Chapitre 23 :

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C'était terrible.

A peine venait-il de me frôler l'hymen que je sentais déjà le supplice régner entre mes jambes avant de faire une marche militaire jusqu'à mon cerveau, accompagnée de ses soldats meurtriers et de ses armes destructives. En gros, c'était la guerre.

Bintou : - "Mansour, je ne peux pas, ça fait trop mal !

Mansour : - "C'est normal, ma puce, mais ce n'est comme ça qu'au début.

Bintou : - "N'essaies pas de me faire croire que je vais vivre la guerre des 300 spartiates en un centième de seconde et qu'après, ça sera paradisiaque, alors qu'au fond, je suis sûre et certaine que ça sera Chaud-fondé entre mes jambes durant les 10 prochains jou-  

Cette phrase-là, je m'en souviens parfaitement. Je n'ai pas eu le temps de la terminer parce que Monsieur a profité de ma concentration pour me pénétrer totalement et m'arracher le gosier de sa place.

Bintou : - "Maaaaaaaaaaaaansour !!

C'était atroce ! J'ai eu l'impression qu'on venait de me poignarder le vagin avec une épée, et la douleur se sentit passer dans tous le corps. C'est comme vous couper les membres du corps un à un, alors que vous reposez sur une plancha bien chaude, tout en ayant des scorpions qui vous pincent les organes digestifs et génitaux. Un vrai supplice.

Mais après ça, c'est vrai que ça a été magique, surtout que Mansour s'y ai pris de main propre.

Mansour : - "Ça va ?

Bintou : - "Nnn...

Mansour : - "Je vais y aller doucement, d'accord ?

Bintou : - "Oui.. 

Et je ne sais pas pourquoi, après qu'il ait commencé ses vas-et-viens, la douleur a commencé à s'apaiser et à laisser place à une admirable foulée de jouissance. En outres, Mansour faisait tout pour me remettre à l'aise et pour me faire oublier le mal.

Mansour : - "Même si tu me le demandes, je ne m'arrêterais pas ici, pas au point où l'on est. Je t'ai finalement complètement conquis, et être en toi m'empêche égoïstement de te libérer de cette pression. Je sais que ça fait mal, je sais à quel point ça doit être terrible de se faire pénétrer pour la première fois, pour une vierge, mais je sais aussi que mes sentiments t'atteindront encore plus et t'apaiseront au plus haut point, afin d'assouvir tes besoins et ton plaisir, d'accord ?

Bintou : - "Sale con.

Mansour : - "Je sais. Je sais que je suis un gros con, mais on le devient tous lorsqu'on désire quelque chose, et une fois qu'on l'a eu, on devient hypocrite, et encore plus amoureux.

Bintou : - "Ah !

Mansour : - "Désolé, je t'ai fais mal ?

Bintou : - "Non, c'était...bien.

Mansour : - "Héhé, tu vois.  

Il continuait de me pénétrer tout en me parlant, mais aussi en m'embrassant fougueusement les lèvres et la poitrine, sur laquelle il s'attardait parfois, avant de me coller encore plus à lui et de me chuchoter « je t'aime ». Durant ces moment-là, je faisais plus attention à son souffre haletant, qui en disait hautement sur son état d'excitation et d'exténuement, et à ses battements de cœur. Il battait vite, trop vite. Je pensais être la seule dont le cœur pouvait battre aussi rapidement, mais je me suis trompée et me suis rendue compte que tout ceci était dû au plaisir.

C'est ainsi que, petit à petit, je sentais mon corps s'embraser sous les caresses de ses chaudes mains et sous les baisers de ses douces lèvres, et l'envie m'est subitement venue. Cette envie de lui rendre cette chaleur et cette passion qui se propageaient à chaque coup de rein de nos éléments, cette envie de saisir son visage dans mes mains et de l'embrasser à grands flots, et cette envie de gémir et de rugir de plaisir. 

ÉPERDUMENT | Tome 2.☆Terminée☆Tempat cerita menjadi hidup. Temukan sekarang