« je te veux comme garde du corps »
Étais l'une des premières phrases qu'il m'a échangé...
Je ne voulais pas, je n'est pas non plus eux le choix puis finalement j'en suis là, près de toi.
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- "comment tu te sens aujourd'hui ?" Je me tourne vers Ran.
- "ça vas, je sens un peu plus mon corps je pense que c'est un bon début..." J'ai un soupire.
Je me souviens très bien de ce qui c'est passé hier soir..
Je sais ce cas voulu faire Akira avec moi avec ce qu'il avait mis dans mon verre..
Je sais aussi qu'izana est apparu de nul part pour venir, une fois de plus me sauver...
Lui et moi nous nous sommes embrassé, comme je l'avais envie moi et non comme le désirais le garçon au cheveux argenté.
Nous sommes rentrée très peu de temps après sans rien ajouter ni même dire quoique ce soit au Saotome qui nous ont apporté rien d'autre que de la honte et du malheur malgré notre mission puis effectué.
Je me tourne vers Ran qui me semble un peu perdu voir même très fatigué.
- "toi tu ne vas pas bien, n'est-ce pas ?"
- "pas vraiment.." il soupire.
- "pourquoi ?"
- "je ne suis pas rassuré par ce qui a pu se passer entre Rindo et Yu la nuit dernière..et puis même ce qui va pouvoir se passer dans la suite de nos missions"
- "il en a parlait à Izana ?"
- "il doit parler avec lui ce matin.."
- "tu pense qu'il va parler ?"
- "je ne sais pas vraiment.. Rindo n'a jamais était grand bavard surtout quand ça le met dans des positions à son désavantage..."
- "mais on ne peut pas restait dans le flou comme ça le concernant..."
- "il ne cesse de me dire qu'il a rien vécu, cas part des baisers, des mouvements quelconque et même des massages à diverses endroit. Mais il m'assure que Yu ne lui a rien fait..."
- "et je suppose que tu ne le crois pas ?"
- "car toi tu le croirais si tu serais à ma place ?"
- "non pas vraiment..."
- "et bas c'est justement mon cas..Rindo me parle souvent de ce qui le tracasse mais ça prend beaucoup de temps pour qu'il se lâche pour m'en parler, il a toujours un long moment de réalisation de ses problémes et ce n'est pas évident de savoir quand il va mal.."
- "mais là toi tu sais que ça va pas ?"
- "évidemment que je le sais !" Il hausse le ton.
- "..."
- "je voulais pas m'énerver, excuse moi.." puis il soupire.
- "c'est compréhensible que tu le sois, on parle tout de même de ton frère"
