Chapitre 15: Brisés.

204 8 1
                                    

[Léa Pdv]
Je me réveilla en sursaut , ce n'était qu'un rêve , du moins je n'en était pas si sûr.
Mon cœur battait toujours a cent a l'heure. Je me leva ensuite fouillant dans les tiroirs dans l'espoir de trouver un paquet de cigarettes, dehors il pleuvait a verse , on entendait les gouttes d'eau percuter les vitres. En trouvant enfin un paquet je sentis faire un mauvais choix, mais j'en attrapa une malgré tout , il n'en restait plus que trois dans la boîte .

[Pdv extérieures]

Il existe différent type de nuit. Il y a les nuit vides , les nuits ivres, les nuits tristes, les nuits emplie de joie ou d'amour. Chaque nuit est différente.

Ce soir là , la jeune fille , le cœur battant , les larmes sanglantes, inondant sa peau si frêle,ses yeux brûlants, une âme aimante, elle partit s'asseoir a sa fenêtre.

Elle ouvrit tous d'abord celle ci , le vent fit voler ses cheveux en arrière et humidifier son visage.Elle se mit au bord de la fenêtre ses jambes nus dans le vide a 10 mètres du sol. Seulement un large t-shirt ainsi qu'un court short lui empêche d'avoir moins froid. Elle mit ensuite l'instruments entre ses lèvres. et l'alluma. Elle regardais le ciel et les quelques étoiles qui s'y trouvaient. Elle avait l'espoir que l'air extérieur lui fasse passer son mal de tête. Elle était tellement bousculé ses quelques semaines, qu'elle en avait oublié de dormir réelement , elle ne fesait plus de vrais nuits. Une boule étrange avait retrouvé refuge au creux d'elle , mais ce n'était pas comme avant. Elle ne voulait pas s'en soucier . Elle observait la lune, quiconque serait devant elle , l'aurait trouvé triste.Parce que les filles habituellement heureuses ne se posent rarement à l'air frais, durant la nuit. Elle voulait seulement respirer cette air pure, seule, pour s'en souvenir. Le monde semblé si beau sous cette nuit fraîche du mois de novembre. Elle aurait aimé que sa cigarette ne se termine jamais, tout comme son bonheur ses derniers jours.

Elle décida alors d'en allumer une autre , peut être pour profiter encore un petit peu, de ces jolies choses que lui offrait la vie.

Quand a Dylan , il pensait beaucoup à elle , mais aussi a sa famille , a sa tante qui venait tous les jours lui rendre visite a l'hôpital pendant qu'il passait son temps avec presque une inconnue avec une relation typiquement d'adolescents.

Depuis un certains temps , il ne se sentait plus vraiment lui même. Alors qu'il regardait son corps vide de vie et immobile , alimenté par un tube a oxygène,il attendit une conversation a quoi il ne s'y attendait vraiment pas.

Nash était très fatigué , mais pas d'une fatigue qui vous le fait ressentir sous vos yeux ou dans vos membres. Il réfléchissait , il pensait enfin voir la lumière au bout du tunnel , il était allongé dans son lit a se lancer a lui même une vulgaire balle de Baseball pendant que son meilleurs ami était a sa droite , a lui raconter sa vie.

La nuit fut longue et calme , ou le silence que provoqué leurs pensés avait sa place.

[Léa pdv]

*Le lendemain 10h15 *

Je n'avais pas pût dormir de la nuit , et ca se voyait sous mes yeux. Mahogany était entrain de déjeuner tous comme moi par occasion.
Elle avait les cheveux plus bouclés et emmêlés que la vieille ce qui est par ailleurs normale pour quelqu'un qui vient de se réveiller.
Elle plaça ses quelques mots entre deux bouchés de sa tartine:

-Tu comptes faire quelque chose aujourd'hui ?
-Non, tu veux qu'on aille quelque part?
-Nop, désolé , j'ai un "repas de famille", mais si tu veux apres je te rejoints, on se dit hum... 16h devant le ciné ?
-Ok.
Je posa ma tasse dont le fond était rempli de chocolat (qui s'était transformé en liquide collant a cause du lait ) dans l'évier avant de m'essuier le contours des lèvres au cas ou des restes se seraient incrustés sur mon visage.
Je soupira avant de continuer :
-Donc comme tu as un repas de famille et que tu me l'avais pas dit , je suis pose que je dois partir avant que tes parents arrivent , c'est a dire dans peu de temps.
-Oh c'est bon , j'ai le droit d'oublier quelques détails. Me repondit -elle une pointe d'humour.
-Il me reste combien de temps ?
Elle regardait par la suite en direction du four ou y était indiqué l'heure.
-20 minutes. Suffoquait elle avant de bâiller.
-20 minutes?! Mais c'est une blague ? !
Je courus en direction de la salle de bain en attrapant mes affaires
dans la foulés pendant qu'elle avait son bras qui tenait sa tête toujours dans les vapes.
Je pris une des douches les plus rapide de l'humanité et attacha mes cheveux en chignon pour ne pas montré a quelles points ils étaient emmêlés.

No Limits. | n.g ✔Where stories live. Discover now