Je hais le destin !

Chapitre 22

NDA : je suis sincèrement désolée du retard, j'avais énormément de chose à faire et j'avoue que je n'étais pas dans un mood d'écriture. En espérant que la suite vous plaise et que vous pourrez pardonner mon retard :) 

PS : attention lemon, je ne suis pas douée pour les écrire donc si vous voulez passer, rdv au chapitre suivant :) 

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Les heures défilent lentement jusqu'à notre arrivée. Thomas se gare près de chez lui et laisse Arès prendre le volant pour les 500m qui nous sépare encore de notre maison. 

Toujours mécontent d'avoir été frustré tout le trajet, il grogne et monte à la place du chauffeur tandis que je profitais de l'arrière pour étendre tout mon corps.

Je m'étale et détends mes muscles encore un peu endormis tout en baillant tandis qu'Arès garait la voiture dans le garage

. En sentant que nous nous étions arrêtés, je compris que je pouvais descendre et appuyai sur la portière mais rien, elle ne s'ouvrait pas. 

A peine j'eus le temps de dire à Arès de débloquer les portes que des lèvres vinrent se poser sur les miennes accompagnées d'une paire de mains qui encerclait mon crâne.

En sentant les phéromones que mon alpha s'amusait à répandre, je compris que le voyage n'avais pas calmé ses ardeurs et ses mains glissant vers mon bas du dos vérifiaient la véracité de mes pensées. 

Je profitai de quelques secondes de répis pour tenter de parler.

Moi : att-... anhh attends 

Ses yeux remplis d'excitation et de désir me fixèrent, montrant son impatience à l'idée de me dévorer et je dois dire que j'étais tout aussi impatient.

Moi : p..pas ici 

Il n'en fallut pas plus pour qu'il encercle ses bras autour de moi et me sort de la voiture, me portant telle une jeune mariée vers notre chambre. 

Il ne s'arrêta pas vers le lit et se dirigea directement dans la salle de bain. 

Je le remerciais silencieusement d'avoir pris en compte le fait que je voulais avoir ma première fois dans les meilleures conditions possibles, et je préfère ne pas parler de mon odeur après un long voyage en voiture sans pause 

A peine nous étions dans la pièce qu'il me posa sur le rebord et mes vêtements disparurent avant que je n'ai le temps de m'en rendre compte. 

Mon sous-vêtement comme dernière barrière, je me glissai sous la douche tandis qu'Arès s'empressait de se débarrasser à son tour de tous ses vêtements. 

Il s'approcha de moi et colla mon dos à son torse, et par la même occasion, son érection nue contre mes fesses encore protégées par mon caleçon. 

Je me rends compte que j'ai peut être parlé un peu trop vite lorsque je sens ses mains glisser vers l'extrémité de mon caleçon tandis qu'il couvrait mon cou de baisers.

N'étant même plus maître de mon propre corps, naviguant dans tout le plaisir que me procurait chacune de ses caresses, je ne pus m'empêcher de gémir en entendant enfin sa voix grave et sensuelle me demander l'autorisation de me séparer de ce foutu bout de tissu.

J'acquiesçai en gémissant, ne pouvant même pas articuler ne serait-ce qu'un mot, accompagnant ses mains pendant qu'il me déshabillait.

Désormais entièrement nus, Arès me tourna vers lui en un, simple mais incroyablement rapide, mouvement de hanche, plaquant ses lèvres sur les miennes en un baiser des plus langoureux.

Nos érections se frottant l'une contre l'autre et ayant assez profité de la douche et des caresse d'Arès me savonnant, je lui fais signe de rejoindre notre lit ce qui lui augmenta visiblement son excitation.

Il me sécha rapidement et s'empressa de me porter jusqu'au lit, avant de venir sur moi, collant nos corps et me caressant de plus en plus sensuellement. 

Je frissonnai à chacun de ses touchers et mon corps commençai à en demander plus, beaucoup plus que de simples suçons.

Je cambrai mon dos de sorte à pouvoir le toucher encore plus et lui montrer mon désir mais voulant toujours en ressentir plus, je me mis à me frotter à lui, n'hésitant pas à écarte un peu plus mes jambes.

Comprenant enfin ce que je voulais, il fit glisser ses mains vers mon anneau de chair et me fixa quelques instants.

Arès : tu es sûr que c'est ce que tu veux ? 

Moi : o..ouuii 

Il sourit et m'embrassa tandis qu'un doigt me pénétrait.. 

C'était assez désagréable mais la sensation de douleur ne fit son apparition que lorsque son troisième doigt rejoignit les autres dans leur mouvement qui me procurait bien trop de sensations pour que je comprenne réellement leur sens. 

J'ai à peine le temps de me rendre compte du vide de ses doigts qu'une chose beaucoup plus grosse les remplace, oh...

Arès : ça fait mal ? 

Moi : ç..ça..c'est inconfortable

Arès : désolé amour, ça va vite passer 

Il m'embrasse délicatement voulant me faire oublier la douleur, et reste immobile en attendant que je m'habitue à sa présence. 

Il bouge lentement malgré mes grimaces de sorte à ce que je m'habitue plus facilement et après de lents vas et viens, mes gémissements de plaisirs reprennent enfin possession de la pièce, poussant Arès à accélérer. 

Malgré ses grognements de plaisir mêlés aux miens et son corps qui bouge à une vitesse incroyable en moi, il me force à ouvrir les yeux quelques instants pour me demander.

Arès : tu te sens mieux ? 

Moi : c'est.. bizarre 

Arès : tu veux que je ralentisse ? 

Moi : n..non continue 

Un sourire vient prendre place sur son visage et il reprend les mêmes mouvements au même rythme effréné. 

Et même nos éjaculations respectifs n'ont pas calmé ses ardeurs puisqu'il a continué de me prendre encore et encore pendant un long moment tandis que ma gorge se cassait de plus en plus de part mes cris de plaisir.