Hey donc ce recueil sera rempli de one shot sur one piece ainsi que de préférences, sur pleins de personnages et de thèmes différents.
Il y aura que des female reader x personnages, et je prend les demandes! N'hésitez pas à me les envoyer par messag...
Oops! Ang larawang ito ay hindi sumusunod sa aming mga alituntunin sa nilalaman. Upang magpatuloy sa pag-publish, subukan itong alisin o mag-upload ng bago.
Depuis que Luffy a fait sortir Crocodile, ton ex-boss, de prison, tu as été obligée de recommencer à travailler pour lui. Il a formé un nouvel équipage composé de malfrats pas si connu, de Daz Bones alias mister 1, et de toi, son ancien bras droit. Certes Nico Robin avait l'air d'être son acolyte le plus proche mais en réalité c'était quoi en qui Crocodile avait le plus confiance. Tu avais accepté de bosser à ses côtés pour l'unique et bonne raison que tu avais peur de lui. Soyons honnêtes, Crocodile était un Shichibukai, sans pitié et égoïste, si tu avais refusé il t'aurais tué sur le coup, et tu as de nouveau accepté de t'allier à lui pour la même raison. Ce que tu n'admettrai jamais c'est que cette peur qu'il engendre t'attire aussi comme un aimant, comme si le redouter t'est vital. Tu aimes être à son service et tu serais prête à tout pour accomplir sa volonté, même si tu dois en perdre tes deux bras. D'ailleurs en parlant de bras, depuis que tu le connais tu as toujours été intriguée par son crochet en or. Comment a-t-il perdu sa main ? Et la cicatrice sur son visage, d'où vient-elle ? Cet homme t'intrigue autant qu'il t'angoisse, et c'est pour cela que tu l'aimes. Tu accepteras que n'importe qui te tue pour lui, sauf si c'est lui-même qui t'ôte la vie.
- Y/N, tu n'as pas du travail ?
Il est assis sur une caisse de bois, sur le pont de votre bateau en train de lire le journal du jour. Il ne te regarde même pas lorsqu'il te pose cette question, et toi, tu ne réponds rien;
- Y/N, répond, il ordonne.
- Si j' ai du travail, mais ça sera pour plus tard, tu affirmes.
Tes yeux sont rivés sur son crochet.
- Je peux savoir ce qui me vaut cette attitude insolente ? il tourne le regard vers toi cette fois.
- Rien, tu hausse les épaules.
Il ferme le journal puis se lève, marchant vers toi mais tu ne bouge pas, sachant très bien ce qui arrive. Il passe son crochet autour de ton cou, la pointe s'enfonçant dans ta nuque.
- Aïe, tu dis en levant les yeux vers les siens.
- Va travailler, il ordonne.
Il est si près de toi que tu peux voir les détails de sa cicatrice sur son visage, les coutures passant sur son nez et sous ses deux yeux.
- Comment as-tu eu cette cicatrice ? tu demandes.
Tu regrettes instantanément d'avoir posé cette question. Il te pousse en arrière d'un coup de pied, te faisant tomber contre le plancher du pont puis il pose un pied sur ton ventre, appuyant si fort que ta respiration se coupe. Tu commences à paniquer et attrape sa cheville, essayant de le dégager mais il est bien plus fort.
- La prochaine fois que tu me poses une telle question, je te coupe la tête et donne ton corps à manger aux créatures marines, compris ? il déclare.
Tu acquiesces d'un mouvement de tête rapidement puis il retire son pied, t'autorisant à reprendre ta respiration d'un seul coup. Alors que tu le regardes d'un air terrorisé, ton souffle ne ralentissant pas, il retourne s'asseoir.
- Retourne bosser, il crache.
Tu t'assois et te frotte la poitrine, la douleur ne se dissipant pas. Tu t'attends à un miracle, qu'il s'excuse ou qu'il t'aide à te relever mais rien. Et pour la énième fois, tu déclares:
- Je t'aime.
Il ne réagit pas, il a l'habitude depuis que vous vous connaissez et évidemment ce n'est pas réciproque, donc il s'en fiche, il a d'autres priorités. Au début, il te battait pour te faire comprendre que c'est ridicule et qu'il est capable de te tuer en un instant, donc l'aimer revient à être suicidaire, mais tu n'écoutais pas, donc il a fini par arrêter.
- Je ne me répéterai pas, Y/N.
- J'y vais...
Tu te lèves lentement mais au moment où tu te redresses, tu sens une substance monter dans ta gorge puis tu te mets à cracher du sang. La conséquence de la pression qu'il à exercé sur tes poumons. Il soupire:
- Tu me dégoûte.
Tu t'essuies la bouche puis souris tristement, espérant qu'un jour il te regarde comme celle qu'il aime à en mourir, comme toi tu l'aimes.
