Après avoir passé 5 ans loin de sa sœur pour faire des études à Londres, Chloé Natalia Romanoff est de retour à New York.
Entre lutter contre un pouvoir qui est enfermé en elle et qui ne demande qu'à sortir, être pourchassée par une activité terror...
Bonjour à toutes et à tous ! Voici le trente-neuvième chapitre.
J'espère qu'il vous plaira, j'attends vos retours avec impatience !
Bonne lecture !
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Après être entré dans la chambre, Loki avait verrouillé la porte derrière lui. J'avais l'impression de vivre dans un film tellement tout était parfait.
« C'est toi qui a fait tout ça ?
- Tout ça quoi ?
- Décorer la chambre.
- Alors Chloé, je t'aime plus que tout. Lais tu me vois vraiment en train d'étaler des pétales de roses partout ?
- C'est vrai que ce n'est pas ton genre.
- J'ai simplement demandé aux filles de décorer la chambre pour que ça te plaise.
- Donc c'est quand même ton idée ?
- En quelques sortes oui. »
Je souriais bêtement. Je me sentais heureuse, épanouie. Je tournais mon regard vers Loki qui avait retiré sa veste de costume et qui s'apprêtait à déboutonner sa chemise. Je m'approchais de lui et lui prend les mains pour le stopper. Je levais les yeux pour le regarder.
« Laisse-moi faire. »
Il lâchait le bouton qu'il était en train de défaire et posa ses mains sur ma taille avant de m'embrasser. Je repris là où il s'était arrêté et fit tomber sa chemise sur le sol. Je glissais mes mains sur son torse et posa ma tête contre lui. Sentir son odeur, la chaleur de son corps... Il n'y avait pas meilleure sensation. Il passa une de ses mains dans mon dos pour descendre la fermeture de ma robe et il approcha sa bouche de mon oreille.
« Tu ressembles à une déesse dans cette robe mais elle cache beaucoup trop ton corps. »
Je mordais ma lèvre en sentant son souffle dans le creux de mon oreille. Je commençais à lui déposer des bisous dans son cou pendant qu'il me retirait ma robe. Une fois qu'elle toucha le sol, je fis deux pas en arrière pour la retirer complétement. Loki passa sa langue sur ses lèvres.
« Si j'avais su que tu portais des sous-vêtements aussi sexy, crois-moi que le mariage aurait duré à peine 5 minutes.
- Et si tu arrêtais de parler et que tu passais un peu plus à l'action ?
- Madame est autoritaire. Ça me plaît. »
Il passa sa main droite dans le creux de mes reins pour m'attirer vers lui et m'embrasser avec un tel désir que je sentais la chaleur monter en moi. Je lui déposais des bisous dans le cou tout en descendant sur son torse jusqu'à arriver à la ceinture de son pantalon. Je la défis et fis glisser lentement son pantalon jusqu'à ses chevilles puis je me relevais en effleurant légèrement la bosse de son caleçon avec mes doigts.
