Chapitre 13 - L'expédition Finale...

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Dans le film, il y avait une dernière chambre vide près de celle de Skylar. Est-ce que François sera emprisonné la-bàs ? Où est-ce que le Glaçon l'a pris ? Est-ce qu'il sauvera Skylar s'il eu la chance ? Mon cerveau n'arrêtais pas de songer aux milles et une questions qui le tourmentaient. Premièrement Skylar, maintenant François: je suis dans le pétrin...

Heureusement pour moi, les parents de François étaient en voyage en Europe; je rendu le bateau au port, et retournai tout droit à mon logi. Je ne quittai ma chambre pas même pour manger; ma mère m'apportais mes plats à la porte; j'ouvrais, prenais le plat, mangeais, puis le rendais à la porte. 4 Juillet était attendu avec grande impatience...

Normalement, quand on attend une date, on compte les jours; moi, je comptais les secondes: 86,400 chaque jour, seconde par seconde. Pendant les quelques derniers jours avant 4 Juillet, je ne dormais plus, mangeais plus, buvais plus; j'étais à quelques minutes de mon dernier souffle quand je revint sur mes esprits. Si je me suicidait, qui sauvera Skylar et François ?

Je regardai mon smartphone: 4 Juillet, six heures trente du matin. Hop! Cartable (fait et refait litérallement 7,000 fois) à la main, je pris un sandwish du frigidaire et me lançais à la vitesse de la lumière vers le port. Et c'est la cata: le bateau n'est pas là. Je ne puis m'empêcher de verser quelques larmes qui rapidement deviendraient une rivière.

Mon cerveau courait à nouveau dans ma tête pour tenter de trouver une solution face à cet obstacle que voilà. La rive opposée était à une bonne demi-heure en bateau, signifiant six heures à la nage. Pas un bateau en vue, la nage était mon seul espoir. Chanceux, mon cartable est imperméable; sans plus y penser, je me jette à l'eau, et c'est vers deux heures de l'après-midi que j'atteignis, abattu par la fatigue, le rivage opposé.

Étalé au bord du lac, mon corps ne pouvais bouger; j'aurais dû attendre une longue demi-heure pour reprendre mon souffle. Enfin, debout sur mes pieds à nouveau, ma destination était fixée: le coeur de la fôret. J'avais mis un plan perfectionné au cours de ces sept ans passés... Je décidai donc de fouiller le lomg du rivage en espoir de trouver un chemin par lequel je peux commencer. Allant à droite, je ne tardai pas à trouver ma requête: il y avait bien un chemin qui, au loin, paraîssais conduire à ma destination.

L'expédition finale commence là: emprunter ce chemin signifiera que le retour sur mes pas sera impossible. Sans même y songer, me voilà sur le chemin vers le coeur de la fôret, vers "la gueule du loup"...

L'été ImprévuWhere stories live. Discover now