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By gumioh

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PROPOSITION
16 - part.1
16 - part.2
16 - part.3
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18
19
20
21
- FIN ALTERNATIVE
22 - part. 1
22 - part.2
23 - premiere fin
- FIN ALTERNATIVE 2
22
fin.
le mot de la fin !!

23 - deuxieme fin

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By gumioh



Je devais patienter dans la grande pièce aux murs recouvert d'une peinture proche de celle de la chaire des pêches. La fenêtre et ce qui se déroule au travers d'elle ne m'intéresse pas vraiment, comparé à l'envergure que prend cette histoire. Je ne peux que garder mes mains l'une contre l'autre en laissant le temps défiler, regardant les aiguilles de mon cadrant tourner en rond.
Elle est gardée à l'hôpital depuis deux soirs : les médecins attentent l'accord pour l'admission dans un centre d'isolement. C'est une réussite que je ne peux pas hurler, tout simplement parce que d'une certaine manière je commence à etre effrayé par ce côté inhumain dont je fais preuve. Je finis seulement par comprendre que c'était soit elle soit moi ; je n'avais pas le choix.
Les dix sept autres fauteuils vides autour de moi me rendent honteux jusqu'à qu'un infirmer finisse par briser le silence de la salle d'attente. On me pose des questions sans queues ni têtes, je fais cependant attention à répondre précautionneusement. On finit par m'avouer à la fin de la semaine que les divers testes effectués sur Minji révèlent chez elle, une défaillance qui serait dû à une commotion cérébrale qui s'est empiré. C'était prévisible. Je ne pensais que la rendre folle au point qu'elle en vienne à devenir dangereuse, et non au point qu'elle soit excusée par son accident.
Elle pouvait paraître totalement ailleurs durant tout ce temps, je ne peux balayer de ma tete l'idée qu'elle en restait cependant pas moins consciente.

Quand sa faible voix avait attiré mon attention sous l'ampoule de la cuisine, alors au sol entrain de ramasser les débris de ma colère, l'entendre supplier de l'aide alors qu'elle s'était volontairement scarifiée les poignets ; ne faisait que me faire prendre conscience du point auquel nous étions arrivés. Je devais alors la laisser prendre son envol.  Cela a été très dur d'en discuter avec ses parents, ils ne comprenaient pas comment leur fille était passé d'une jeune épouse capable de tenir sur ses deux jambes, à un minable torchon essuyant les tâches que son mari lui faisait subir. Pour le corps médical, ses anti douleurs et son pauvre corps ne supportant que très peu le choc de l'accident, commençaient à le faire se dissoudre : pendant que du haut d'un pont, je la regardai se noyer.

La drogue, de simple médicaments portant les mêmes molécules et qui nous rendent accros à une certaine réalité agréable. Ce n'est pas grand chose. Le sucre en est une. Nous avons tous notre addiction assigné, je n'avais que forcé la main pour lui donner une réalité dans laquelle elle s'échappait.
J'ai plutôt ... Bien fait les choses. Je n'ai pas vraiment utilisé de violence, j'ai juste distordu quelques éléments de la vie quotidienne pour aboutir au fait que ses peurs prennent le dessus sur elle même.
C'est comme ça que je le vois.

Avertir mes beaux parents de mon départ ne peut que me rendre coupable de quelque chose. En vidant doucement la maison pour restituer à l'hôpital psychiatrique des éléments qui les aideraient à traiter son problèmes le plus rapidement, j'étais tombé sur nos vieux albums photos. Nous ne les avons feuilleter que très peu. Finir par voir qu'elle avait probablement découpée d'elle même sa tete sur chacune des photographies était comme un au secoure que je n'ai jamais pu entendre. Le reste, tout était de ma main. Il m'arrivait en pleine nuit de l'éveiller et apres lui avoir dilué une faible dose de *Cendres des Cieux, la mettait à un chevet et lui dictait des paroles qu'elle se devait d'écrire. Il y a des phrases censées, des phrases d'amour et d'haine, des phrases qui en disent long sur son instabilité.

Étant donné que mes beaux parents étaient furieux contre mon départ si vite annoncé ; j'ai du dealer avec la police durant deux jours supplémentaires, afin de prouver mon innocence. À ce moment précis, JooHyuk était de retour au quartier général et a prouvé que rien dont j'étais accusé n'était possible : ce n'était que de plate broutilles en même temps. Ils voulaient juste une tete contre qui repentir leur colère, et j'étais forcément le bouquet émissaire. Ils n'avaient pas tord, j'ai seulement ete plus malin. A l'heure d'aujourd'hui, Yoongi à été déclaré mort. Il n'a juste récupéré un numéro d'identification — ce qui permet de nos jours, d'identifier les civils — aléatoire qui lui donne toujours accès à ses comptes ainsi qu'à ses droits. Comme une remise à zéro, et avec JooHyuk derrière pour surveiller : il est sûr qu'il sera sans crainte jusqu'à —probablement— la fin de ses jours. 

Si quelqu'un s'amuserait à dénouer cette pelote de laine, il comprendrait qu'il y a plusieurs fils. La différence d'opinion et de mentalité permet une ouverture d'esprit plus large ou plus étroite : mais faire tout ce que nous avons fait ne passera pas devant un juge.
C'est un peu pour ça que mes jambes tremblent en regardant les nuages. ChaeHuyn n'avait jamais pris l'avion auparavant, elle n'arrêtait pas de gigoter dans tous les sens au moment de l'envol ; elle s'est rapidement assoupit ensuite à cause de l'excitation. Elle ne semble d'ailleurs pas si affectée que ça par la mort de sa mère... Sûrement parce qu'elle ne le comprend pas encore. En grandissant, elle ne sera qu'une ombre sans identité qui résidera dans un coin de sa mémoire, et dont elle tentera de réfléchir plusieurs fois le soir avant de s'endormir, sans vraiment trouver de réponse à ce point d'interrogation. C'est vrai que mon départ précipité est suspect, ma démission aussi l'est tout autant. Mais personnellement, je ne pensais pas que j'aurai pu supporté rester la bas. Les liens avec ses grands parents et ChaeHyun ont été officiellement rompu devant le juge. Ils ont tenu à me faire comprendre qu'ils ne nous aiderons pas si nous quittions Bucheon et ses environs. Je leur ai seulement promis que je répondrai présent si Minji sort un jour de sa quarantaine. Je le ferai. C'est vrai, je le ferai vraiment : j'espère seulement que cela arrivera assez tard, pour ne pas à avoir à expliquer a notre enfant pourquoi ses parents ne s'aiment plus.
Nous sommes nous vraiment aimés ?
Aussi étonnant mais pas des moindres surprenant, son frère lui avait totalement compris mon envie d'éloignement. Il avait même été porté favorable à mon départ et favorable au fait que je garde la petite avec moi et que par conséquent, ses parents n'avaient aucun droit de retenu sur elle.

Cela arrive enfaite, le bonheur.

Pas de la meme façon pour tout le monde, pas de la même manière ou de la même forme pour chaque événements. Mais il arrive forcément. J'ai toujours eu cette colère pour n'avoir jamais été compris. J'ai tout d'abord joué le sourd avant de totalement faire le muet, et je finis par devenir aveugle. C'est peut être une transformation nécessaire pour trouver la ligne de fin. Sans toutes ces étapes, sans toutes ces descentes : je n'aurai jamais trouvé le chemin pour arriver au sommet.
C'était plutôt une quête pour trouver qui j'étais vraiment et ce dont je voulais.

Je n'ai jamais été dépendant dans ma vie, j'ai toujours voulu cette liberté et parfois je pense que la liberté n'est rien d'autre qu'un enfermement dans lequel nous nous plaisons.

J'avais du faire comprendre à ChaeHyun que nous ne pouvions pas tout prendre avec nous, que nous ne devions pas nous attarder sur le matériel et nous concentrer sur ce que nous aimons vraiment pour l'emmener avec nous. Les valises derrières nous représentaient ce que nous avions de plus précieux. Nous attendons quelques minutes supplémentaires pour récupérer Hanbok qui avait finalement fait le voyage en soute ; tout le monde savait que nous avions quitter notre terre natale pour venir sur la petite île de Jeju. Mais personne ne savait que je fuyais de mauvais souvenirs pour les remplacer par de meilleurs.

Le mini bus se tenait près de la sortie M, je prends la main de ma fille et la sert au creux de la mienne tout en tenant la laisse de mon chien. Derriere nous, des employés chargent le véhicule pendant qu'attaché a l'intérieur je prend un temps pour souffler.
J'étais un adulte envahit par des pulsions d'adolescents tout ça, à cause d'un amour de jeunesse. Je m'en rend compte seulement maintenant de tout ce qui s'est passé, et je le 'raconte' sans problème. Je comprend subitement quelques uns de mes actes tandis que pour d'autre, je pouffe en tendant la tete vers le bas ; un peu malaisé de me voir agir comme ca.
C'est donc à que l'on appelle la jeunesse. Une suite d'action qui s'enchainement rapidement et sans raison, se répercutant dans les quartes coins de notre tete avec un sentiment différent. Observer des actions de loin en étant tout près : c'est ça vieillir, c'est ça la maturité.

Je suis enfin devenu mature avec toutes ces péripéties aussi longues et indécentes les unes que les autres. Toutes ne sont pas aussi belles mais me permettent de garder une vision de moi même réaliste. Au moment où le moteur de la voiture se coupe, apres quarante minutes de trajet, je comprend enfin où toute ma vie durant, je devais finir.
La maison est belle, exactement comme je me l'imaginais. Les volets sont tous ouverts, tout aspire le bonheur, et le blanc de la bâtisse obsède le regard au milieu des grands arbres. Le bleu du ciel fait se noyer les nuages au dessus de nos têtes, il me suffit de tendre des billets et de remercier le chauffeur puis appuie sur le bouton de l'interphone. Il lui faut quelques minutes pour décrocher, et quand je lui dis enfin que c'est moi, les grilles s'ouvrent et la porte devant mes yeux accueille une silhouette rafraîchissante. Il y a un peu de vent, le soleil du matin heurte sa peau blanche quand il s'approche pour porter les petites valises roses. Chaehyun apporte une attitude très aisé et quant à Hanbok, il court deja dans le pâturage de couleur vert et légèrement jaune des fleurs. Le terrain est plus petit que ce que je croyais, mais c'est parfait.
Tout est suffisant ici pour moi.

Je n'avais pas eu le temps de le prendre dans mes bras que Chaehyun l'avait reconnu. Son baby sitter pour elle était comme un autre univers qui lui plaisait tout autant qu'à moi. Je les avais laissé seuls ensemble, Yoongi la soutenant sur une de ses hanches pour lui faire découvrir la maison. C'était comme l'on ne s'était pas quitté. Il m'avait accordé un regard timide avec un sourire enchanteur lorsqu'il était sortit de la maison pour m'aider. Un peu comme de vieux amis. Cette pensée provoque chez moi le sourire le plus franc que je n'ai jamais effectué, et il était pour moi. Dans la cage d'escalier, je monte une a une les valises et découvre les lieux de moi même. Après avoir prit connaissance de sa chambre — celle de la petite — j'y accommode ses jouets et ses peluches en sentant mon cœur se pincer à chaque chapeaux que Yoongi avait deja disposé ici. Il avait peint un seul mur de la couleur des tournesols, sur laquelle des affiches éducatives et des photos enchanteresses arriveraient à la bercer jusqu'à son adolescence. La chambre est plus grande que son ancienne. Il y a même des vêtements dans l'armoire. Ce côté paternel presque maternel chez lui m'étonne lorsque j'effleure les meubles recouvert de blanc. C'est très féerique ici, sans etre pour autant trop enfantin.
Je finis par en ressortir émus pour me diriger dans ce qui s'apparentera être notre chambre jusqu'à la fin. Je caresse, un peu timide, la porte et entre dans une bulle dont je ne veux plus ressortir.
Cela sent bon, les couleurs sont apaisantes.

Tout est loin.
Ma mère, Minji, HaeCha, Namjoon, et toutes les autres personnes qui se sont mise en travers de mon utopie. Les voiles du lit baldaquins se balancent comme les feuilles dehors. L'océan semble sans fin et seule la dune de plage semble trôner le reste du monde. L'air salé me permet de mieux respirer. J'arrive par relâcher toute cette pression une fois assit en bout de matelas. Je crois que mes jambes tremblent un peu, ou peut être mon cœur s'emballe au point de me faire greloter. J'ai comme un moment d'absence qui me pousse à soupirer les bras tendus en arrière, regardant ceux deux éléments complémentaires s'observer.
Le ciel et l'eau : nous sommes pareil lui et moi. Si l'un prend une couleur, l'autre le fait aussi. Si l'un pleure, l'autre aussi. Comme deux parfaits miroirs. C'était si évident depuis le début... Je n'ai pourtant pas arrêté d'y croire mais c'était comme si je venais à réalisé progressivement que j'y avais songé.
Ce moment que je partage avec moi même est très important, il marque comme l'arrêt de tout tracas et la paix qui finit tout simplement par cesser ces millions d'heures passées dans l'inquiétude.
L'inquiétude ? Mes peurs se sont avérés devenir des névroses qui ont tournées en obsessions. Et alors, cela me prouve encore que je n'ai pas eu tord de faire tout ce que j'ai fais.



"–Jimin ? "

Je ne me retourne pas.
J'en ai pas envie.
Je préfère être plongé quelques instants encore dans ce vide total et lumineux.

"–Chaehyun a demandé à aller se coucher. Je crois qu'elle aime bien sa nouvelle chambre. dit il en riant. Alors ? "

Il vient s'assoir à côté de moi. Son aura m'a manqué et cette touche de sensibilité et de naïveté dans sa voix aussi. Etre ici avec lui est comme me retrouver la bas dans le passé. C'est si similaire. Son timbre s'est même adoucit, il vient juste mettre ses mains entre ses genoux et regarder l'horizon avec moi. Il idolâtre avec moi le moment présent en relâchant la pression contenu dans ses poumons. Il n'y a que le bruit des vagues à ce moment là, nous deux devant le balcon et assit sur le lit, silencieux comme pour laisser parler le temps pour nous.
Le laisser parler, oui, et nous raconter encore tout ce que nous avons deja vécu...
Comme un vieux couple devant se remémorant leur vie en binôme devant la fin de leurs jours ; dans la maladie et la pauvreté, dans la santé et la richesse.








"–Dit le mot magique.
–Je t'aime. "







••••••••••••••••••••••••

*nom de la nouvelle drogue dont je parle dans cette fiction

deux remerciements :
— merci pour ces 12k
— merci pour le rang dans lequel cette partie à ete placé ( 159-143 )




bon (:


beh voilà je crois que c'est finit ( bon en vrai manque plus que l'épilogue mais c'est bon c'est finit apres ça )

par ou commencer ?

mise à part vous remercier et vous dire que je vous aime et que je suis fière bla-bla-bla et dire comme tout le monde que vous êtes meilleures ( CE QUI EST VRAI ) : j'aurai beaucoup plus de chose à vous dire en fin de compte. mais je préférais me taire et juste apprécier le moment avec vous.
on a juste tous évolué en même temps que cette fiction. nous avons regarder nos personnages évoluer tout en inspectant leur conscience et nous sommes devenu témoins de leur folie. on a un peu apprit à juste valeur ce qu'était l'amour et d'une certaine manière cette fin marqué la fin d'une période que nous avons partagé ensemble.
vous inquiétez pas y'en aura d'autre.
ce que je vous seulement dire quelque part, c'est que nous avons fait ce chemin ensemble au travers de ces personnages et que je suis reconnaissante à l'heure d'aujourd'hui de tout ce qui s'est produit dans cette fiction. quelque part même si j'ai eu des difficultés avec l'écriture de la suite, j'ai réussis moi aussi à aboutir quelque chose, et je suis heureuse que cela se soit passé sous vos yeux.


je ne sais pas si j'ai vraiment de commentaire à faire sur cette deuxième fin. c'est juste jimin qui finit par trouver un point final à ces soucis.

est ce que l'épilogue parlera d'une arrestation ou d'un apres ? non. hors de question, les fins que je fais laissent toujours une suite possible dans la tête du lecteur, et je ne veux pas conclure officiellement en disant : ils finissent en prison parce que voilà.
aussi j'ai du aborder plein d'élément qui prouve qu'on est dans un futur assez "proche" donc si il vous semble que certains trucs sont pas possible, c'est que je ne me suis pas éterniser sur l'avancée du monde. c'était une parenthèse que je voulais faire
hormis ça, je crois que les deux personnages vers la fins se sont énormément alléger et qu'ils se sont presque confondu jusqu'à ne plus que se mettre au second plan et à disparaître. je ne sais pas si c'est pareil pour tout le monde, mais c'est comme ça pour moi




et donc voilà.
je ne sais pas quoi dire d'autre.
si vous avez des questions ....?
je sais pas je suis désolée
j'aime pas faire les adieux et tout
la première fois c'était plus facile parce que je savais qu'il y allait avoir une fin ... mais là.
je sais juste que ça va être dure pour écrire une prochaine fiction. je suis sur le coup mais yoonmin franchement ..: j'ai encore envie de leur faire avoir des fins mdr
enfin je vous tiens au courant si vous voulez l'être









je vous aime.
gumies.

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