Titanic 3.0

Acte I - Scène 5 "Come little children"

Ribika, un subordonné, Titanic

Ribika : Ahhhhhhh !!!! Enfin fini d'arnaquer tous les gens riches de mon gros bateau. 

Ribika aperçoit l'un de ces subordonnés, un honnête dealer de stupéfiant (nda: comme Historia, dites non à la drogue)

Ribika au subordonné : EH toi là-bas !! le subordonné regarde autour de sa personne, espérant que son capitaine s'adresse à une autre entité humanoïde que lui  OUI, OUI TOI LA !

Le subordonné feignant de ne pas reconnaître cette personne si "intelligente" qui est accessoirement son supérieur : Mais vous êtes qui vous ?

Ribika en ignorant son intervention : Esclave ! Va prévenir les moutons que j'organise un discours de bienvenue sur le pont principal, le pont A. Cela sera suivi d'une réception pour les premières classes, au lecteur il faut que je les rackette pour payer mon futur mariage, à l'employé  Marichon : le subordonné informe les par la même occasion. 

Le subordonné en jouant le passager innocent : Je crois que vous faites erreur, gente dame, je ne suis qu'un simple passager ! 

on aperçoit derrière les deux personnages une silhouette gracieuse portant des talons aiguilles et une belle robe de flanelle blanche très en vogue à l'époque de Molière, se glisser sur le pont tel chat noir et ses supers pouvoirs. Elle se dirigea à pas lent et discret vers les cabines

Ribika qui ne l'écoute toujours pas : Préviens tout le monde et rappelle les gestes barrières pour ne pas attraper le sida -n'oublie pas de vérifier que le distributeur de ...

Le subordonné : HUMHUM écoutez-moi s'il vous....

Ribika : Nonon, pas besoin de parler juste d'écouter mes ordres et de te taire. Je en se montrant du doigt parle, tu en le désignant avec un doigt habillé évidemment m'écoutes, compris arriéré ?  Bien, marche, cours, vole, tombe, meurt et trépasse.

Le subordonné : Si je puis me permettre....

Ribika : Je ne te permet pas.

Le subordonné : Et bien je me permet quand même. Meurt et trépasse cela signifie la même chose. 

Ribika : Non.

Ribika leave la session

Le subordonné abandonné : Bon et bien me voilà dans une sacré panade. à tous les passagers et aux lecteurs ET BIEN, ECOUTEZ-TOUS, JE VAIS VOUS EXCITER LA SUITE DE LA JOURNEE! Oh fichtre, je me trompé, faisons comme si rien ne s'était passé pour accentuer le malaise. en chantant  OHE OHE NOBLE GENS ABANDONNES, en cessant de chanter pour cause de malaise intense  je vous invite au discours d'accueil du capitaine sur le pont A ce soir dès 20h ! Suivra une réception pour les passagers fortunés de première classe ! Vous et votre argent, venez je vais vous montrer! il fait le geste adéquat bien évidemment.

tous les passagers passent sans prêter ne seray-ce qu'une milliseconde au malheureux qui énonce son message avec force et ardeur sans aucun charisme (nda: et oui le charisme ce n'est pas donné à tout le monde n'est-ce pas Choucroute ?)le subordonné continue son monologue durant de longues heures jusqu'à ce que plus aucune goutte de salive ne coulent dans sa gorge desséchée. (ndcesc(pour note du capitaine et du sous-capitaine): envoyez vos dons pour le pauvre subordonné en effectuant un envoi d'argent ou un chèque à la République démocratique des bébés phoques. Cordialement, Ribika et Julian.)