Ce que je ressens, je vais le gérer à ma manière. Il est hors de question que je me laisse aller avec un malade pareil.

Je vais encore me faire du mal. J'ai dit que c'était fini, pourquoi il me fait ça ?

Je n'ai pas envie. Je ne veux pas céder, il m'a fait tellement de mal, je ne veux pas éprouver de sentiments pour lui.

Pourquoi ?

Pourquoi il me fait ça?

J'étais dépassée par la situation. J'étais mal, je ne voulais pas l'accepter !

Je ne veux pas accepter que j'ai développé des sentiments pour lui.

Je n'en ai pas envie. Il m'a fait trop de mal et à chaque fois qu'il revient, j'accepte et je souffre de nouveau. Je ne veux plus.

J'étais tellement mal. Ce n'est pas possible, c'est un cauchemar.

Si il me tourne autour comment je vais me débarrasser de ses sentiments? Et en plus, qu'est-ce que je lui trouve sérieusement ?

Je suis malade! Ce n'est pas vrai!

Je finis par sortir de mon bureau et comme une souris, je vérifiais s'il était là.

Mais il était parti. Une fois dehors, je monte en voiture et je rentre chez moi.

J'étais épuisée et saoulée de cette journée. Ni une ni deux, j'ai pris ma douche et je suis allée me coucher sans manger.

J'étais sur le point de dormir quand je reçois un message d'un numéro que je ne connais pas. J'ouvre et lis.

: Bonne nuit Princesse Sabah ! Même si tu l'as supprimé, tu sais qui c'est. À demain.

C'est un cauchemar, j'ai l'impression d'être retournée à la case départ.

J'ai bloqué son numéro et je me suis couchée.

Le lendemain, je me réveille et première chose que je fais c'est aller récupérer sa foutue clé. Il a dit qu'il allait apparaître devant moi tous les jours, quand il se pointe, je m'en débarrasse.

Une fois l'avoir récupérée, je vais vite fait au boulot et juste après je retrouve Alioune pour aller récupérer les pièces.

Une fois avec lui, je monte en voiture et il était sur le point de démarrer quand une voiture arrive à fond et nous barre la route.

Il se croit dans un film, c'est pas possible!!

Comme vous l'aurez deviné, c'est bien Nûr.

Il descend de la voiture comme si de rien était et va du côté d'Alioune puis toque. Alioune baisse sa vitre et il lui dit:

Alioune : T'es fou de me barrer la route comme ça ? Ne commence pas à faire chier Sabah, tu en as assez fait hier.

Nûr : Donne moi le bip du parking et arrête de piailler !

Hum 🤨 ?

Il est tout calme et il ne me calcule pas, il est bizarre. Sa folie passagère est passée ?

Alioune : Si je te passe mon bip, tu vas le casser. Fais toi un bip tout seul.

Nûr : Je n'ai pas le temps. Donne le moi ou je laisse ma voiture ici. Tu sais que j'en suis capable. Le gardien viendra toquer à la porte et comme je ne suis jamais là, il ne risque pas de me casser les bonbons. Par contre toi, tu es toujours là donc l'idéal c'est que t....

Alioune : C'est bon ! C'est bon, tiens. Tu le poses sur la table à manger quand t'as fini.

Nûr : C'est ça! Tu le récupères dans ma chambre.

Sabah « La lumière de mon obscurité »  Where stories live. Discover now