[Bokuto x Akaashi]
Akaashi était fasciné par les orages. Un soir, alors qu'il était sorti admirer la tempête, il fit une rencontre fracassante avec un homme, Bokuto. Ils auront, par la suite, l'occasion de se retrouver plusieurs fois.
Ils apprendron...
Mot de l'auteure : Bonjour, bonsoir à vous ! Oui, vous ne rêvez, un nouveau chapitre, après huit mois. Et oui, j'ai un peu (beaucoup) honte. Sans trop rentrer dans les détails, j'ai eu pas mal de changements dans ma vie, j'ai trouvé un job, un nouvel appart' et il s'est passé beaucoup de trucs dans ma vie qui m'ont pris énormément de mon temps. Oh, et j'ai un merveilleux blocage dans l'écriture. Une sorte de syndrome de la page blanche mais en assez violent, c'est assez difficile à décrire. Il faut savoir que j'ai pas arrêté d'écrire pendant huit mois pour finalement pondre ce chapitre d'un coup, non j'ai commencé à l'écrire y plusieurs mois déjà. Je rajoutais une phrase de temps en temps. Ouais, c'est horrible. J'ai fini par me forcer à écrire un peu plus d'un coup et, pour que cette histoire n'est pas l'air abandonnée, j'ai décidé que les chapitres seront plus courts (on passe de 4k-5k à 3k à peu près) pour que mes publications soient, je l'espère, moins espacées.
Bon, j'arrête mon blabla mais il me semblait juste d'expliquer vite fait la situation après une si longue absence. Je n'abandonne pas Fascinant, je vais tout faire pour la terminer dans des délais décents. Bonne lecture à vous !
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Une douce chaleur caressait le visage de Bokuto depuis plusieurs minutes maintenant, et il émergea difficilement. Un plafond sombre avec de larges poutres apparentes prit place dans son champ de vision. Il se frotta les yeux et se rappela alors où il se trouvait. Le refuge en montagne avec Akaashi.
— Akaashi ! s'exclama-t-il en se redressant d'un coup.
De l'autre côté de la pièce, le susnommé fit un bond avant de grimacer de douleur.
— Bokuto, pourquoi cris-tu à peine réveillé ?
Il était installé sur le rebord de l'une des deux fenêtres du refuge, une jambe repliés sous les fesses pendant que son autre pied, bandé, était au sol.
Rassuré, Bokuto laissa échapper un bâillement et s'étira. Il en profita pour jeter un coup d'œil à la pièce. Il pouvait mieux l'observer grâce à la lumière du jour. Elle était extrêmement simple, avec une massive table en bois de chêne et deux bancs assortis. Le feu dans la cheminé n'était plus qu'un tas de cendres rougeoyant n'apportant plus de réelle chaleur.
Quelques rayons de soleil traversaient la fenêtre devant laquelle était posté le blessé, à nouveau tourné vers le paysage extérieur. Bokuto pouvait voir les branches des arbres secouées et en déduisit que la pluie avait laissé place au vent. Il déverrouilla son téléphone et vit qu'il était déjà 8h30 passé.
— Tu es levé depuis longtemps ? — Une bonne heure. J'ai pu observer le levé de soleil entre les deux arbres juste là, c'était vraiment beau.
