When A Murderer comes Knocking (vf) - h.s

Chapitre 31 : Choices (Choix)

PDV HARRY

Un léger sourire s'étendit sur mes lèvres, tandis que Mélanie commençais à s'endormirn son corps de ne cessant de légèrement trembler. Je la tenais si fermement contre ma poitrine que je pouvais sentir le métal froid des menottes même si ses bras étaient éloignés de moi et qu'elle essayait de garder le plus de distande entre nous.

Mélanie m'a vraiment surpris lorsqu'elle m'a menacé avec l'arme. Elle était si innocente, pourtant elle était prête à tirer. Bien sûr, je savais qu'elle était incapable de tirer sur la gachette mais le fait qu'elle ait réussi à enrouler ses petits ddoigts autour de l'arme était vraiment surprenant.

Quelque chose dans les yeux de Mélanie avait changé lorsqu'elle avait libéré l'arme. Ses larmes avaient instantanément disparu, elle n'avait pas semblé effrayée de me regarder dans les yeux, elle n'avait pas non plus semblé accablée par la douleur et la tristesse. Elle n'était plus rien. Mélanie avait arrêté de se soucier des choses. Tout ce voyait dans ses yeux.

Les gens disent que les yeux sont le reflet de l'âme, et c'était vrai. Mélanie était maintenant complètement vide.

Ca n'était pas bon. L'une des nombreuses choses que j'aimais en elle, était ce genre de compassion qu'elle avait pour les autres, son innocence seulement..elle. Elle n'était plus la même. Elle n'était plus Mélanie, je devais la faire redevenir comme avant.

Les amis sont très important pour Mélanie. Surtout depuis que ses parents sont morts dans un accident de voiture lorsqu'elle avait douze ans. Après ça, elle a rencontré Kendall. Elle se soucie et adore ses amis, comme elle faisait avec ses parents. Lorsque ses amis pleure, elle pleure, lorsque ses amis rient, elle rit.

Je devais faire revenir ces émotions en elle.

En plus, je ne vais pas nier que le fait d'avoir trouver son côté fougueux et qu'elle ait peur de moi, la rend totalement sexy. J'aime voir la peur dans ses yeux alors que sa bouche libére des mots si puissants. C'était existant et j'allais faire réapparaître tout ça.

Et je savais exactement comment faire.

* * * *

Je souriais narquoisement tout en marchant vers le garage. Les gens pouvais très bien dire que ce que j'avais fait était taré, mais ça m'était égal. Tout ça allait marcher, je le savais.

Je rentrais dans la pièce, pour voir Mélanie endormie, enchaînée au lit juste comme je l'avis laissée. J'étais ravi qu'elle ne se soit pas réveillée, car j'aurais dû supporter toute ça merde et ses cris parce que je l'a retenais encore.

"Mélanie."

Elle laissa échapper un grognement, tandis que je la poussais répététivement au niveau de la joue, jusqu'à ce que ses cils battent et s'ouvrent.

"Ta gueule." grogna-t-elle.

Je gloussais à son impertinence. Elle avait au moins toujours un peu de feu en elle. "Mélanie, réveille toi ou je jette un seau d'eau glacée sur toi." la menaçai-je en souriant.

Elle s'assied instantanément à mes mots. Ses pupilles se dirigèrent vers poignets tandis qu'elle remarquait les marques rouges qui y étaient parsemées.

"Tu m'as encore attachée?" grogna-t-elle.

"En fait je t'ai menottée." la corrigeai-je. "Maintenant viens." lui ordonnai-je.

J'attrapai son bras et l'amenai jusque la cuisine. "Assise." lui ordonnai-je en lui montrant le tabouret. Elle obéit mais fronça les sourcils vers moi. Je gloussais légèrement tout en lui poussant un plateau de nourriture. J'attrapai ensuite le mien encore légèrement chaud.