Kidnappe-moi (Karma x Nagisa)

By KinaoChan

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Une histoire racontant la rencontre entre un assassin professionnel intégré dans une compagnie et un gosse de... More

Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23

Chapitre 6

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By KinaoChan

PDV Nagisa :

Ça faisait trois jours que la photo et mon petit discours étaient entre les mains des médias. Et depuis hier, on entendait parler plus que de ça, que ce soit à la télé ou sur les réseaux. Le boss de Karma était très satisfait puisque beaucoup des admirateurs de mon père commençait à le descendre. Certains commentaires revenaient souvent : « Comment peut-il ignorer la souffrance de son fils ? »; « C'est un père indigne »; « Alors ce type nous berçait de mensonges ?! Qu'il aille au diable !». Je ne pouvais m'empêcher de pouffer légèrement de rire quand je voyais la réponse des spectateurs. Après tant d'années de réussite et d'arrogance, mon crétin de paternel connaissait enfin la douleur d'échouer et de se faire insulter et détester par les autres. Quelque part au fond de moi, j'étais content. Il allait certainement faire faillite ou serais obligé de changer de comportement et de manière... Cette pensée me faisait sourire alors que j'entamais ma nourriture dans le self de l'agence. Malgré le fait que son plan se déroulait comme il avait prévu, le directeur avait préféré me garder encore captif, le temps de voir les résultats. J'avais une certaine liberté, Karma partageait sa chambre avec moi, je mangeais dans leur self, enfin leur restaurant. Tant que j'étais accompagné de Karma ou d'un des employés, j'étais libre de me déplacer dans le bâtiment, mais j'avais quand même les poignets attachés. Il ne fallait pas que j'oublie que j'étais tout de même un otage. Cette vie tranquille me plaisait plutôt bien...

Je me remis à lire les commentaires qui défilaient en bas des vidéos, quand un m'interpella. « Imaginez, son fils était tellement mal de vivre avec un père comme lui, qu'en réalité il s'est allié avec ses agresseurs pour faire tomber son entreprise! Ça ne m'étonnerait même pas. Cet enfoiré de PDG le méritait bien ! ». Je rigolais face à une telle déduction. C'était la première fois que je voyais mon père se faire autant insulter en une seule phrase, les gens étaient vraiment haineux envers lui. Je savais que ça allait marcher, mais je n'imaginais pas à ce point en seulement trois jours. Pendant que je continuais de me marrer, un plateau se posa devant moi et je sus que c'était Karma sans même lever la tête. C'était lui qui avait demandé à s'occuper exclusivement de moi pendant ma détention encore indéterminée.

Karma : Je peux savoir ce qui te fait sourire comme ça ?

J'étirais un sourire avant de lui montrer le commentaire en question et il ne fallut que quelques minutes avant qu'il n'explose de rire faisant se retourner quelques têtes.

Karma : On s'est fait démasquer !

J'acquiesçais, puis un des hommes de la sécurité arriva en trombe et se planta devant nous, nous faisant sursauter. Karasuma-san voulait apparemment nous voir immédiatement dans son bureau et vu l'affolement de ce type... Ça devait être urgent et très sérieux. Ça m'inquiétais un peu mais Karma était tellement détendu et semblait si insensible au stresse de l'homme, que l'inquiétude n'était pas si forte. Il claqua sa langue contre son palais avant de se mettre à râler de ne pas pouvoir profiter de son repas et j'étouffais un rire moqueur. Il nous fallut un peu plus de cinq minutes avant d'arriver dans le bureau de son boss et lorsque nous étions entrés, Karasuma-san nous attendait debout, les mains croisées dans son dos et il regardait par la fenêtre. Il se retourna lorsqu'il nous entendit et son air grave me fit frissonner. C'était peut-être plus grave que je ne l'avais penser...

Karasuma : On est mal, les garçons... Très mal...

Je gloussais. Son ton était tout aussi grave. Il regarda à nouveau par la fenêtre, avant de nous faire signe de nous avancer un peu plus. Son comportement fit tilt dans mon esprit, il regardait un peu trop souvent par la fenêtre.

Karma : Que se passe-t-il, boss ?

Moi : ... Ne nous dites pas... Qu'on nous as déjà repérés ?

Karma et Karasuma-san me regardait, perdu. J'avais un esprit assez vif, il ne me fallait que très peu de temps et d'indice pour comprendre une situation et parfois trouver la solution la plus judicieuse. Même si mon apparence et mon caractère ne le faisaient pas vraiment voir, donc je comprenais leur réaction. Une fois l'effet de surprise passez, Karma s'était tourné vers son boss, sourcils froncés.

Karma : C'est vrai ?

Karasuma : J'ai bien peur que le gamin n'ai raison... Depuis au moins dix minutes, une femme blonde et une jeune fille aux cheveux verts sont postées devant l'entrée et tente de forcer le passage de la sécurité. Si je me souviens bien, elles étaient chez toi, Nagisa...

J'écarquillais les yeux. Irina-chan et Kayano... J'avais tendance à oublier qui était réellement la famille de Kayano. Mais je ne comprenais pas pourquoi elle avait accompagnée Irina-chan. Elle ne savait même pas se battre... Elle comptait me récupérer et m'emmener chez elle ?

Moi : Elles ont du retracer la trajectoire virtuelle de la toute première photo...

Karma : Comment ça ?

Moi : Celle aux cheveux verts s'appelle Kayano. Elle fait partie d'une famille de hackers professionnels. Ça n'as pas dû être difficile pour elle de retracer la première photo transmise par les médias.

Karma : D'accord, mais... Comment a-t-elle fait pour remonter jusqu'à nous ? Ce sont les médias qui ont uploader cette image les premiers.

Karasuma : Karma, nous leur avons envoyé l'image par mail.

Moi : Exactement, donc il lui as suffit de tracer le chemin virtuel avant les médias et remonter jusqu'à notre adresse mail. Après, il lui a simplement suffit de trafiquer légèrement les données personnelles de Karasuma-san pour avoir l'adresse de l'agence.

Karma me regardait angoissé. Il était certainement loin de s'imaginer que Kayano allait être capable d'une telle chose. Et moi, je n'avais pas était assez prudent, son don pour hacker m'était sortit de la tête. Maintenant, on était plutôt mal. Parce que si Irina avait pris la peine de venir jusqu'ici, c'était pas pour papoter. Si Karasuma-san et Karma n'acceptait pas de me livrer, leur agence risquait de finir en morceaux...

Karasuma : Nous n'avons pas besoin de nous en occuper. La sécurité arrivera à les chasser.

Je ne pouvais pas prendre le risque de les laisser se faire massacrer, mais quelle était la meilleure solution ? Je ne voulais pas que quelqu'un finisse encore blesser par ma faute... Mais elles n'allaient pas partir tant que je ne viendrais pas avec elle... Et hors de question que Karma les rencontre, il pourrait vraiment en mourir cette fois. Irina n'allait pas l'épargner comme lors du dernier combat... Je n'avais plus le choix...

Moi : C'est beaucoup trop dangereux de les ignorer ! Laissez-moi aller leur parler !

Karma : Quoi ?! Non, elles ne t'écouteront pas ! Je te rappelle qu'elles sont persuadées qu'on t'as fait un lavage de cerveau ! Je vais m'en occuper moi-même !

Moi : Karma, s'il-te-plaît ! Tu pourrais finir à nouveau aux portes de la mort ! Si Irina-chan te voit, elle cherchera à te tuer ! Tandis que moi, je ne risque rien. Elle ne me fera jamais de mal. Je vous en prie... Laissez-moi m'occuper de cette affaire.

Je m'inclinais face à eux, dans l'espoir qu'ils acceptent. Leur silence m'inquiétait un peu, ils allaient certainement refuser... Après tout, je n'étais qu'un simple otage. Qui irais envoyer son otage négocier sans garde ? Depuis ces trois jours de quasi-totale liberté, j'avais tendance à oublié ma place ici. Après un long, très long moment, j'entendis un des deux soupirer. Légèrement inquiet, je ferma les yeux de peur de me faire engueuler ou quelque chose dans le genre.

Karasuma : Déjà, commence par te relever, gamin. Ces formalités me mettent mal à l'aise.

Surpris, j'obéis à Karsuma-san et le vis se gratter la tête, regardant par la fenêtre. Il lâcha un second soupir, puis me regarda.

Karasuma : T'es sûr de toi ? En te voyant seul, elles tenteront de te ramener par la force.

Moi : Ne vous inquiétez pas. Je ne me laisserais pas faire !

Karasuma-san continua de me fixer encore un instant, puis lâcha un énième soupir. L'idée n'avait pas l'air de l'enchanter grandement... Mais je le comprenais.

Karasuma : Très bien. Je te laisse dix minutes, pas plus.

Karma : Quoi ?! Tu comptes le laisser y aller tout seul ? C'est de la folie ! Je ne suis pas d'accord !

Karasuma : J'ai jamais dit seul. On va t'accompagner et se cacher derrière la porte d'entrée. Comme ça si elles tentent quoi que ce soit ou que les négociations tournent au désastre, on pourra agir immédiatement. C'est ma condition. Tu acceptes, gamin ?

Premièrement, je ne m'attendais pas à ce qu'il accepte, condition ou non. Deuxièmement, il me posait la question, mais sans me laisser le choix. Si je voulais aller leur parler, fallait que j'accepte sa condition. Et puis ça ne me posait pas vraiment de problèmes, tant qu'ils ne venaient pas les attaquer sans raisons. J'acquiesçais donc et Karasuma-san me conduisit jusqu'à l'entrée en se cachant derrière la porte suivit de Karma, pendant que je sortais dehors. Lorsqu'ils entendirent la porte s'ouvrir, les gardes qui essayaient de contenir Irina-chan et Kayano se retournèrent et me barrèrent le chemin.

Garde 1 : Eh toi ! Que fais-tu, ici ? Tu tentes de t'échapper ?

Moi : J'ai l'accord de votre directeur.

Pour confirmer mes dires, je sortis un papier que Karasuma-san m'avait signé juste avant le début de l'opération, et leur montra. Après avoir vu l'authentification de la signature, l'autre garde me dévisagea.

Garde 2 : Tu as l'autorisation, mais ça ne répond pas à la question. Que fais-tu là ?

Moi : Je suis venu parler à ces dames.

Je pointa la femme et mon amie de la tête. Les deux gardes se regardèrent avant de finalement me laisser passer. Je m'avançais doucement vers Irina-chan et Kayano, qui me sautèrent littéralement dessus, tout en pleurant.

Irina : Dieu merci ! Tu vas bien, Nagisa !

Kayano : Je suis contente de te voir ! Maintenant tout va bien, nous allons rentrer et tout sera enfin terminer.

Moi : Vous vous trompez.

Kayano : Comment ça ? Bien sûr que si ! Une fois qu'on sera à la maison, tout rentrera dans l'ordre.

Moi : Je ne parle pas de ça. Kayano, Irina-chan. Ce n'est pas pour rentrer avec vous que je suis là.

Elles se détachèrent immédiatement de moi et me regardèrent avec de grands yeux rougis par les larmes. Irina-chan me tenait les épaules en tremblant.

Irina : Q-Qu'est-ce que tu veux dire ? Ne me dis pas... que leur lavage de cerveau fait encore   effet ?!

Irina-chan était vraiment bornée quand elle le voulait. Je m'éloigna d'elles de deux pas et pris une grande inspiration. Je comptais bien leur faire ouvrir les yeux et les faire lâcher l'affaire le plus vite possible, pour être enfin et définitivement libéré de cette vie.

Moi : Irina-chan. Même si tu refuses de l'admettre, au plus profond de toi, tu sais très bien que je n'ai subi aucun lavage de cerveau. Tu sais très bien, que je te parle en étant en pleine possession de mes moyens.

Irina : Non... Je refuses de croire que ce soit le véritable toi qui nous parle ! Parce que le petit garçon que je connais ce serait échappé depuis longtemps !

Moi : Irina-chan, je suis désolé mais je ne suis plus ce petit garçon innocent que tu as connu. Cet enlèvement m'as juste fait comprendre que c'était une opportunité pour moi d'échapper à mon destin d'héritier et à cette vie si ennuyante.

Irina : Nagisa... s'il-te-plaît... rentre avec nous...

Moi : Et redevenir comme un lion en cage ? Non merci.

Je lui souriais tendrement, tandis qu'Irina-chan se remettait à pleurer toutes les larmes de son corps. Alors que j'allais les laisser, une main m'agrippa. En me retournant, je vis le visage de Kayano rougis par ses pleurs. Une fois que je fus complètement face à elle, elle posa sa tête contre mon torse et froissa mes vêtements avec ses doigts tremblants.

Kayano : Irina-san et moi... savons que tu détestes vivre comme un riche... que tu n'es pas heureux avec tes parents... mais on peut trouver une solution ! Tu fais quoi de nous ? Tu nous détestes aussi ?

Je ne répondais pas et serrais les lèvres. Bien sûr que je ne les détestais pas. Je les appréciais vraiment. Elles m'avaient permis de tenir bon dans les moments les plus difficiles, mais elles étaient là aussi dans les moments joyeux. Cela me faisait mal de les laisser derrière-moi, mais ma décision était prise depuis le premier jour de mon enlèvement. Je ne comptais pas y revenir dessus. Je caressais doucement la tête de Kayano et l'obligea à me regarder. Je lui offris un nouveau sourire remplis de gratitude.

Moi : Je vous apprécie, mais... Mon affection pour vous ne me fera pas changer d'avis.

A mes mots, Irina-chan se laissa tomber à genoux et je la vis serrer ses poings. Les voir comme ça me brisait le cœur, mais je savais que rien de ce que je dirais ne pourrais les apaiser. Je ne pouvais certes pas les apaiser, mais je pouvais au moins leur alléger leur peine.

Moi : Irina-chan, Kayano. Je suis heureux, maintenant. Même si je ne suis considéré uniquement que comme un otage, j'ai plus de liberté qu'à la maison. J'aime monmode de vie actuel. Alors, s'il-vous-plaît... Laissez-moi prendre mon envol. Laissez-moi suivre la voie que j'ai choisie... Laissez-moi être libre...

Toutes les deux me regardaient sans rien dire, tandis que je leur offrais mon plus beau sourire. Je sentais l'emprise de Kayano se resserrer sur mes vêtements. Elle se mit sur la pointe des pieds et... m'embrassa doucement. Je voulais m'éloigner d'elle, mais au vu de la situation je pouvais au moins lui offrir ce baiser en cadeau d'au revoir. Mon amie se décolla de moi quelques minutes plus tard, mais je pouvais sentir qu'elle ne voulait pas s'éloigner. Elle posa une main sur ma joue et força un sourire triste.

Kayano : Je ne veux pas te forcer à aller à l'encontre de ton choix, mais au moins... Promets-nous qu'on pourra te rendre visite.

Moi : Je ne sais pas... Qu'en pensez-vous directeur ?

Je m'étais tournais vers la porte d'entrée en posant la question. Quelques secondes après, Karasuma-san et Karma sortirent de leur cachette et je pouvais lire de la surprise sur le visage d'Irina-chan et de Kayano. Les deux s'étaient avancés jusqu'à mes côtés et Kayano avait bondit en arrière, sourcil froncé. Face à ce visage, Karsuma-san claqua sa langue contre son palais.

Karasuma-san : Gamine ! Si tu veux que j'accepte, commence par arrêter de me regarder avec cet air supérieur.

Kayano resta sur ses gardes pendant un petit moment, puis finit par se détendre. Elle me regarda avec inquiétude, puis tourna son regard qui venait de se durcir sur Karma. Karma semblait... irriter. Qu'est-ce qui lui arrivait ? La façon dont Karma et Kayano se regardait, me donnait l'impression qu'ils ne s'appréciaient pas le moins du monde.

Kayano : Si il arrive quelque chose à Nagisa-kun, je te bute.

Karma : Pour ma part, je serais heureux que tu ne remettes jamais les pieds ici.

Kayano : Rassure-toi, quand je viendrais lui rendre visite, je m'assurerais de ne pas croiser ta tête.

Wouah... Ils se détestaient vraiment... Je soupirais intérieurement. Je sentais que les visites de Kayano n'allait pas être de tout repos. Soudainement, je sentis deux bras m'entourer et avant même de comprendre quoi que ce soit, mon visage était contre la poitrine d'Irina-chan. Irina-chan me serrait un peu trop fort... j'avais vraiment du mal à respirer.

Irina : Nagisa, soit prudent d'accord ?

Lorsqu'elle se détacha de moi, j'acquiesçais en lui souriant. Puis elles se mirent en route pour rentrer. Dès qu'elles furent hors de vue, je lâcha un long soupir de soulagement. Une main m'ébouriffa les cheveux, c'était celle de Karasuma-san... Y avait pas à dire, sa main était vraiment chaleureuse... Je ne savais toujours pas pourquoi je ressentais ça...

Karasuma : Bien joué, gamin. Je m'attendais à devoir intervenir.

Karma : T'as était super courageux... Tu m'as vraiment impressionné !

Je mis du temps avant de réagir à leur commentaire. Je leur offris un sourire, content que tout se soit bien terminer. A vrai dire, moi non plus, je ne pensais pas que ça allait si bien se passait... Maisbon, maintenant... J'étais enfin libéré et je pouvais enfin être moi-même...

Karma : J'aurais quand même aimé  qu'il y ait un peu de baston, quoi !

La remarque de Karma me fit exploser de rire quelques minutes après. Il était clairement embarrassé, mais je ne pouvais pas m'en empêcher.

Moi : T'es quoi ? Une sorte de brute ?

Karma se renfrogna encore plus et esquiva mon regard, les joues rosies. Trop... Mignon. Parfois, Karma se comportait plus comme un enfant que comme un assassin... Un assassin, hein ? Jusqu'à présent, je me demandais où est-ce que j'allais aller et ce que j'allais faire une fois que Karasuma-san m'aurait libérer, mais je crois qu'au fond... J'ai toujours eu la réponse à cette question. Surtout depuis le combat chez moi... J'aimais vraiment la compagnie de Karma. Même si j'étais un otage, tous les employés de l'agence s'étaient montrés gentils avec moi durant ces trois jours. Karasuma-san n'avait pas l'air de me détester non plus. Et me battre pour et avec Karma était vraiment un sentiment agréable... J'avais beau avoir tuer quelqu'un, je me sentais étrangement bien... Enfin, tout ça pour dire que je savais déjà ce que je voulais devenir. Quelqu'un sur qui Karma pouvait compter et se reposer, quelqu'un avec qui il pouvait confier ses moindres secrets... Ma décision était prise.

Moi : Ex-excusez-moi Karasuma-san, mais... on pourrait aller dans votre bureau ?

Karasuma : Quoi ? Pourquoi ? T'as quelque chose à me dire ?

Moi : Oui, c'est assez important.

Karsauma-san me regarda quelques instants avant de rentrer dans l'agence et de nous faire signe de le suivre. Oui, à présent je n'avais plus le moindre doute... Je voulais faire partit de leur agence.

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Coucou les kitsune ! Voilà le chapitre 6^^ ! J'espère que l'histoire vous plaît toujours 😊. Si jamais vous avez des remarques à faire pour m'aider à m'améliorer, n'hésitez pas ! Je serais tout ouïe. Mata'ne mi'na ! 🤗

KinaoChan

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