Chapitre 15: Brisés.

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Apres être partis et avoir fais 15 bonnes minutes a pied , je rentre chez moi. La premiere chose que je fis ,fus de me rendre plus présentable , du moins plus que ses dernières minutes.
Je n'avais aucune trace de Dylan, mais ça ne me derangeai pas vraiment puisque avant d le revoir il fallait que je mette quelque chose au clair.
Je mis mon téléphone dans la poche arrière de mon Jean troués , accrocha ma chemise a carreaux rouges et noirs a ma taille et partit rejoindre un endroit encore presque inconnu dont j'avais eu l'adresse pas par magie mais en piratant le site du lycée.
Pour y arriver il me fallut prendre 2 bus , ce qui n'était pas très satisfesant surtout que dans le premier que je me suis retrouvé accroché a la barre un côté un homme qui me regardait pas très sainement si vous voyez ce sue je veux dire.
J'étais enfin arrivé , arrivé devant la maison de Nash a frapper a sa porte , un homme costaud que je ne connaissais pas répondu, il devait être son père.
-Oui? Me demanda t-il, d'un air loin d'être souriant.
-Nash est il présent ?
-Non. Il est parti en voiture , aurevoir. Finit-il par affirmer froidement avant de me claquer la porte au nez.

"Pas très aimable celui la." Murmurais je.
Je sortis alors mon téléphone de ma poche pour composer le numéro de celui ci, ce que je regrettais de ne pas avoir fait plus tôt.
Après 5 sonneries , il répondit :
-Oui?
-T'es ou?
-Pourquoi voulez vous le savoir la chère ?
-Oh arête avec tes airs. Je veux qu'on parle c'est tout .
-OK, mais la tu vois j'ai la flemme de bouger , tu es ou déjà ?
-Devant chez toi comme une idiote . Répondis je en tournant en rond et en fesait un signe avec ma main.
-Mais qu'est ce que tu fous chez moi ?
-Je te cherchais je te l'ai dis.
- la prochaine fois me cherche pas la , j'aime pas être chez moi, d'ailleurs personne n'aimerais.
-Bon tu te ramènes ?!
-Ok , j'arrive .
Il raccrocha . J'attendis par la suite environ 10 minutes avant qu'il se pointe le sourire en coin.
J'enleva les écouteurs qui étaient disposé dans mes oreilles , fit le tour et monta dans la voiture .
Il avait coupé le moteur et était tourné vers moi a attendre des explications.
Je ne le regardais pas , je fesait que fixais la route qui se trouvait en face de nous avant de lui donner ce qu'il voulait :
-Tu m'aimes?
-Oui , je te l'ai déjà dis .
-Et tu m'aimes aussi en couchant avec une autre ?
Il ria .
-Pourquoi tu rigoles? Pourquoi tu te marres? Pourquoi quand on parle vraiment tu mets ton masque de connard pour ne pas a avoir a répondre franchement ? Pourquoi tu veux faire croire que tu prends tout a la rigolade putain ?
-Ahah, arrête.
Je me retourna vers lui.
-T'es qu'un con Nash.

-Un honnête con.

-Même pas , tu te caches, tu as peur. T'es qu'un hypocrite. Un putain de con d'hypocrite.

-Un putain de con hypocrite et mignon alors.

-Mais ferme ta gueule.

- Écoute ma grande , c'est pas en me manquant de respect que tu obtiendras quoi que ce soit de moi. Tu me penses hypocrite ?
Arrête de faussement t'inquieter pour ma gueule. Je me suis bâtis seul. Tu étais pas la toi, quand j'ai perdu ma joie de vivre, quand j'ai perdu le sourire, le vrai. Quand je me suis fait dévaster par le mensonge surnaturel de toute une vie. Avant je n'existais même pas, je n'existais même pas dans ta triste vie.
C'est toi qui va la fermer , ta vision n'est pas la mienne ,mon bonheur n'est pas le tien.
-Je te détestes.
-On partage peut être plus de choses que je pensais enfaite.
Viens on s'aime ?
Un très court blanc s'installa, et avant de répondre je pris une dernière fois ma respiration.
- Pourquoi est ce que je n'ose même pas refuser ?
-Tu m'as dis toi même je suis qu'un con , et ta drogue a toi c'est les cons.
Je sortis de la voiture , je n'aimais pas Nash , j'étais juste confuse car je n'arrivais plus a lui faire confiance.
Alors que je m'eloignais de la voiture il cria par dessus sa fenêtre entre ouverte:
-Tu as 16 ans Léa.Souris.Ris. Bois.Manges. Vis Bordel. VIS.
Ces derniers mots me misent hors de moi alors qu'il regardait dans le rétroviseur et s'appraitait a partir, je lui fis un doigt .
La voiture se retourna sur le dos. Les vitres étaient brisés tous comme mon coeur.

No Limits. | n.g ✔Donde viven las historias. Descúbrelo ahora