# Partie 41 #

Depuis le début
                                    

Nûr : Je l'ai menacée ! Ce ne sont pas tes affaires.

Alioune : 😡 Tu dépasses les bornes, laisse la tranquille, tu ne vois pas que tu la fais souffrir? Elle aimerait oublier le passé et tu la tortures pourquoi ? Ta clé encore ?

Nûr : Fiche moi la paix Alioune.

Alioune : Fiche lui la paix, t'exagères là. Si tu continues à lui faire du mal, je ne resterai pas sans rien faire, pauvre con.

Nûr : Je m'en fous.

Alioune : 😡.

Il s'en va puis claque la porte. Je reste dans la salle et j'étais comme un fou.

Pourquoi je ne me suis pas contrôlé? Elle me rend fou.

Elle me déteste vraiment, j'ai vraiment fait n'importe quoi jusqu'au bout.

Si ce mec n'était pas là, je n'aurai pas réagi de la sorte. J'ai eu peur !

DANS LA PEAU DE SABAH

J'arrive en bas et me précipite vers la sortie. Mon téléphone sonne. Alioune!

Moi : Allô !

Alioune : T'es où ? Qu'est-ce qu'il t'a fait ?

Moi : Rien! On reparle après.

Alioune : Ok, appelle moi.

Moi : Oui.

Je me dirigeais vers la voiture quand on me tapote l'épaule. Tellement j'étais perturbée, j'ai sursauté comme une malade et j'ai vu que c'est Kiari.

Kiari : Mademoiselle c'est moi. Qu'est-ce qui se passe? Ça ne va pas ?

Moi : Si, ça va. On y va.

Kiari : Vous êtes sûre ?

Moi : Oui.

Kiari : On va au bureau?

Moi : Oui.

Kiari : Ok.

Du coup on avance puis monte dans la voiture. Mon cœur battait toujours aussi vite.

Sabah, calme tes ardeurs! Comment je peux ressentir ça, c'est de la folie !

Je dois être tarée. Je pense que c'est ça !

Je me refuse à la terre entière à cause de ce con et quand c'est lui j....

Mais, je suis en plein délire là, ce n'est pas possible.

Ses mots, son visage et son sourire raisonnaient dans ma tête.

Tout ce que Zahra m'a dit, je le ressentais. Les papillons dans le ventre, le cœur qui bat, cette sensation.

Je la ressentais mais comment ?

J'étais perdue.

Kiari voyait que j'étais un peu bizarre mais il n'a rien dit.

Puis mon téléphone s'est mis à sonner. Je regarde et je vois que c'est Isaac.

Ce n'est pas le moment.

Je laisse sonner et Kiari me dit:

Kiari : On vous appelle.

Moi : Je sais. Décroche et dis qu'il me rappelle.

Kiari : Ok.

Il décroche et je reste posée jusqu'à arriver au boulot. Une fois au boulot, je m'étais réfugiée dans le boulot pour oublier mais c'était impossible.

Je suis restée jusqu'à 21h. Je finis et je décide de rentrer.

J'étais sur le point de sortir de mon bureau quand ma porte s'ouvre et je vois qui ?

Sabah « La lumière de mon obscurité »  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant