Kidnapped by a psychopath [ En Pause ]

Chapitre 9 ✔

Médias : Salle de bain.

~PDV Lena~

-Lucas- Lève-toi, dit-il neutrement.

-Lena- Je peux pas je te dit, râlais-je. Je suis incapable de bouger.

Je fermis enfin les yeux, incapable de les garder ouvert et je l'entendis souffler.

Tes pas obliger de m'aider sté ! Ce n'est pas comme si je venais de me faire fouetter et que j'avais le dos en sang hein ! pensais-je. J'avais tellement le goût de lui sortir cette phrase mais j'en n'ai pas la force. Je suis trop fatigué et épuiser.

Je sais qu'on se déteste, mais il pourrait garder ses mécontentements pour lui. Ce n'est pas lui qui souffre en nous deux. Ce n'est pas lui qui vient de se faire fouetter. Ce n'est pas lui qui est vulnérable devant quelqu'un qu'il la humiliait, insulter, rabaissé, intimidé...

Il ne devrait même pas se plaindre. Il n'a pas le droit de se plaindre, car pour l'instant, lui n'a rien. Moi j'ai le droit de râler, mais pas lui. Il est hors de question qu'il chiale, car il est bien en santé comparez à moi.

Sent que je ne m'y attende pas, il me souleva et je criai de douleur. Il n'a toujours pas compris se con qu'à chaque mouvement que je fais, ça fait un mal atroce ? il veut que je retombe dans l'inconscience ou quoi . La douleur se dispersa dans chacun de mes membres comme un tsunami. Tout mon corps trembles de la tête aux pieds. Je suis secoué de soubresaut et de violent spasmes. Tout mon corps brûle, me scies en deux.

Tous mes nerfs se tendirent d'un seul coup quand il me porta je ne sais ou en mode princesse, Ouais, en mode princesse putain ! On n'est vraiment pas dans un conte de fée je vous rappelle alors imaginez la situation.

Tout mon corps était tendu et je luttais pour ne pas lui hurler toutes les insultes du monde. Après tout, ce n'est pas lui qui m'a fait ça. Sa sera vraiment nul de ma part de toute lui hurler ma douleur, ma souffrance et lui cracher c'est quatre vérités.

Cette idée est très t'entente, je le hais. Il est un des sources de mes malheurs, mais je ne peux pas faire ça. Je ne veux pas me rabaisser à son niveau. Je n'humilie pas les gens, même quand j'aurais de bonnes raisons de le faire. Car si je le fais, sa veux dire que je serais devenu comme eux - lui et Sandrine - et en aucun cas, je ne veux que ça se produise.

Mes yeux sont toujours fermés. Je ne bouge pas d'un seul poil. Une lumière s'allume et j'ouvre un peu les yeux. Mes yeux papillonnes pour s'habituer à cette lumière soudaine et je regarde la pièce dans laquelle je me trouve. Une salle de bain. Je referme les yeux et me laisse faire. Je n'ai pas la force de protester quoique se sois. J'ai mal à la gorge aussi. J'ai tellement crié que je suis sur que demain je n'aurais plus de voix.

Tout à coup, quelque chose me fait brutalement ouvrirent les yeux et ma respiration devient saccadée d'un coup. Je l'avais presque oublié... Comment ai-je fait pour oublier cela ?

Ah oui, je me suis fait kidnapper et là, je viens de me faire fouetter... C'est comprenable, mais quand même ! J'ai quasiment oublié que c'était ma fête aujourd'hui. Je ne sais pas combien de temps je suis resté inconsciente quand je me suis fait kidnapper par ce malade, mais pour moi, aujourd'hui, c'est ma fête...

Super fête.

Wow. Si tu me demandes ce que j'ai fait pour mon 18e anniversaire et bien je vais te répondre que je me suis fait kidnapper par un pervers qui veut que je couche avec mon pire ennemi pour son plaisir et que si on refuse et bien nous allons nous faire torturer jusqu'à ce qu'on change d'avis. Super non ?

Je suis sur que mon visage a encore plus perdu de ses couleurs. Je me regarde dans le miroir. Le regard vide. Mes cheveux sont en bataille et mes yeux sont bouffi et rouge dû au pleurent. Je suis affreuse. Je suis en sang, j'ai des bleus un peu partout qui commencent à apparaître et ma lèvre tremble légèrement.