Moi : Prends la porte !

P : Ne commence pas, je ne t'ai pas laissée toute seule, Zahra ma dit qu'elle t'a déposé.

Moi : Tu lui as demandée  ?

P : Non elle me l'a dit, pourquoi ?

Moi : Comme ça ! (dans ma barbe) et tu veux faire croire que tu te soucis de moi !

P : T'as dis quoi ?

Moi : Rien! Qu'est-ce que tu veux ?

P : Je suis de retour pour savoir ce que je veux, ça n'a pas changé.

Moi : Je pensais que tu ne pouvais plus me voir et que tu allais trouver une autre solution ?

P : Tu m'as énervé !

Moi : C'est toi qui as commencé il y'a 4 ans, on ne balaie pas le mal qu'on fait aux gens en un coup de baguette.

P : Les gens changent.

Moi : 😂😂 c'est toi qui parles ? Qu'est-ce que tu as ? T'es parti faire un pélérinage et là t'es subitement devenu une nouvelle personne ? Les gens changent mais ça ne s'applique pas à toi.

P : On enterre la hache de guerre, passe à autre chose.

Moi : Tu peux rêver, après ce que tu m'as fais et ce que tu continues de faire. T'as vu comment tu m'as parlée ? Tu ne fais que t'enfoncer.

P : Et toi alors? Je t'aide et tu me parles comme une merde!

Moi : Je ne te fais pas confiance c'est normal, c'est toi qui m'as dit de ne jamais baisser ma garde.

P : Que je le dise ou non, tu ne vas pas la baisser.

Moi : Donc ça ne sert à rien de tourner au tour du pot.

Après ça, il m'ignore souffle et dit:

P : On va manger, je t'invite, ça fait une semaine que je ne t'ai pas vue.

Moi : T'es sûr que ça va dans ta tête ? Qui t'a dit que je voulais manger avec toi ?

P : Moi j'en ai envie.

Moi : Oui pour m'empoisonner le cerveau.

P : Si je t'empoisonne j'aurai ce que je veux ?

Moi : Non !

P : Bah tu ne risques rien, lève toi alors.

Au début je ne voulais pas, j'étais déterminée mais je suis obligée d'être moins fermée pour avoir des chances d'obtenir ce que je veux de lui. Du coup j'ai décidé d'accepter et je lui dis:

Moi : Ok

P : Ok ?

Moi : Oui.

P : T'es devenue obéissante en une semaine ?

Il veut quoi à la fin 😤

Moi : J'ai faim !!!

P : T'es bizarre.

Moi : C'est bon, je mange ici.

P : C'est bon on y va, tu prends la mouche pour rien

Moi :...

P : Quoi? Tu ne me réponds plus maintenant?

Je l'ai ignoré mais en vrai j'étais gênée ; même lui il remarque que je suis bizarre.

J'ai continué à avancer et il m'a suivie.

Une fois dehors, j'avance vers ma voiture et il me stoppe et me dit:

Sabah « La lumière de mon obscurité »  Where stories live. Discover now