No Limits. | n.g ✔

Chapitre 16 : Comme si c'etait le dernier.

[Nash pdv]

Je courais en essayant de ne pas me faire remarqué, arrivé devant chez elle je grimpa et passa par sa fenêtre de chambre, en passa par celle ci , je dis tomber un autre flacon de parfum, c'est pas possible c'est une mani , a chaque fois je casse quelque chose.
Alors que je fouillais partout et decouvrit des sous vêtements et des choses dont je ne préfère pas en parler , la porte s'ouvrit.
-Qui êtes vous?! Cria la mère de Léa une batte de baseball a la main.
-Hum... Je suis le plombier.
Je lui lança un sourire confus .
-J'ai pas appelle de plombier, et pourquoi vous serrez torse nus?!
-Hum.. Vous rêvez ... Allez vous recouchez.
C'est en tournant la tête que j'aperçus le grimoire au dessus de son armoire. Je m'atrrapais a sortir en le prenant dans la foulé .
-Bonne journée et continuer le baseball! Qu'est ce qui m'avait pris de dire ça, franchement , je suis sur que elle a une batte pour la sécurité , qu'elle fait pas de baseball.

[Léa pdv]

Je tenais un arc d'une main , la flèche de l'autre , je n'étais vraiment pas douée avec ce genre de choses.
Je me concentra , essaya de viser l'abre et tira .
-Ah putain ! Cria une voix. Nash ce l'était reçu dans la bras. Il l'arracha.
-C'est pas possible tu veux ma mort! Me lança t-il une pointe d'humour. Je lui souris.
Le frottement de la corde sur ma joue m'infligais quelques douleurs .
Je remis une dernière fois un flèche , tendant la corde je souffla m'apprettant a tirer.
-Hey!
Dylan venait d'apparaître devant .
-Hey! Je lui souria il me rendu son sourire.
-Qu'est ce que tu fais la?
-Je m'entraîne.
-Ah si tu le dis.
Il se retourna et lança un regard noir a Nash.
-Qu'est ce que tu fou la toi encore ?
Lui demanda t-il.
Nash me regarda avant de lui répondre :
-Je l'aide.
-Et c'était nécessaire de te mettre torse nu?!
Rougissant, Nash baissa la tête apres ses propos.
Pour le calmer, j'embrassa Dylan avant de continuer:
-J'ai eu un accident et me suis blessée du coup il a mis son t-shirt pour stopper l'emoragie.
Il me regarda avec deux grand yeux ne comprenant pas la situation.

-Enfin bref , je vais plutôt bosser la magie . Dylan tu viens m'aider?
Je me dirigea vers le tronc d'arbre coupé suivis de Dylan disant:
-Ok, mais qu'on soit d'accord , je veux pas me retrouver la tête décroché de mon corps.
Je ria.
Il s'assied en face de moi , je fis de même en tailleur , le grimoire sur les genoux.

Nous sommes resté 6 heures a travailler des sorts basiques dont il me fallait au moins 28 essais avant d'y parvenir.
La nuit commençai a tomber mais rien n'aurai put me déconcentrer.
Je feuillets le livre et remarqua que le bout d'une page était arraché et avait était mise a la fin du livre. J'alluma la lampe torche de mon téléphone pour y voir plus clair.
Nash était partis depuis au moins 1 heure , mais Dylan lui restait avec moi.
Sur la page déchirée se trouvait un dessin du flacon d'humanité, ce que par ailleurs nous cherchions.
Il avait l'air très petit, et le doute de savoir si nous en n'aurions assez pour la soeur de Nash et Dylan .
Comprenant ce que cela signifié , il m'annonça :
-Léa, écoute moi, donne le flacon a Nash , je peux accepter mon sort.
-De quoi ton sort ?! Non , tu en aura , j'ai besoin de toi!
-Tu sais même vivant j'étais un fantôme au yeux des gens , il n'y a que toi qui m'ai remarqué .
-Et puis ta famille?!
-Mes parents se sont débarrassé de moi car j'ai fais d'énorme conneriess quand j'étais plus jeune.
-Dylan...
-Non , promet moi de tenir ta promesse en me disant que tu sauvera la soeur de Nash .
Je baissa la tête et pris ses doigts devenus bleus.
-Je t'en supplie... Ne meurs pas...je veux tellement que tu restes , que tu te réveilles...
Je commençais a sangloter.
-Qu'est ce que tu es belle quand tu pleures .
Me disais t-il en relevant mon menton avec son index.
-Je suis désolé , tu voudrais quelqu'un qui même dans les pires moments te fasse oublier tes malheurs, mais je suis faible.
-Tu sais ... De temps en temps dans la vie, il faut pleurer toutes les larmes de son corps pour enfin y trouver un sourire.

Je le voyait me sourrire, mais qui semblait criait intérieurement, qui fesait semblant de prendre la vie et la mort comme elles venaient , comme ça , en les laissant débarquer sans frapper .
Je lui ai tenu la main le temps d'un souffle, trop simplement expirée, et il a murmurai au creux du vent :
-Regarde le ciel ,comme c'est beau.
Et mon monde s'est effondrée.
Je le fixa et me noyant dans ses yeux brun , je l'embrassa, comme si c'était la dernière fois, le dernier baisé de toute une vie.