chapitre 2em

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Je me réveille avec un mal de crâne terrible, je regarde autour de moi je ne reconnais pas la pièce. Qu'est ce qui m'arrive bon sang? J'essaie de me relever mais mon corps est trop faible. Je regarde avec plus de précisions la chambre et tout est blanc, aucune couleur. J'ai une robe d'hôpital blanche.
La porte s'ouvre, un jeune homme entre, je ne l'ai jamais vu, j'en suis sûre.
Il est métis, grand, beau, peut être âgé de 25 ans. Il a le regard vide et ça fait très peur, sa mâchoire est crispé.
Il tire une chaise et s'assoit en face de moi, je reste allongé, je ne veux prendre aucun risque.
Ça fait 15 minutes qu'il me fixe sans rien dire, il n'est pas net du tout, je prends mon courage a deux mains

- t'es qui toi ? Lui demandé je

Il ne dit rien et continue de me fixer dans les yeux

- je te parle ! M'enflammé je, t'es sourd ou juste con

Un sourire né sur ses lèvres, le genre qui dit " fallait pas dire ça", il sors une lame de sa poche l'approche de mon bras, il pause la partie pointu et appuie dessus. Je serre les dents, j'aurais dû me taire

- je suis ton bien faiteur, et à partir d'aujourd'hui tu m'appartiens

Sa voix est rauque, il a le visage fermé de tout

- je ne vous connais pas, qu'est ce que vous voulez ? ajouté je la vois enroué par la douleur

Il appuie plus fort sur la lame, je lâche un gémissement de douleur mais ne me démonte pas

- arrêtez ! Je veux rentré chez moi! Pourquoi vous me faites ça ? Qui êtes vous ?

- je suis ton propriétaire lâche t-il sans vergogne avec un sourire de sadique décérébré, donc change de ton tout de suite

- mais pourquoi moi ? Demandé je au bord de la panique

- parce que dans la vie il y'a des gens comme moi et ensuite il y'a des tâches comme toi dont personne n'a besoin.

Je le regarde les yeux ébahis, au moment j'allais lui dire ce que je pense de son mental de cochon, il appuie de plus belle sur la lame ce qui me fait comprendre que si je continue je vais perdre mon bras

- ta tante ne s'est pas gêné de t'echanger contre de l'argent, beaucoup d'argent, ce qui revient à dire que tu es à moi

Je reste bouche bé, il sort la lame de mon bras sans douceur, je crie de douleur. Il se lève et se dirige vers la porte

- tu m'appelleras maître, et tu as cinq minutes pour venir au salon, on va parlé des règles dit il

Je ne peux m'empêcher de rire, c'est ridicule

- vous êtes pathétique ! Balancé je sans m'arrêter de rire

Il me regarde et reviens dangereusement vers moi, Oups !

Il prends un flacon dans sa poche l'ouvre et la verse entière sur la plaie fraîche qu'il m'a infligé, la douleur est énorme, je crie a pleine bouche, le charisme attendra. Il approche son visage du mien les yeux remplis de colère et dit

- je ne vais pas le répété, si tu es en retard tu seras puni

Je hoche la tête rapidement, il me montre du doigt un paquet puis sors sans refermer la porte. Je me lève avec beaucoup de mal, je crois que je rêve. J'ouvre le tiroir juste à côté de mon lit et voit un bondage, je m'attache celui-ci sur ma blessure et prends le paquet au sol. Il y'a une robe à l'intérieur, je dois surement la mettre. Je me déshabille et remarque que je n'ai plus de sous vêtements. Je fouille comme une dingue dans le paquet mais rien aucun slip ni soutien. Je mets tout de même la robe qui soit dit en passant est très belle, mais y'a juste un truc qui cloche, elle est transparente, très transparente, comment du sachet, et moulante, elle atteint les chevilles, c'est comme si j'avais porté du papier film,
TOUT CE VOIS...

Ce que je mérite Où les histoires vivent. Découvrez maintenant