𝐍𝐞𝐬𝐬𝐲𝐚 : « 𝐣𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐬 𝐥𝐨𝐢𝐧 𝐝'𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐟𝐚𝐢𝐭𝐞. »

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𝐍𝐞𝐬𝐬𝐲𝐚 : « 𝐣𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐬 𝐥𝐨𝐢𝐧𝐬 𝐝'𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐟𝐚𝐢𝐭. »

Je préfère prévenir que guérir...

N E S S Y A

Je vous passe la semaine, Mardi je suis allé en cours, Mercredi j'avais pas cours mais le midi on est partie a la fête foraine toute la journée et c'était vraiment trop bien, Jeudi et vendredi je suis resté avec ma mère et je suis pas partie en cours parce que j'étais malade mais vraiment, bon là sa va mieux mais quand même j'allais mourir surtout Jeudi.

Maman : je te dépose chez ton père ?

Moi : oui s'il te plaît.

Maman : d'accord.

Je fini de me préparer, j'ai mis un simple ensemble une doudoune et voilà, on sort de chez elle, d'ailleurs ma mère habite seul enfin elle est surtout chez sa mère qui est ma grand mère, mais elle habite seul, je lui dit au revoir et je rentre chez mon père.

Il m'a même pas un peut calculer c'est un gamin mon père, il est jeune il a 37 ans, oui il a eu Zeyna à 16 ans, elle a 22 ans, Inaya 20, Lynaa 19 et moi 18, on a toute 1 ans d'écart, enfin bref donc comme je disais c'est un gamin, je le laisse mdrrrr, je suis monté poser mes affaires et je suis descendu le voir.

Moi : 50 ans et sa boude encore.

Papa : j'ai 50 ans ?

Moi : mdrrrr sérieux.

Papa : tu m'énerve.

Moi : mais c'est vous ! Toujours moi, alors que tu sais très bien que tes filles elles sont trop chiante et elles me laisse pas tranquille.

Papa : quand je te dit de monter dans ta chambre c'est pour que tu reste en haut et que vous arrêtez de crier ! C'est pas parce que c'est de ta faute ou quoi, je sais qu'elle sont chiante mais toi tu parle vraiment mal et tu t'énerve pour un rien.

Moi : quoi ? Mais je m'énerve jamais ! C'est que contre elles.

Papa : je sais, mais il suffit qu'elles te disent un truc et tu t'énerve.

Moi : -souffle- ok.

Papa : tu vois ?

Moi :

Papa : viens.

Je vais dans ses bras, je suis proche de mes deux parents moi, j'en préfère pas un plus que l'autre, j'habite certes chez mon père mais sa veut rien dire, déjà pour moi j'habite chez les deux parce que je suis autant chez l'un que chez l'autre, je suis resté avec dans les bras de mon père et on parlait de tout et n'importe quoi.

Hafsa :
« Viens chez moi urgent. »

Moi :
« j'arrive. »