# Partie 118 #

Depuis le début
                                    

Nûr : Ils t'ont fait boire ou quoi ?

Moi : Embrasse moi, tu verras !

Nûr : 😂 J'abandonne ! Sérieusement, je vais me doucher Sabah, arrête tes conneries.

Moi : Just one kiss et après je te laisse hum.

Nûr : T..

Je ne l'ai même pas laissé finir, c'est mon tour !

Je l'ai direct embrassé. C'était trop good ! Je sais, je suis tarée mais j'en avais trop envie. Je ne voulais plus le laisser. Après ça, je lui fais un petit bisou.

Il se redresse et dit:

Nûr : Vas te doucher, il y'a une deuxième douche.

Moi : Porte moi.

Nûr : T'as décidé de me rendre fou ?

Moi : Oui parce que t'es fou de moi.

Nûr : Viens !

Moi : Youpi.

Il en avait marre de moi mais il faisait tout ce que je lui demandais. C'était trop bien !

J'ai sauté comme un petit lapin et je me suis agrippée à lui. Il me porte puis me ramène jusqu'à la douche et pendant le trajet, je lui faisais plein plein de bisou partout partout. Il faisait genre mais il kiffait, hum, il me prend pour une idiote !

Après ça, dernier bisou et il me laisse. Je prends alors ma douche.

Son appartement, c'est trop, putain ! C'est une palace, il y'avait de la dernière technologie. Sa douche est immense et super magnifique; marbrée de la tête au pied.

J'aime trop. Et les lumières, j'aime vraiment trop. Là, on est sur du haut standing !!!

J'aimais vraiment tout. Bon bref, c'est pas tout mais après ça, j'ai terminé ma douche et je me fous en peignoir. Je sors et il débarque aussi en peignoir et me dit:

Nûr : C'est bon, t'as désaoulé de ton sommeil ?

Moi : Un peu ! Je suis super fatiguée, je n'ai pas envie d'aller bosser demain.

Nûr : N'y vas pas.

Moi : Je ne peux pas, j'ai des clients importants. Aaaah, c'est dur !

Nûr : Moïse v...

Moi : Non, Moïse rien ! J'irai ; ça va, je t'assure. Ne le fatigue pas !

Nûr : Je ne le fatigue pas, c'est sont boulot.

Moi : Pour toi mais pas pour moi. Je sais que c'est une délicate attention de ta part, merci mon cœur mais je vais me débrouiller.

Nûr : Ok. Ils sont où tes vêtements ? Je vais les mettre à laver.

Mais dites moi que je rêve ! Ce n'est pas mon homme, c'est une autre personne. Je le regardais bizarrement et il me dit:

Nûr : Quoi ? Je suis chez moi, je sais faire ma lessive ! Dépêche toi, ne me fais pas chier avec ton regard.

Moi : C'est nouveau ça ?

Nûr : Non. Quand je ne veux voir personne, je viens ici; je sais m'occuper de moi et faire le ménage, pour qui me prends-tu ! Tu ne vois pas comment je suis ordonné et propre ? Je ne sais juste pas faire la cuisine parce que je n'ai jamais eu l'envie de le faire. Et je suis un gosse de riche; faut bien que je le fasse ressentir au monde.

Moi : T'es vraiment uniquement incroyable ! T'es tellement un emmerdeur qu'on dirait que tu ne sais rien faire.

Nûr : Bah, tu viens d'apprendre quelque chose.

Sabah « La lumière de mon obscurité »  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant