MAGICAL FRIENDSHIP 1 ( CORRIGE)

2-Départ !

Deby

-Debout là dedans ! Cria une voix

- Mais c'est bon!
Me dépêchais je de répondre, je suis debout cries pas !

Ça c'était encore Thérésa qui criait... Elle le faisait tout le temps.
C'était comme une seconde nature chez elle de nous materner, elle agissait comme notre mère ! En même temps nous faisions souvent les bébés les filles et moi.

Nous habitions une villa, moi, Henriette, Nicaise, Maïva, Maeva Murielle et Thérésa, et nous allions toutes à l'université de Lice. Il fallait dire qu'avec nos tempéraments et nos habitudes ça pouvait parfois virer à la tragédie... Tragicomédie plutôt parce que malgré tout nous étions très soudées et un peu folles.

Aujourd'hui, nous devions aller au camp pour les vacances et je devinais que nous étions déjà en retard vu le bruit en bas.

Thérésa tirait les valises en soufflant bruyamment... Tirer était un bien grand mot vu qu'elle les traînait carrément et contre le parquet.

Chaque année sur deux depuis notre enfance, nous choisissions - nous faisions un tirage parce que se décider virerait à la bagarre- un endroit pour les vacances.

Cette année le sort avait décidé que ce serait un camp de vacances, le Dreamy Camp. Rien qu'en écoutant le nom, ça semblait bizarre.  On nous avait même auditionnées. C'était très bizarre.  J'aurais bien voulu rester à la Villa mais Thérésa me tuerait tiens! Elle était attachée aux moments qu'on passait ensemble. Bon moi aussi...

Je couru à la salle de bain pour une douche rapide... Top chrono ! Je me brossais les dents, déshabillais puis me rinçais la bouche et hop la douche.
Bon ça me pris dix minutes mais j'ai quand même été rapide...

J'enfilais un jogging puis je descendis les escaliers au pas de course.

- on attendait plus que toi! Cria Maeva la lèvre boudeuse.
- bonjour la famille, tentais-je pour éviter le sujet.
- J'ai hâte allons y! Dis Nicaise en sautillant... Personne ne répondit à mon bonjour génial.

Après avoir chopé une barre chocolatée, je finis de mettre les valises dans la voiture -ouais ! Elle n'en avait tiré que deux sur sept- puis je fermais le coffre.

C'est moi qui conduirais notre voiture aujourd'hui. C'était l'une des choses que j'aimais faire. Mon père me l'avait appris très jeune, depuis j'adorais dévorer le bitume.

- Bon tout le monde est là ? Demandais je une fois ma ceinture attachée.
- oui! Firent elles en même temps.

 C'était parti pour deux heures de route.

Entre sessions Karaoké, séances potins et pauses déjeuner le voyage est passa vite, tellement vite que nous n'étions pas préparées à ce qui nous attendait.