dessus. Oh la vache.. c'est.. très.. bizarre, mais.. plutôt.. agréable.. même plutôt bon bizarrement. Il me regardait avec d'énormes yeux, je crois qu'il est aussi surpris que moi. Je commence à faire des allés et venue sur son pénis. Il se mort encore une fois ses lèvres, un tic tellement adorable et sexy même. Il soufflait de plus en plus en sentant ma bouche s'enfoncer de plus en plus sur son pénis. Tellement qu'il en grognait maintenant. Je me redressa quelques minutes plus tard et m'allongea sur le lit. Il vient se mettre au dessus de moi et m'embrassa le cou.

Le moment était arrivé, il remit les draps sur nous et me regarda intensément dans les yeux. Il prit un préservatif dans son sac et l'enfila, je le regardais faire tout en ayant une boule dans la gorge. Il me regarda dans les yeux, ses magnifiques yeux, je pense qu'il est aussi stressé que moi.. Je mis mes bras autour de sa nuque pour venir poser mes lèvre sur les siennes. Ses douces lèvres qui me font tourner la tête, son odeur qui me captive toujours autant depuis toutes ces années. Son corps qui m'attire de plus en plus. Je suis folle.. complètement folle de lui.. il m'a toute entière, c'est une évidence. Vas-y Michael, je suis à toi, toute à toi. Fais de moi se que tu veux. L'amour rend décidément aveugle. Tout en continuant à nous embrasser, il mit son pénis à l'entrée de mon vagin, et força dessus pour y rentrer. J'arrêta de l'embrasser pour m'empêcher de crier, non des cries d'excitation, mais plutôt de douleur. Oui il me faisait extrêmement mal. Il se retira rapidement pour m'épargner la douleur et pour m'embrasser sur le front "Désolé.. je voulais pas te faire mal" me dit-il doucement. Je sentais dans sa voix qu'il se sentais coupable "recommence.." lui disais-je. Il me regarda surpris et après quelques instants de réflexion se remis en place. Il entra progressivement dans mon vagin, le plus doucement possible pour éviter de me faire trop mal d'un coup. Il faut dire qu'il n'en avait pas une très petite.. alors bon.. pour une première fois ce n'est pas le pied.. mais.. plus tard.. hm.. surement.

Il resta enfoncé pendant quelques instant, le temps que je m'habitue à lui, et lui à moi pour tout dire. Ca me fais très bizarre de ressentir ça, alors lui.. ça doit être encore plus bizarre. Il bougea tout de même un peu pour nous décoincer, mais il attendait mon feu vert pour y aller. Il me regarda dans les yeux, il lisait à travers  pour être plus exacte. Il avait le feu vert. Je mis mes bras autour de sa nuque pour le rapprocher de moi, comme si je n'étais déjà pas proche de lui à ce moment.. mais j'en avais besoin. Il démarra doucement ses coups de hanche. Les premiers furent douloureux, mais plus il continuait, plus ils étaient agréable. Comme si toute la tension était partie en un claquement de doigt. Plus les minutes passaient, plus il allait vite, d'où lui venait cette rapidité ? Ca je n'en sais rien, mais se que je sais, c'est que cela nous procuraient un bien fou, indescriptible. Nos respirations étaient à l'unissons, tout comme nos battements de coeurs qui s'accéléré de plus en plus. Ce plaisir était incontrôlable. Tellement divins que je ne serais l'expliquer plus longtemps. La chaleur était à son comble, une chaleur épouvantable, mais nous étions tellement bien tout les deux. J'osai lui montrer mon corps, je n'avais pas peur de son regard. Je lisais dans ses yeux du désir, et surtout de l'amour. Un amour que je ressentais également.

Après nos débats, nous restions là, à nous regarder. Ses bras tremblaient tellement cette sensation était forte. Alors c'est ça, faire l'amour. J'adore ça en tout cas. Je ne parle pas du désir et de l'excitation qui nous avait aveuglé, mais plutôt de nos regards. Nos regards durant cet acte. Ce regard qu'il avait, il était si doux, si rassurant, que je pourrais regarder ses yeux encore et encore.

Il me prise dans ses bras pour me porter jusqu'à la salle de bain. Il avait bien raison, on se sentirait beaucoup mieux après. Il fit couler un bain avec un gel moussant. Il y en avait de partout. Et d'ailleurs, on retomba vite en enfance, à se jeter de la mousse l'un sur l'autre dans la baignoire. Il en avait partout, c'était tellement drôle.. et tellement adorable également.

Je ne me rappelle plus vraiment de la fin de notre soirée, mais se que je sais, sais que je me suis endormi, serré dans les bras de cet perfection qui a pour nom "Michael"