Chapitre 1

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"Mon seule et unique souffle que j'ai  est pour butte d'oublier, combler, calmer et repousser toute ces émotions en moi qui fais de moi un survivant de ce monde toxique et de me sentir libre comme l'airs"

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"Mon seule et unique souffle que j'ai est pour butte d'oublier, combler, calmer et repousser toute ces émotions en moi qui fais de moi un survivant de ce monde toxique et de me sentir libre comme l'airs"

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Esaïe Winter

La musique a fonds, dans le noir, les lumières qui partes de tous les sens, les cris, la transpiration, nos corps compresser et coller comme dans des boites de sardine, les cocktails, les substances qui en airs, le darksidclub un endroit sombre comme un monde sombre qui ne savent pas pourquoi ils sont là mais on butte précis, relations, rupture, tromperies, règlements de compte, dealer, séductions, des prédateurs, des victimes... Dans cette boite tout est permis mais on a toujours été stricte ici quand la police débarque on n'a rien avoir mais les caméras de surveillances ont tout ce qu'ils ont besoins, mon patron est toujours allié avec l'officier Walter de très bonnes amies d'enfance aussi d'après ce que je sais.

Mon panaché en main appuyer sur le rebord du haut d'un étage, je l'observe « lui ». Il se dandine de tous les sens à croire qu'il le fais exprès, ça se trouve il veut faire fuir des meufs ou un truc du genre, je les observe depuis un bon moment lui et son groupe d'amis. Un moment vient ou nos regards se croise mais il détourne son en train comme si j'étais un vulgaire inconnu, je le suis, je l'avoue mais que pour l'instant. Ce n'est pas la première fois que je le vois dans ce club et pensez pas que je suis un stalker ou un truc du genre je travaille dans cette boite depuis l'âge de mes 15ans.

Je sors pour calmer mes tampons et les nerfs de tout ce vacarme on est passer de hip-hop a rock punaise ou avez-vous entendus cette transition merdique sérieux ?

Travailler dans un bar, avec un mélange de boite de nuit pour ce faire du fric et avoir une mère qui est prof je peux vous assurer que si vous n'avez pas de cardio ni, le mental ce genre de boulot et cette vie n'est pas faite pour vous, faut toujours s'accrocher et s'attendre au pire dans la vie qu'on mène.

Fils unique dans une famille bourgeoise, père absent et mère exigeante je peux vous assurer que je sais ce que c'est de vivre seule sans que personne vous écoute et vous comprennent réellement.

-Quesque tu fais ici seule dans le noir gamin ? tu regardes la lune, et tout ce qui l'a composé s'appelant l'univers ? je n'ai jamais été bon en svt j'ai toujours détesté cette matière. (Tout en allumant une clope sortie de son oreille gauche et l'a fume pour en replacer une autre toujours à sa place habituel)

Il m'en propose que je refuse avec respect tout en me regardant, stationner à coter de moi, une main dans sa poche de son jean bleu marine turquoise avant.

Cette homme, Just a coter de moi, a la carrure d'un militaire ,cicatriser par une trace sur l'œil  qui signifie pour lui « survivre après la guerre est un signe qu'on est forme comme un guerrier peut importer l'histoire de notre passer »,le cœur et les parole d'un poète est mon patron il se nomme ALFRED Beurde  ,il assez âgée je lui ai jamais demander son âge ,pour moi dès que je le vois matin et soir a des heures tardives pour moi c'est tout ce qui compte ,il a travailler dur pour construire ce Bar ,malheureusement plusieurs personne l'ont signaler parce ce que notre activité est illégale et le bar qui a fait le plus de victime avant mon arriver c'est son barre a lui ,j'ai passé toute mon adolescence avec lui ,il a toujours été pour moi comme mon deuxième père seule lui sait comment j'ai fais pour arriver jusqu'ici.

-Hey gamin tu sais je suis désolée j'essaye Juste d'essayer de te faire un peu oublier toute cette pression de merde que t'as sur le dos a cause des cours.

-Les cours ? ce n'est pas au cours que je pense c'est à ...

-Tu es pas obliger de me dire si tu ne te sens pas encore près à me l'avouer mais arrête de penser sa va bousiller ton cerveau et tu vas te retrouver comme ma sœur chez les fous.

Pour changer de sujet je lui parle d'une chose qui me tiens réellement au bout d'une ficèle dans ce monde de crevas .

-Tu viens à ma compète samedi ?

-Je ne sais pas samedi j'ai du boulot mais je verrais si je peux me libérer plutôt pour toi gamin.

Toujours les mêmes réplique ...Mais ce n'est pas grave au moins je fais honte a personne en me cassant la gueule devant des gens, je suis près Ya encore de l'entrainement que je dois corriger et m'appliquer sur certaines figures.

-Je dois rentrer Beurde, ma mère va se douter de quelque chose si je ne le fais pas.

-Ok tu veux que je te dépose ou...

Sans même avoir finis sa question je lui coupe la parole.

-C'est gentil mais j'ai mon bolide (en désignant mon skateboard a trois roues érafler par énormément de trace du sol)

-Tu en ai sur ? (Dit Alfred en scrutant mon skate d'un cil lever)

-Oui ne vous en faites pas patron.

Je balance mon skate a terre, cours et saute dessus afin de rouler dessus.

-A demain patron !

-A demain gamin ! et fais attention à toi sur cet engin de malheur !

Je fais comme si je n'avais rien entendus a son époque ils avait des trottinettes donc en soit je le respect, de plus mon skate est habiter par ce surnom.

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On  continue ?

Le cygne noir [réécriture]Where stories live. Discover now