MAGICAL FRIENDSHIP 1 ( CORRIGE)

48-Réveil

Maeva

- Il faudra d'abord me passer sur le corps Kal!
- Je pourrais le faire Thérèsa. Ne cherchez pas à m'emmerder. Sortez toutes de cette pièce exceptée Maeva.

Voyant la tension montée, je leur fit signe que ça allait. Elles sortirent après plusieurs râles.

- Tu veux quoi ?

Je devais désespérément réussir notre exercice du jour. Créer une conversation mentale entre nous toutes. J'espérais que le fait que je sois avec lui les forcerai à communiquer.

- Maeva, fit il en me tournant autour, vous êtes très jolie vous le savez ?
- On me le dit souvent donc oui je le sais.
- C'est dommage, j'aime bien votre personnalité.
- En quoi est ce dommage ?
- Finalement elle ne reviendra peut être pas. Elle m'a bien fait comprendre à travers les siècles qu'elle ne voulait pas de moi. Et je ne l'aime plus mais la détruire depuis l'au delà en anéantissant ses humains chéris serait extrêmement jouissif.

Il tournait en rond, réfléchissant à haute voix. Ça faisait presque peur à voir. Je décidais de me retourner pour m'en aller. Cette discussion n'avait rien eu de constructif.
- Avant de partir, j'aimerais que vous diniez avec moi ce soir... En tête à tête. Venez quand vous voulez, je vous attendrai.

Je ne répondis pas. Je secouais ma tête puis m'en allait.

De retour dans nos appartements, je les trouvais assise entrain de manger et de... Discuter?

- Attendez vous discuter sans moi ? Pourquoi ?
- Viens t'asseoir au lieu de râler ! Fit Deby
Je courus presque pour m'asseoir. Henriette se leva et à sa tête, elle allait faire un discours.

- insonorare

Deby venait apparemment de lancer un sort.

- Les amies, ces derniers mois ont été catastrophiques. Nous nous sommes murées dans le deuil, oubliant qui nous étions et ce que nous avions à accomplir ce qui est détruire le Nubes. Nous avons par la même occasion sali la mémoire de nos amis, eux qui sont morts en voulant sauver le genre humain. Nous allons le détruire et cette fois pour de bon. 
Pour nos familles, en mémoire de nos amis !

Je me retins d'applaudir mais Nicky le fit, je me joignis à elle et Henriette eu droit à un tonnerre d'applaudissements. Apparemment, nous reprenions du service.