Des parents élégants

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Iwaizumi resta quelques jours chez son ami, sous l'accord de ses parents. Il dormait l'un à côté de l'autre comme deux enfants. 

Même après toutes ses années, Iwaizumi était persuadé que rien n'avait changé. Ils resteraient pour toujours deux meilleurs amis qui se comprennent, et qui s'aiment. Mais il était loin d'imaginer tout ce que son capitaine rêvait de lui dire. Tout les mots qui lui brulent la langue. Si il le lui disait maintenant est-ce que l'attaquant aurait peur ? Est-ce qu'il va commencer à éviter Oikawa, est-ce qu'il va juste être dégouter ? 

Le châtain se retourna, et son regard se posa sur le visage endormi de son attaquant. Il dormait à point fermé, le visage tout calme. Oikawa eu envie de l'embrasser, de le serrer dans ses bras, l'étouffer, l'entendre ronchonner pendant qu'il lui embrassait le cou. C'était si loin comme désir, si impossible. 

Il se rapproche un peu, assez pour sentir le souffle d'Iwaizumi. Il le regarde quelques secondes, replace une de ses mèches  derrières ses oreilles, caresse doucement le contour de son oeil encore bien noir. 

Sans vraiment contrôler, ses lèvres glissent sur celle de son Iwa. C'est sucré et humide. Ses joues devinrent rouge, et il se dépêche de s'enlever. Il met sa main contre sa bouche, encore honteux du geste qu'il venait de faire. Si Hajime c'était réveillé à se moment là qu'est ce qu'il se serait passer ? Il faut vraiment qu'il apprenne à contrôler ses envies. 

Tout brulant, il se relève, et va se rincer le visage avec de l'eau bien froide. 

Mais il était loin de savoir qu'Iwaizumi ne dormait qu'à moitié ce jour là... et que ce baiser, il la bien senti. 

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-Alors réveiller ? 

Oikawa cligna des yeux plusieurs fois, encore pas très réveiller. Hajime était à table, café dans une main tartine dans l'autre. Une autre tasse fumante est posé en face de lui -surement pour le châtain-. Oikawa se dépêche de s'assoir à table et d'entamer son petit déjeuner. 

-On va courir après ? propose le capitaine à l'attention de son meilleur ami. 

-Mh.. ouais pourquoi, c'est vrai que je suis pas aller courir depuis quelques jours.. 

-Bah c'est réglé alors ! Je vais aller m'habiller ! se réjouit Oikawa en se relevant et en courant dans la salle de bain. 

-Et attend finit ta tartine au moins... grommela l'attaquant fatigué du comportement excité de son capitaine. 

Quand Oikawa eu disparu de son champ de vision, Hajime baissa la tête, le regard se plongeant dans son café, froid maintenant. 

Il n'arrêtait de se remémorer cette nuit. Il n'arrivait pas à s'enlever ce baiser de la tête. Ça le hantait, lui bouffait toutes les autres pensées. Enfaite la chose qui le dérangeait le plus... C'est qu'il n'avait pas trouver ça si dérangeant sur le moment. 

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Ils coururent longtemps. Il firent le tour du parc, et  allèrent jusqu'à Aoba Josai. Ils étaient épuisés, trempés.  Quand ils arrivèrent devant la maison d'Oikawa, le capitaine se stoppa net. L'attaquant s'arrêta à son tour. Le passeur semblait tout perdu. Iwaizumi ne comprit pas tout de suite, jusqu'à ce qu'il la voit. La voiture. 

C'était une voiture de riche, avec ses sièges en cuirs et son porte gobelet, c'est pour ça que l'attaquant la reconnue tout de suite.

Il n'y avait aucun doute, c'était la voiture des parents de Tooru. 

-Je ne savais pas qu'ils rentraient maintenant.. euh.. je... tu ferais mieux de rentrer je t'apporterai tes affaires lundi.. a toute... désolé.  bafouilla le châtain avant de courir en direction de sa maison. 

Hajime ne se souvient plus très bien a quoi ressemble les parents de son capitaine. Il ne les a vu  que brièvement quand il était petit. Il se souvient que c'était des gens de grandes tailles, toujours bien habillé. Oikawa les as toujours détester. Surement pour leurs absences trop répéter et bien trop longue. Mais au fil du temps, son capitaine a finit par s'habituer, et à même préférer qu'ils ne soient pas là. 

Le brun soupira, priant pour que tout se passe bien du côté de son ami. 

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Quand Oikawa ouvrit la porte, il se senti prit d'un vertige. Il se sentait comme un étranger dans sa propre maison. 

Leurs chaussures étaient bien rangées dans l'entrée, et Tooru ne put s'empêcher de donner un coup dedans. 

Il entendit des voix venant du salon l'appeler. Il ne se pressa pas d'y aller, prenant son temps. 

Quand il croisa le regard de sa mère, il eu l'impression de ne pas la connaitre. C'est vrai la dernière fois qu'il la vu, elle avait les cheveux noirs, et aujourd'hui elle les à plus dans le brun très clairs. Même sa couleur de peau à changé. Elle qui était si blanche, elle est toute bronzée. Elle est aussi plus mince que la dernière fois. Il n'a pas l'impression de regarder sa mère, mais plutôt une parfaite inconnue. 

-Oikawa. dit son père en portant sa tasse à ses lèvres. C'est comme ça qui tu nous accueilles ? Regarde la maison comme elle est sale. 

-Je ne savais pas que vous veniez. répondit froidement le garçon, poings fermés. 

-Oui, désolé de ne pas t'avoir avertis plus tôt, mais on voulait te faire une surprise.. rigola sa mère accompagné de son habituel sourire chaleureux. 

-Ce n'est pas plutôt parce que vous aviez des affaires dans les coins ? dit-il en lançant un regard noir à son paternel. 

-Qui t'as appris à parlé si impertinemment ? répondit son père sans le regarder. 

-Personne vu que vous étiez pas là pour m'éduquer. sourit Oikawa. 

Sa mère tapa sa main contre le fauteuil, sourcils froncés: 

-Oikawa ! Tu sais que l'ont fait tout ça pour toi, ne commence pas à répondre à ton père de la sorte ! 

-Oui, oui.. 

Son père posa sa tasse, et plongea son regard dans celui de son fils: 

-Je t'ai vu à la télé jouer, je suis fière de toi, tu as fais des progrès. Tu es vraiment mon fils ça c'est sur, tu es talentueux. Désolé de ne pas avoir été présent  pendant ces quelques mois, mais nous sommes là maintenant. dit-il d'un ton serein. 

Son père est quelqu'un de très sage et sérieux. Il a de long cheveux noir, qu'il attache en queue de cheval, et s'habille souvent comme un prêtre, avec des habits traditionnels. C'est quelqu'un de très élégant et beau. Mais son regard à toujours fait peur à son fils. Il parait tout le temps en colère, et c'est ce qu'Oikawa déteste. Il déteste cette homme, enfaite il les déteste tout les deux, ses inconnues qui se croient  tout permis dans sa  maison. 

-Vous dites tout le temps ça, mais demain vous seriez parti.. 


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Joyeux Noel ! Joyeux réveillon et tout le tralala ! 

J'espère que vous passez de bonne vacances, dans mon cas ça va ^^ je vais poster plus ces jours, enfin si j'ai le temps avec tout mes devoirs haha TvT 

en tout vas merci d'avoir lut !! 

  

Jᴇ sᴜɪs ᴛᴏᴍʙᴇ́ ᴀᴍᴏᴜʀᴇᴜx ᴅᴇ ᴛᴏɪ ᴜɴ ᴊᴏᴜʀ ᴅᴇ ᴘʟᴜɪᴇWhere stories live. Discover now