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Le trajet vers la maison n'était pas vraiment long. J'avais emprunté les mêmes chemins discrets de cet endroit que tout les jours depuis que je vivais ici, c'est à dire trois mois et demi maintenant.

J'ai pas vraiment trop sympathisé avec les habitants. La plupart du temps, je venait aux réunions seulement quand c'est Vincenzo qui me le prévenait, ou quand c'est question de changer d'endroit où habiter. Babel veux toujour cet emplacement.

À cette heure là je pense qu'ils sont tous aller visiter une certaine personne proche d'eux à l'hôpital. Apparemment, il travaillé pour le laboratoire chimique de Babel. C'est une des victimes, sûre- ment. Ils m'ont proposé de venir mais j'avais décliné telle la jeune femme, célibataire et polie mais plaine d'éne- rgie pour le travail, que je suis.

Cassano avait rigolé pendant une bonne demi heure après ça. Le conard. Les résidents ici m'appellent comme ça, et malgré que je me contrefiche

D'ailleurs en parlant de lui. Son demi frère, Paolo, est entrain de me taper sur les nerfs.

Le petit con est en retard pour livrer la marchandise que je lui avais demandé et si elle n'est pas là dans une semaine ici, en Corée, je serai obligé de répliquer. Durement. A croire que c'est génétique d'être un conard chez les Cassano.

Arrivée à l'étage, je décide de sortir mon masque de bonne voisine et d'aller parler a mon voisin Cassano de ce petit problème.

Je me rend premièrement à la maison et prends quelques documents qu'il doit l'envoyer à son père au passage, malgré qu'il ai déménagé en Corée pour s'éloigner un peu de la vie en Italie.

- Audrey ? Dit-il d'un air surpris en ouvrant la porte de sa maison.

- Salut voisin. Dis-je hypocritement. Tu me laisses pas entrer ? Je lui demande en souriant.

Il soupire en me regardant une dernière fois avant de retourner à l'intérieur de l'appartement en me laissant la porte ouverte. Je soupire un levant mes yeux aux ciels en entrant à l'intérieur et fermer la porte derrière moi.

Je regarde le séjour qui était plus petit que mon garde à manger en Italie d'un air peu intéressé. Ce n'était pas le moment pour commenter l'architecture de cet immeuble.

- Tu veux boire quelque chose ? Me demande t'il en ouvrant un des placards dans la mini cuisine ouverte.

- Du vin rouge. Lui répondis-je m'avançant vers le canapé sans enlever mes chaussures.

Je l'avais entendu soupirait et je souris à cette réaction. J'adore lui faire chier. C'est un passe temps très satisfaisant.

Je regarde la télévision qui était allumée, attiré par l'info que la présentatrice vient de dire.

- Le célèbre entraîneur Russe de l'équipe réputée mondialement d'Italie, vient de commencer ce matin même sa visite en Corée, qui durera jusqu'à 4 jour. L'entraîneur Russe affirme qu'il rechercher de nouveaux joueurs jeunes avec des talents de ceux qu'ils les avaient précédé. Dit la présentation.

Je fut coupé par un verre qui venait de ce mettre face à mon visage. Je le regarde un instant avant de le prendre des mains de mon voisin et le sentir.

C'était mon préféré.

J'essaye de ne pas sourire amuser par ce fait et bois une gorgée de mon vin préférée effectivement. Quel idiot.

VᴇɴɢᴇᴀɴᴄᴇWhere stories live. Discover now