66

12.4K 455 180
                                    

𝐍𝐞𝐬𝐬𝐲𝐚 : « 𝐣𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐬 𝐥𝐨𝐢𝐧 𝐝'𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐟𝐚𝐢𝐭𝐞. »




















Tu comprend les choses à l'envers, et tu veux que sa marche dans le bon sens...


















N E S S Y A

Je marque une pose, dans ma tête tout se mélange, je sens mon coeur battre à une vitesse inimaginable, j'ai les larmes qui commence a monté, j'ai pas réfléchi avant de descendre à une vitesse, j'étais en chaussettes mais à cette instant même c'était le dernier de mes soucis, je le vois de loins, ma lèvre commence à tremblant doucement, il est encore plus magnifique qu'avant qu'il parte.

Il a un peut plus grandit je suis choqué même, il est pas en fin de croissance ?! Enfin bref, il a laissé pousser encore ses cheveux même si ils sont attachés je le sais, il est tout bronzé, il a pris beaucoup de muscle déjà qu'il était, il fait encore plus peur qu'avant, ses yeux vert...mama, il a du sentir mon regard donc il a tourné la tête et ma fixé, il c'est avancé, j'ai pas réfléchis j'ai couru dans ses bras, Il me serre fort dans ses bras, mes larmes coulent l'une après les autres, je suis la femme là plus heureuse à cette instant même.

Des applaudissements, des cries, sifflement c'est pas notre cité pour rien vraiment, quand quelqu'un se marie ou quoi, on est tous heureux plus que les mariés mdrrrr, on se détache et il dit bonjour à deux trois personnes et on marche vers le bâtiment d'Hafsa, on rentre à l'intérieur, il s'appuie contre la porte et me fixe de haute en bas.

Naïm : t'es pris des formes Ma Sha ‎الله.

Moi : Naïm...

Naïm : je suis sérieux mdrr ! Ta fait du sport ?

Moi : nan ! Rien du tout a part manger.

Naïm : hmm, t'es belle -sourire.-

Moi : -tourne la tête- arrête !

Naïm : -rire- bah quoi ? Sa fait deux ans et demi que j'ai pas vue ma femme, laisse moi la complimenter stp.

Moi : -rire- mdrrrr n'importe quoi, par contre je te préviens, tu pars plus jamais de ta vie autant de temps, jusqu'à je m'exprime mal.

Naïm : -sourire- je t'es beaucoup manquée hein ?

Moi : -hoche la tête- c'était trop dure.

Naïm : je sais, parce que pour moi c'était la même chose, combien de fois j'étais près à rentrer juste pour voir ta geul ? J'ai voulu t'appeler à chaque fois que je t'entendais pleuré dans tes messageries, y'a pas un soir ou j'ai pas tout écouter, mais je crois le pire c'était pas la.

Moi : quand ?

Naïm : quand je suis partie et que j'ai fermé la porte, quand je t'es entendu, j'étais près à faire demi tour, W'الله sa ma tuer de l'intérieur de te voir aussi mal.

𝐍𝐞𝐬𝐬𝐲𝐚 : « 𝐣𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐬 𝐥𝐨𝐢𝐧 𝐝'𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐟𝐚𝐢𝐭𝐞. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant