17.

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𝐍𝐞𝐬𝐬𝐲𝐚 : « 𝐣𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐬 𝐥𝐨𝐢𝐧𝐬 𝐝'𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐟𝐚𝐢𝐭. »
















Même si tu a tord...


















N E S S Y A




Hafsa : Nessya ?

Moi : hum.

Hafsa : tu compte te réveiller à quel heure ?

Moi : -hausse les épaules- tu veut qu'on sorte ?

Hafsa : hum oui, mais avant faut que j'aille voir Saydou.

Moi : bah vazy je vais chez mon père pour qu'on fasse crari qu'on soit ensemble, tu m'envoie un message quand je doit descendre.

Hafsa : te rendort pas hein !

Moi : nan je vais lire, attend j'arrive.

Je suis juste partie prendre ma douche, me brosser les dents, je remet mon pyjama et je vais dans sa chambre, je prend ma doudoune et mon tel, on sort t'façon y'a personne chez elle, elle vas de sont côté et moi du miens, je suis rentré toute discrète et je me suis posé sur mon lit, je lis ma chronique.


47 min plus tard

Je me réveille en sursaut ! Vous voyez quand vous vous rendez compte que vous vous êtes endormi mais qu'il fallait pas ? Exactement pareil mdr, j'enlève mon silencieux parce que quand je lis je le met, et je vois plein d'appel manquer de numéro que je connais, que je connais pas.

J'appel Hafsa en première, je suis en panique je sais pas qui appelé donc bon...

Hafsa : -pleure- Nessya...

Moi : mais pourquoi tu pleure ?! Puis qu'est ce qui a ?

Hafsa : viens vite au parc s'il te plaît.

J'ai remis mon manteau et mes chaussures et je descend, j'ai jamais autant mâché vite de ma vie, limite si j'étais pas étouffer, y'a un grand rassemblement, j'entre avec difficulté, moi ce que j'aime pas c'est comme de par hasard quand c'est le gérant plus personne ose faire quelque chose hein, moi Saydou c'est mon frère, quitte à me faire niquer je rentre, en plus Seydou il est même pas ici mais dans une autre ville avec Aymen, sa veut dire il était vraiment seul parce que les autres c'est des lâches.

Hafsa : nan nan nan il vas le tué.

En vrai je veux bien faire la meuf mais là il fait flippé, mais Saydou avant tout, j'ai mis mon téléphone dans ma poche et j'ai soupiré, le jour ou ma vie sera calme faite moi signe, j'avance limite à reculons mdr, j'ai pas forcément réfléchi mais ma seul solution c'est de le planter, y'avais un couteau au sol, moi je l'es prie et je l'es planté au bras, il a directement lâcher Saydou et il c'est redressé.

𝐍𝐞𝐬𝐬𝐲𝐚 : « 𝐣𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐬 𝐥𝐨𝐢𝐧 𝐝'𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐟𝐚𝐢𝐭𝐞. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant