# Partie 115 #

Depuis le début
                                    

Moi : En fait, tu veux me mettre une pression futur !

Nûr : Appelle ça comme tu veux ! J'ai quand même la haine, ce lâche, il se serre de toi ! Il t'a manipulé, il veut ma chute, c'est pas possible.

Moi : Oublie le hein, stp.

Nûr : Je l'oublie, c'est ce que je fais depuis petit. Et merci !

Moi : Pour ?

Nûr : Pour ce que tu as fait pour moi. Sans ça, il aurait continué, mais ne me cache plus rien ok.

Moi : Ok, promis, je ne le ferai plus. Et tu n'as pas à me remercier pour ça, c'est tout à fait normal.

Nûr : Non, c'est pas normal. Je n'ai pas cette habitude, je ne sais même pas commment réagir. Aaah, ça me gêne,  parlons d'autre chose ! Juste, merci et ne dis rien; parlons d'autre chose.

🤣😂 Il me tue, il n'a vraiment pas l'habitude.

Moi : Ok, on change de sujet. J'en ai un important !

Nûr : Lequel ?

Moi : Alioune et les autres ! Je veux aller vers eux mais ils doivent me détester.

Nûr : Et alors ? S'il y'en a un qui se la raconte, balayette ! Même Alioune ! Tu as peur, pourquoi ?

Moi : Tu le sais, j'ai fait n'importe quoi.

Nûr : Et alors ? Il ne va rien se passer, tu viens, celui qui n'est pas content, je m'en charge !

Moi : Nûr.

Nûr : J'ai besoin de respirer, de toutes façons et Alioune a prévu un week-end. On ira là-bas et puis ça glissera, tu t'inquiètes pour rien ! Maria, elle fait la maligne, je la rase. Et Ali, lui, il ne va rien dire, c'est un bon petit soldat. Tu n'as pas à t'en faire pour Moïse aussi. De toutes façons, c'est ton mec le boss de tous ces rigolos donc c'est ok.

Le pire c'est qu'il disait tout ça sans rigoler, sans rien, il était sérieux de chez vraiment sérieux !

Je rêve !

Moi : Non mais, toi, ça va pas ! Je ne vais pas m'imposer comme ça !

Nûr : Pourquoi pas ?

Moi : J'abandonne !

Nûr : On sort, demain.

Moi : C'est une bonne idée mais pour aller où ? Je ne veux pas qu'on se fasse remarquer.

Nûr : On ne va pas se faire remarquu.

Moi : Ok. On regarde un film.

Nûr : J'ai du boulot, énormément de boulot mais je vais rester parce que sinon tu vas bouder.

Moi : Non, je ne vais pas bouder, j'ai changé. Si tu restes avec moi, ça me convient.

Nûr : Parfait.

Après ça, la bouffe est arrivée enfin. On a mangé et j'ai mis mon petit film et lui, il bossait sur son ordinateur. Il avait l'air d'avoir énormément de boulot.

Du coup, je ne l'ai pas trop embêté.

Après ça, j'étais tellement à fond que j'ai fini par m'endormir comme une dinde.

Le lendemain, je me réveille et je vois que je suis dans mon lit et il était là aussi. Il dormait comme un bébé donc je l'ai laissé dodo et je suis allée direction le boulot.

Une fois ma journée finit, je suis direct rentrée à la maison et même pas 5 minutes après, il m'appelle.

Moi : Allô !

Sabah « La lumière de mon obscurité »  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant