- 22h51
Cela fait 20 minutes que je suis assise a écrire , j'ai fait deux pages et demie et j'ai déjà une crampe à la main . J'ai pris la place la plus refouler de la pièce là comme ça je suis sûre de ne pas être déranger . J'aime étudié , rédigée ou même des faire des exposés , j'ai toujours eu l'habitude d'avancer rapidement sur mon travail , j'aime le fait d'apprendre sur des choses de la vie mais qui ne sont pas courante voyez-vous ? Travailler sur le comportementalisme de l'être humain m'aide à mieux comprendre ce système complexe qui est le cerveau. En général tout le monde pense comprendre l'autrui mais c'est totalement faux , comprendre une personne c'est tout un art . Tout d'abord il faut observé sont comportement , ces tics , les manières dont sont stress est diminué c'est à dire la jambe qui tremble , se faire craquer les doigts ou bien se ronger les ongles . Ensuite il faut comprendre le pourquoi du comment mais ça il faut avoir un minimum d'expérience pour le distinguer .
Soudain les lumières s'éteignent. Merde que ce passe-t-il ? Je regarde autour de moi et je remarque que plus personnes n'est la . Mais où sont-ils passés ? Il y a peine un quart d'heure deux filles étaient assises vers le vieux sofa.
J'enlève mes écouteurs et je regarde l'heure sur mon téléphone. Putain bordel de merde ! 22h58 !
Je suis enfermée dans cette foutu bibliothèque ! Le pire c'est qu'il y a un musée dans cette établissements et que si je bouge les alarmes vont se déclencher et la police va débarquer et penser que je braque la caisse du musée ! Merde ! Comment dire à un de ses vigiles que je suis juste venu dans cet endroit pour étudier et non pour voler et que l'heure est passée plus vite qu'une voiture de course .J'attrape toute mes affaires et les assembles dans mon sac a la vitesse de l'éclair .
Je sort de la pièces en fessant attention a ne pas me faire remarquer par les gardiens ou autres truc dans le genre non mais dans quel pétrin me suis-je fourrée encore c'est pas vrai !Je marche en fessant très attention à travers les étagères où sont rangées des millier de livres , il n'y a qu'un seul néon qui éclaire toute la pièce . La salle est un peu dans l'obscurité mais sinon j'arrive a voir . J'ai l'impression de tourner en rond toutes les rangées se ressemble toutes . Je me faufile dans le rayon des écrivains du 18 ème siècle . J'essaie de traverser la pièce d'un pas le plus léger possible mais quelque chose titille mon attention.
J'entends du bruit .
Quelqu'un est la .
Oh mon dieu j'ai peur qu'un agent de sécurité me trouve et appel la police .
J'entend encore du bruit , on dirait une sorte de coup dans un casier .Mon sang se fige lorsque que je vis des pas a quelque mètres de moi . Je recule très lentement jusqu'à percuter mon dos contre un mur , je couvre ma main contre ma bouche . Il est là ... Il approche je le vois il est vêtue entièrement de noir et porte une cagoule, j'arrive a l'apercevoir entre les espaces des livres empilés sur les étagères.
Un pas .
Deux pas .
Trois pas .
Quatre pas .
Puis il s'arrête . Il est a un pas de mon allée .
Il tourne lentement sa tête vers le mur c'est ta dire moi . Et là les battements de mon coeur tambourine tellement fort dans ma cage thoracique . Il me vois .Il m'a vu . Il m'observe .je couine entre mes lèvres tremblante contre la paume de ma main , je cours le plus vite possible dans les couloirs mais le bruit claquant contre le parquet m'annonce que ces bottes sont pas loin de mes tennis.
Je trouve une porte battante , je l'ouvre tout en courant , l'adrénaline me pousse à continuer sans me retourner .
Au fond du couloir j'aperçois une sortie de secours et en même temps une l'alarme se déclenche fessant résonner le bruit dans toute l'enceinte du musée . Je tourne la tête en même temps que je cours il est toujours là il va me rattraper je le sens .J'était a deux doigts d'arriver à la porte quand une mains se mit sur ma bouche et l'autre entourant mon bassin . Je me débats avec toute ma force mais sa prise se resserre malheureusement.
" la ferme ! Ne bouge pas ou je te brise la nuque " sa voix se mélange à son souffle chaud m'arrachant au passage un frisson lorsque qu'il glissa contre la peau de ma nuque . J'arrête de bouger tandis que sa main était toujours sur ma bouche , je décide de rejoindre la sienne contre la mienne espérant l'enlever . Je tire sur sa main mais simultanément la sensation de deux bagues et de déjà vu me transperce l'esprit . Une sensation étrange déferle dans mon organisme . mais j'y prête pas vraiment attention trop longtemps car si je bouge encore je vais me faire tuer .
L'alarme s'est arrêté mais je suis toujours bloquer avec cette personne et je commence a avoir réellement peur de lui . Mes mains sont toujours sur les siennes .
Il me pousse à courir avec lui dans les couloirs sombres , il trouve une sois disant sortie bien qu'au même moment je sens l'air frais de l'extérieur .Il me fit Volt face mais sans jamais quitter sa grande main de ma bouche .
" écoute moi bien , tu n'a rien vu , rien entendu c'est claire ? "
J'hoche très vite la tête .
" maintenant sauve toi avant que les flics débarque "
En une fraction de secondes il fut parti en me laissant seule et désorienter .
Je repris vite mes esprit et fis de même que lui .
Je cours le plus vite possible vers un chemin qui peut mener jusqu'à chez moi . Je trouve rapidement une ruelle qui mène à ma maison . Je tremble de partout, je n'arrive même plus à penser , j'arrive pas a croire ce qui vient de se passer . Je monte deux par deux les marches, j'essaie de sortir mes clefs de ma poche mais je tremble tellement que je les fait tomber par terre . Merde !
Je les ramasse et ouvre la porte .
Je la ferme à double tour et par vers la chambre et m'enferme dedans .
Je pose mon sac qui était avec moi et je m'allonge sur mon lit toujours choqué de ce qui vient de se passer .Bordel de merde .
Est ce que c'était le voleur aux mains d'argents ? Ou un voleur quelconque ?
Je prend une grande bouffée d'air , j'essaie tant bien que mal de me calmer mais je n'y arrive pas . Je vais prendre une douche ! Oui une douche bonne idée .Je me blottis sous les draps , j'éteins les lumières mais je suis incapable de fermer les yeux . J'ai encore peur , moins que tout a l'heure , mais c'est passer tellement vite . J'ai une net impression que ce n'est pas fini et si il me retrouve pour me faire la peau ou par peur que je balance à la police ou à quelqu'un d'autre , serait-il capable de me chercher ? L'angoisse et l'anxiété bouleverse mon envie de dormir . J'essaie de me rassurer mais quelque part au fond de moi , ce que j'ai vu ce soir là me gratifie la sensation d'avoir fait quelque chose d'horriblement mal .
J'aurais jamais cru que cet nuit là , j'allais faire la rencontre la plus étrange de toute ma vie .
" La torture d'une mauvaise conscience est l'enfer des vivants " - John Calvin
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Glances.
FanfictionH- " me débarrasser d'un problème pour moi c'est vite régler mais actuellement mon problème c'est toi chaton , alors je ne vois pas d'inconvénient à te balancer dans mes emmerdes " J'était qu'une simple étudiante en fac de littérature . Un amphithé...