Chapitre Quatre

894 77 4
                                    

Nikita

- « Ça fait 48 heures qu'elle dort, elle ne devrait pas ce réveiller? » demanda une voix enfantine, certainement celle de Kendall.

- « Je n'en sais rien mademoiselle. Je n'es jamais vue quelque chose de semblable donc... Mais je suppose qu'elle devrait, en principe, ce réveiller bientôt. » annonça la voix de Martine, je crois.

- « D'accord, merci. »

- « Hum... Kendall...? » réussis-je à articuler,  malgré mon état de semi-conscience.

- « Nikita espèce de pute ! J'ai crue que t'étais morte! Ne me refait plus jamais ça ! » s'écria ma meilleur amie en me sautant presque dessus en pleurant de joie.

- « Compris, je ne réessayerai plus... » lui répondis-je en ouvrant les yeux, et en la serrant dans mes bras tout en me mettant assise.

- « Mais tu me doits des explications. Je ne les pas dit à personne mais... Tu va devoir m'expliquer... » me chuchota-t-elle a l'oreille de façon a ce que Martine ne l'entende pas.

- « Promis. » terminais-je en souriant faiblement.

- « Donc aujourd'hui, c'est samedi. J'ai pensé que tu aimerais le savoir vue que tu dort depuis 2 jours... Qui on été vraiment long figure toi. Ne me refait plus jamais le coup, sans toi, tout est d'un ennuie mortel surtout qui à pas eu cours depuis deux jour... Bref, tient, j'ai pris des vêtement pour toi, pour quand tu allais te réveiller. Va les enfliler, on va aller prendre une petite marche autour du campus . » décida Kendall en me balançant mes vêtements.

Elle ne perd pas de temps celle .

- « Mademoiselle je crois que... »

- « Non tout va bien Martine, merci de t'inquiéter pour moi, mais tout va bien. Je t'assure. » dis-je en me levant debout pour lui prouver.

- « Je désapprouve quand même jeune fille... »

- « Je n'es même pas de blessures physique ! »

Je vis le sol tourner mais je fit mine de rien, pour qu'elle me laisse partir.

- « Si tu insiste Nikita. » soupira la fée guérisseuse en me souriant tout de même.

- « Bon! Aller, il est déjà 15 heures belle aux bois dormant ! »

- « Laisse moi une minute Dall' . »

Sur ce, je m'appropriai la salle de bain de l'infirmerie en prenant soin de barrer la porte.

Je regardai alors mon reflet dans le grand miroir face à moi. J'étais dans un piteux état. Les cheveux en batailles, on aurais dit que la 3ième guerre mondial y avais eu lieu. Des grands cernes bleutées étaient creusées sous mes yeux toujours d'un bleu totalement surnaturel. Sur mon épaules gauche, j'avais une entaille assez légère, qui avait été fait par la lame d'une hache d'un orques.

Je revis alors la scène sous mes yeux, de grands orques haut de 3 mètres , leurs peaux noirs, sales et leurs cheveux sombres et crasseux. Leurs yeux rouges imbibés de sang ne demandant que la mort de tous ceux se trouvant dans leur chemain. La salive coulant de leurs bouches remplient de dents aussi aiguisées que des lames de couteaux, criant la mort et la haine. La pointes de leurs épées et haches, imbibées de sang inconnu ne nous appartenant pas. Leurs mains fortes et meurtrières semant la mort comme une fée fait pousser des plantes.

Be DifferentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant