Intentions de l'auteur

Börja om från början
                                    

Ayant découvert le secret qui entourait sa mère, c'est cette raison que Graseille alias la Princesse Céléïna est poussée à devenir une mère de remplacement car elle reste princesse en étant pas reine, mais elle lui jure fidèlement qu'elles se retrouveront un jour, lorsqu'elles entreront ensemble dans le royaume des sorcières pour ainsi reprendre une vie normale, (Ou entre-guillemet de nouvelle vie de sorcière sans avoir de leçon à rendre aux autres)

La vie de sorcière ressemble un peu à la vie normale, il y a certes des règles mais elles ne sont pas réglées par de mauvais gouvernements ou par une cour royale, c'est une vie paisible où elles peuvent vivre des jours meilleurs sans avoir de morales pénétratifs à devoir contourner.

Lorsque Graseille et Cerise Noire vont ainsi aller au royaume des sorcières pour la journée des épouvantails, elles vont retrouver une part de famille normale de ce que la vie de princesse dans un royaume ne se retrouve pas ailleurs.

La sorcière Méfesta s'inspire de ma sœur Julie qui a vécu un premier cancer et le second est celui de ce qu'elle vit présentement qui touche précisément les os, lorsque j'avais appris la nouvelle, ça m'avait dévasté totalement.

Je voulais faire quelques chose, c'est ma patronne Maryse du Plateau du travail qui m'a parlée de vendre des plantes aloès au CHSLD du Foyer de la paix de St-Félicien, c'est durant la vente que j'ai du faire seul, qui m'a inspirée l'idée des plantes Aloès Véra.

C'est ainsi en m'inspirant de cette vente au CHSLD que je me suis inspirée pour inventer cette idée de vente de plante Vera « Cruz » le faux nom de la plante, s'inspire aussi pour tout ceux qui combattent le Cancer, pour ainsi avoir une certaine pensée aux gens qui travaillent pour la société canadienne pour la recherche contre le cancer.

Cette plante a pour ma part une efficacité face à toutes sortes de maladies, y compris pour la peau et pour toutes sortes de remèdes miracles...mais attention, pour ceux qui s'en servent mal, cette plante pourrait se retourner contre eux (C'est ce qui advient à la princesse Bleuêtte-Grise vers la fin de l'histoire)

D'Ailleurs j'ajouterais que chaque nom de princesse est en fait une parodie des noms de princesses Disney mais qui en vérité, n'ont absolument rien à voir avec l'image qu'on les perçoit.

Elles ne sont pas si vilaines que ce soit, mais souvent ce qui me tracasse le plus, les princesses de Disney en générale suivent cette tangente où elles sont forcées d'être sauvées à chaque fois par un beau prince charmant, par rapport à ce qu'elle fasse une chute spectaculaire, pour se sentir souvent en détresse.

Ce cas de princesse en détresse, me déçoit de plus en plus, comme ce serait la raison valable qu'une princesse devait constamment être sauvée par un beau prince charmant.

Par ailleurs, j'ai décidé de contourner les règles concernant le Prince « Stephen » en ne faisant pas de lui, un prince charmant comme dans les contes, mais dans faire en réalité, un prince égoïste qui ne pense qu'à lui-même et qui préfèrerait épouser une princesse qui serait belle à l'extérieur et écervelée à l'intérieur qui serait forcée d'exécuter ses ordres à lui, comme si il serait un peu manipulateur et dangereux.

Cette histoire ne s'inspire en aucun cas, de récents cas de violence conjugale que vivent présentement les femmes durant la situation de la COVID, mais je voulais que Graseille soit l'une d'elle qui contourne ces maladresses et qui décide de quitter une bonne fois pour toute, un homme violent et manipulateur qui lui ferait du mal.

J'ai connu certaines personnes de ce genre, et directement ça me terrifiait de voir de pauvres femmes sans pouvoir de n'avoir aucune oreille à l'écoute face à ce qu'elle aurait vécu.

Heureusement Graseille sera l'une d'elle qui réussira à s'en débarrasser et qui offrira une bonne leçon à la toute fin, où même la Princesse Bleuêtte-Grise lui forcera de revenir avec lui, mais qui heureusement n'aura pas oublié ces leçons de sorcellerie leur offrira à toutes les deux une bonne leçon pour ce qu'elle a subit en travaillant dans cette horrible parc d'attraction.

Le personnage de Robert s'inspirerait de moi à priori, j'ai toujours craint de ne pas me sentir capable d'avoir une relation sérieuse avec une femme, parce que j'avais un handicap léger et que les gens en particulier les femmes me dévisageait car je leur faisais beaucoup trop peur dû que j'était différent des autres.

Ce personnage craint souvent d'être détestées par les autres, c'est le cas de moi aussi, Graseille souhaite épouser cette homme de façon qu'on diffère l'image qu'on projette dans les contes de fées, que les femmes qui deviennent belles et jolies n'épousent pas des princes beaux et jolies, que cette dernière puisse finalement épouser une personne handicapé qui n'est certes pas parfait venant de son allure, mais qu'elle veut démontrer d'accepter les gens peut importe les préjugés qu'on imagine des autres.

C'est une peur que ressentent les gens handicapés et les personnes normales, comment seront leurs vies si elles sortent avec une personne avec un handicap intellectuel ? Dans la plupart des adaptations filmiques, certains couples étranges sont bien plus beaux qu'à l'extérieur.

C'est ce qu'on remarque par exemple avec Roger Rabbit (un lapin de dessin animé) et sa femme Jessica, ou encore de Shrek et de la Princesse Fiona, de voir qu'une sorcière qui a échappé enfin à une malédiction ne sort pas avec un mannequin issu d'une œuvre de film Hallmark, mais sort avec quelqu'un qui semble lui non plus pas parfaite et qui est différent des autres, mais dont le souci qui a pour elle et lui , soit bien plus beau et plus grand encore.

Bref c'est ce que je ressentais en écrivant le conte de « Graseille » que l'amour pouvait être plus fort que tout et que parfois les rêves qu'on imaginait dès le début changent après vécu cette vie pour finalement reprendre sa vie en main, et accepter la vie tel qu'elle devait mener avant en s'acceptant tel qu'était auparavant en trouvant l'homme parfait qu'elle souhaitait trouver depuis sa plus tendre enfance, mais si il est loin d'être parfait, selon ce que raconte les contes de fées.

Je rajoute à la dernière minute, l'élément du parc d'attraction « Magic Land » n'a strictement rien à voir avec le récent film de Disney de 2020, et que la nouvelle à l'origine que j'avais écrit à l'époque entre janvier et juin 2017 n'était pratiquement pas au courant d'une telle annonce de projet de film mettant en vedette Adam Devine, et que le nom du parc d'attraction à été pris sur un coup de tête, je n'était pas au courant à l'époque jusqu'à récemment du projet du film pour la plateforme Disney+.

Même à l'époque de 2020, je n'était pas au courant de ce projet de film qui racontait l'incroyable épopée d'un magicien qui allait travailler dans un camp de vacances sur les métiers de la magie, et que si Disney souhaiterait que je change le nom de l'endroit annoncée dans le conte à l'origine, je suis prêt à prendre la responsabilité de changer le nom venant de leur propre demande.

Pour finir, je ne suis pas abonner à la plateforme numérique de Disney+ mais uniquement à la plateforme du Club Illico de Vidéotron, pour leur faire comprendre que j'avais jamais entendu parler de ce projet auparavant, pour signifier la vérité pur et dur durant la production écrite de la nouvelle à l'époque.

GraseilleDär berättelser lever. Upptäck nu