Chapitre 8

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Chapitre 8

Queen était assisse devant son ordinateur portable et regardait le profil de James. Cela faisait maintenant trois ans qu’ils étaient séparés et qu’il avait déménagé pour l’Angleterre. Soudain, elle aperçue que de nouvelles photos avaient été ajoutées à son album. Une fille se trouvait avec lui. Elle avait les cheveux bruns bouclés, les yeux bleus foncés, un visage délicat, le teint légèrement foncé et ne devait pas avoir plus. Queen sentit la haine monter à une vitesse folle en elle : James la regardait d’un regard qui ne pouvait lui être adressé qu’à elle : il la regardait avec un amour passionné. Elle jeta un rapide coup d’œil aux contacts de son ancien petit ami et retrouva la fille en question ; elle s’appelait Katheryn Lancey et habitait à Londres, sa ville d’origine où elle était née le 29 août. Elle avait dix-sept ans, dessinait, jouait du piano, faisait de la photographie, du snowboard et une petite note ajouté par James lui signala qu’elle chantait. Cette Katheryn parlait l’anglais, le français et l’espagnol. Sa couleur préférée était le turquoise, elle adorait le dessert et avait, selon un commentaire d’une fille qui devait sûrement être une de ses plus proches amies, n’avait actuellement pas de relation stable. Enfin, elle vue qu’elle était actuellement à la plage de Brighton, dans le Sussex de l’Est, en Angleterre. Queen eut un sourire en coin tandis qu’elle imprima la page qu’elle avait consultée puis, saisit son cellulaire et appela sa coiffeuse personnelle de sa voix cristalline : «Allo, Emily? J’aurais besoin d’une coupe de cheveux pour demain. Comment? Teins- moi les cheveux en brun, et fais-les moi bouclés… oui, je suis sûr de ne plus vouloir mes cheveux blonds… merci… alors à demain.» Elle raccrocha, dévala les grands escaliers en marbre, traversa le grand salon riche en décoration, puis, arriva au bureau de son père. Le plancher, fait du même matériel que les marches de l’escalier principal, était recouvert d’un tapis en fourrure rouge bourgogne synthétique dont un large bureau en bois de pin occupait le centre. La table de travail était encadrée de deux fauteuils en cuir écarlate et était remplie de piles de papiers importants. Une plume grattait un épais document qu’un homme d’une cinquantaine d’années tenait entre ses mains. Il leva ses yeux de couleur acier cachés derrière ses lunettes rondes vers sa fille unique qui lui demanda :

«Papa? Est-ce que tu pourrais m’obtenir un billet d’avion pour Brighton qui partirait vers deux heures de l’après-midi demain? Son père déposa son feuillet et répondit :

- Tu as demandé à ta mère?

- Tu sais bien qu’elle se fiche de ce que je fais. De toute façon, si je lui demandais, elle me lancerait une bouteille de vodka à la tête, elle est complètement soûle.

- Bon, tu as dix-sept ans. Tu es grande fille maintenant. J’envoie un appel et je devrais avoir ton billet dans une heure.

- Merci papa.»

Sur ses mots, Queen s’en alla faire ses bagages pour son vol prévu pour le lendemain. Mais avant, elle envoya un message à James…

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Hello! Je suis désolée, ce chapitre est vraiment court... mais il amène tant de chose!! *rire diabolique de ma part parce que je sais ce qui va arriver* Enfin bref, moi ce soir je regarde des films en pyjamas en mangeant du chocolat et j'adore ça (je vais des rimes!!!!) N'oublier pas de me follower sur Twitter: @Its_MarieJ

MarieJ xxx

Le dix-septième étéWhere stories live. Discover now