-  Tu m'as caché que ma mère était vivante ! hurlais-je 

    Il s'approcha de moi, tenant toujours Vicky dans ses bras. Je le regardai d'un air dégoûté et lui intimai de ne plus avancer puis je jetai un coup d'œil à ma "mère".

  -  Est-ce qu'il dit vrai ?

  -  Oui. dit-elle d'un ton amusé

    Elle paraissait tellement indépendante.

  -  Alors quoi ? Il m'a enlevé ? Ou peut-être est-ce vous qui allez m'emmener ?

  -  Je voulais juste que les présentation sois faites. Et vous ramener à l'intérieur car, voyez vous, nous n'avons pas beaucoup d'invité et aimerions les garder un peu plus longtemps !

  -  Saleté ! C'est pour lui que tu travailles ? C'est donc pour ça que tu ne voulais pas me dire pourquoi tu partais !

  -  En effet. Mais vois-tu, j'aimerais beaucoup discuter malheureusement nous n'avons pas beaucoup de temps devant nous donc... Montez dans la voiture. dit-elle en sortant un pistolet

    Nous fîmes ce qu'elle disait. Elle prit le volant et démarra sur les chapeaux de roues pour nous emmener loin de cette endroit. Au bout d'une heure, nous arrivâmes à un hôpital. Ce n'était pas le plus proche et je ne saisissais pas bien ce que nous faisions ici.

  -  Qu'est-ce que vous faîtes ?

  -  Il faut bien la soigner ! 

    Elle encercla ses bras autour de la taille de Vicky et l'emmena à l'intérieur. J'essayai de sortir de la voiture mais bien sûr, elle l'avait fermé à clé et si l'on cassait la fenêtre, nous risquerions d'attirer l'attention des gens autour de nous. 

    Elle revint quelques minutes plus tard et sortit son portable mais je n'entendis pas ce qu'elle disait car elle était loin et que la vitre est fermée. Elle se retourna plusieurs fois puis raccrocha après quelques instants pour ranger son téléphone portable et revint vers la voiture. 

  -  Je reviendrai la chercher plus tard.

  -  Nous devons rester ici !

  -  Vous la reverrez dans peu de temps, ne vous inquiétez pas !

  -  Non !

  -  Julia, arrêtes la voiture.

  -  Julia ?

  -  Oui ta mère s'appelle Julia... 

    Ma "mère" redémarra et accéléra loin de l'hôpital tandis que je m'éloignai d'elle. Nous arrivâmes à la petite ruelle puis des hommes arrivèrent et nous emmenèrent à l'intérieur. Mon père et moi furent séparé : ils m'attachèrent avec des cordes et des chaines dans la dernière salle à droite du deuxième couloir et mon père dans celle d'en face. Je m'assis par terre. Me revoilà au point de départ. Mis-à-part ma mère que je ne connaissais absolument pas et qui avait sûrement du m'abandonner à mon père. 

    Soudain, elle entra. D'une marche nonchalante, elle s'approcha de moi, pencha la tête sur le côté en me regardant, ses yeux vert sombre plantés dans les miens, ses mains sur les hanches, ses longues boucles brunes qui pendaient dans son dos.

  -  Nous devons parler.me dit-elle

  -  Je regrette mais je n'en ai pas envie.

  -  Je regrette mais moi, j'en ai envie. Tu ne connais pas toute la vérité, vois-tu !

  -  Rien venant de vous ne m'intéresse.

  -  Je crois bien que si car cela concerne aussi ton amie Vicky...

  -  ... Victoria pour vous ! Vous ne la connaissez pas ! 

  -  Oh, eh bien, plus que tu ne le crois en tout cas.

    Elle disait ceci pour que je sois curieux. Et cela marchait.

  -  De quoi s'agit-il ?

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Hey !

Je vous propose quelque chose : en ce moment, j'ai l'impression que vous vous lassez de mon histoire donc si je n'ai pas entre 10 et 15 votes de plus alors le prochain chapitre sera le dernier mais si j'en ai entre 10 et 15, alors je ferai la fin qui est prévu.

La suite de mon livre est entre vos mains.

Bonne nuit à tous.

#unefilledefrance 


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