Heaven [terminé]

By DkeChar

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«- Je ne regrette rien, Heaven. Absolument rien. Mais tu ne peux pas pas rester avec moi, c'est trop dangereu... More

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REECRITURE
FAQ
UN AN
RETROSPECTIVE
LA PLAYLIST HEAVEN
TOME EXCLUSIF

W. 60

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By DkeChar

CHAPITRE 60, WAZTER.
En écoute: Love The Way You Lie, Skylar Grey.

(Le PDV d'Heaven revient très bientôt et ce chapitre est très axé sur les émotions et j'espère que ça vous plaira !)

#######
CHAPITRE LONG !
#######

— On va tous mourir.

Je soupire.

— Viktora, on ne va pas mourir. Tyler va revenir, je lui dis en continuant de caresser les cheveux d'Heaven qui s'est rendormie dans mes bras.

— J'ai envie de pisser, se plaint Zedd.

— On est au milieu de nul part, tu peux pisser où tu veux putain de merde, gronde Kenler sous sa capuche.

Je pouffe de rire. Ce soir, Kenler a dit plus de gros mots qu'il n'en avait jamais dit avant. On est tous un peu encore choqués de l'entendre parler comme ça, mais on s'y fait.

— Pas con.

Zedd se lève et disparaît. J'espère juste que cet imbécile ne se perdra pas. Remarque, on ne peut pas vraiment se perdre au bord d'une route, si ?

Je tourne la tête vers Frist, mon meilleur ami. Putain, comment je fais déjà pour le supporter tous les jours ce mec ? Aucune idée.

— Frist ? Tu dors ?

— Plus maintenant, il grogne.

— Tu fais la gueule ? je demande, le connaissant trop bien.

Si Frist ne dit rien pendant trop longtemps, c'est soit qu'il fait la gueule, soit qu'il a une gueule de bois immonde. Hors, il n'a pas beaucoup bu ce soir.

— Ouais, et alors ?

— Pourquoi tu boudes ? je force.

Frist est une des seules personnes sur Terre à connaître toute ma vie. Et je viens de remarquer qu'en fait, je ne lui montrais pas assez mon amitié.  Ouais, être en couple, ça change pas mal de choses. J'ai l'impression d'être un mec bien, pour une fois. J'ai l'impression que toutes les choses que j'ai faites avant ne m'atteignent plus. J'ai l'impression que d'aimer Heaven, est un remède. Je le savais dès le départ, mais con que je suis, je n'ai pas voulu l'admettre. Cette fille aussi bien chiante qu'adorable, aussi bien guerrière que timide, est mon remède depuis le tout début. Depuis les vestiaires.

– Parce que j'en ai marre de mon prénom. Mes parents m'aiment vraiment pas, putain de bordel de caca. Frist quoi. F-R-I-S-T. On dirait une marque de dentifrice.

Je m'étouffe avec ma salive et fait sursauter Heaven dans mes bras.

— Tu es sérieux ? Je le trouve cool ton prénom, tu es unique.

Il secoue la tête.

— De toute façon, je suis qu'un bon à rien. Mon frère est un méga footballeur qui gagne super bien sa vie et puis son prénom il est cool, mes parents sont supers talentueux dans leurs boulots, et moi, bah.. je suis Frist quoi. C'est trop nul d'être Frist.

J'enlève ma veste et la met parterre puis dépose Heaven doucement dessus.

Je me lève et m'assois à côté de Frist. Ce mec, c'est qu'un con. Un con avec qui je partageais mes bonbons à cinq ans seulement dans le jardin de ses parents, quand les miens étaient trop occupés avec leurs boulots ou avec Ametyst. À cinq ans, j'ai rencontré cette petite tête blonde, dont je n'arrivais même  pas à prononcer le prénom. Ses parents m'ont dit un jour que je l'appelais Fist, et qu'il allait toujours bouder au fond du jardin, mécontent. Une fois, je l'ai fais pleuré. Une seule fois. Je me rappelle de ce jour, dans le jardin, quand il m'a demandé où étaient mes parents et que je lui ai répondu méchamment : « Ils m'aiment pas », j'avais dis, adosser à mon vélo à quatre roues. Et puis Frist avait commencé à pleurer. Je ne comprenais pas pourquoi. Mais maintenant j'ai compris. Il était triste pour moi. Parce que mes parents ne m'aimaient pas. Et ça, putain de merde, je l'oublierai jamais.

— Écoute Frist, je sais que je suis pas le meilleur des potes de cette Terre, je sais que je suis qu'un gros con, je sais que toutes ces années, je t'ai complètement laissé de côté, je sais que j'aurais dû t'écouter, putain.., ma voix déraille et j'ai presque l'impression que je vais pleurer, je suis désolé. T'es mon meilleur pote et.. désolé. Désolé d'être le pire des meilleurs amis. Désolé de ne pas être là pour toi. désolé, je répète en triturant mes doigts, les yeux voilés de larmes.

Aujourd'hui, c'est à mon tour d'être triste pour lui. Parce que Frist n'a personne depuis tout ce temps, et je ne m'en suis jamais rendu compte.

— T'es pas mon meilleur ami, il lance d'un coup.

Je ferme les yeux forts. J'ai l'impression qu'on vient de m'arracher une partie de moi. J'ai l'impression que..

— T'es mon frère.

Je tourne la tête vers lui, une larme sur la joue.

— T'as toujours été mon frère, il termine.

Je le prends dans mes bras. Je le serre fort. Comme j'aurais serré un frère dans mes bras, comme j'ai serré Ametyst dans mes bras, devant la prison pour mineur.

— Je vais pleurer, on entend renifler à côté de nous.

Je me tourne vers Viktoria, qui nous regarde en souriant tristement.

— Ma sœur me manque, vous savez, et quand je vous vois tous les deux comme ça, ça me fais rappeler que je ne prends pas assez ma sœur dans mes bras, elle dit entre deux reniflements.

Je me décale  vers elle et la prend elle aussi dans mes bras. Kenler hoche la tête, comme s'il me donnait la permission de faire ça. J'ai presque envie de rire.

— Et moi, ça me fait rappeler à quel point j'ai un frère minable, que j'aurais pu prendre dans
mes bras s'il n'était pas le plus gros salopard de la planète, marmonne la voix rauque d'Heaven, qui s'est redressée.

Nous nous regardons tous, comme dans un moment d'aveux. Nous n'avons plus de filtres. Comme si l'air léger et frais de Californie nous droguait. Il nous drogue d'un sérum de vérité qu'on ne peut avoir qu'avec sa famille. Parce que ces gens-là sont ma famille.

— Je vous aimes, lâche Frist en balançant son bras autour de mes épaules.

— J'ai dû m'essuyer avec des feuilles, vous vous rendez compte ? crie la voix aiguë de Zedd à quelques mètres de nous.

Nous éclatons de rires, tous encore un peu secoués.

Zedd s'assoit à côté d'Heaven et je me surprends à ne pas être jaloux. Nous sommes une famille.

On ne violente pas sa famille, me rappelle une voix dans ma tête.

Comme si je pouvais l'oublier.

Alors que nous nous lançons tous des regards pleins d'émotion, une voiture s'arrête à côté de nous.

MA VOITURE !

Je me lève le premier et ouvre la portière d'un coup.

— Tyler, t'es un homme mort, je grogne.

Le brun lève les yeux au ciel, cynique, et nous fait signe de remonter dans la voiture.

Nous ramassons nos affaires, tous en râlant, et nous remontons dans la Mercedes.

— Vous disiez de la merde et j'en avais marre, je suis juste parti prendre un café dans la station plus loin, il explique en démarrant.

Heaven s'amuse avec mes mains pendant que j'écoute Tyler parler. J'aime bien qu'elle s'intéresse à moi, même si c'est juste à mes mains.

— Cameron a appelé, c'est le bordel chez lui et je vais aller l'aider, on a des volontaires ou pas ? il demande en fixant la route.

Personne ne répond. Heaven est trop fatiguée, Viktoria a dû s'endormir dans la coffre à la minute où nous avons démarrés, Kenler joue à des jeux sur son téléphone et Frist et Zedd jouent à pierre, papier, ciseaux.

— On dépose tout le monde et je viendrais avec toi, je finis par lui dire.

Il hoche une fois la tête et nous continuons notre route. Dans le plus grand des calmes. Ou presque.

— PIERRE, PAPIER, CISEAUX !

***

— Heaven, on est arrivé chez ton père, je lui dis doucement à l'oreille quand la voiture s'arrête devant la villa sombre.

Les quelques lampadaires du quartier éclairent le trottoir étroit où Tyler a garé la voiture.

— Tu dors avec moi ? elle bafouille d'une voix endormie quand j'ouvre la portière de la voiture désormais vide, mis à part Tyler.

— Je vais aller aider Tyler et Cameron, mais je viens te chercher tout à l'heure pour le lycée, promis, je chuchote en la portant vers la maison.

Je sais qu'il est trois heures du matin, mais je tente ma chance et toque à la grande porte des Drad.

— Qui va dormir avec moi, alors ? elle dit d'une voix étranglée.

Oh.

Je ne sais pas si Maxwell va se levé, ni même si Enali pourrait dormir avec elle..

Quelques secondes plus tard, la porte s'ouvre sur un visage que je n'aurais plus jamais voulu voir.

Nilz.

Quand il m'aperçoit, il fait de grands yeux, puis me fais signe de ne pas dire qu'il est là.

Merde.

— Papa ? demande Heaven en essayant de poser les pieds parterre pour marcher vers l'intérieur.

Je la plaque contre mon torse.

— Je vais te monter dans ta chambre, ne bouge pas, tu es trop fatiguée, je lui dis doucement en entrant.

Nilz me regarde disparaître dans les escaliers, silencieux.

Je dépose Heaven dans son lit et lui dépose un bisou sur le front avant de la couvrir d'un plaid.

— Je vais faire lever Maxwell, je reviens, je lui dis tandis qu'elle s'enfonce dans son oreiller.

Je sors de la chambre et laisse la porte entre ouverte.

En descendant dans le salon, je vois Nilz, la tête entre les mains, assit sur le canapé. Je n'ai pas envie de lui parler, mais j'ai envie de savoir qu'est-ce qu'il fout là.

Alors je lui demande cash.

— Tu fous quoi ici ?

Il lève la tête vers moi.

— J'en ai marre d'être le méchant, il dit simplement.

Je fronce les sourcils, pas sûr de comprendre. Nilz Aaron Drad en a marre d'être un connard ? On est le premier avril ?

— Ça m'étonnerait. Tu adores faire souffrir les gens et foutre leur vie en l'air, ça ne date pas d'hier et tu le sais très bien, je lance, vénéneux.

Il ne va pas m'avoir comme ça.

— Écoute, petit soldat, je sais que j'ai fais des choses immondes, mais tu devrais être le premier à me comprendre, tout ce que tu cherches, c'est être heureux sans avoir à penser à ton passé. Je veux la même chose, il dit, je veux être comme toi, Caden. J'aimerais être comme toi, merde. Tu n'étais qu'un mec sans avenir, complètement tué de l'intérieur et puis, boum, te voilà, le teint resplendissant et le sourire jusqu'aux oreilles. Comment tu fais ? il demande en se levant et en s'approchant de moi dangereusement, comment tu fais pour toujours avoir ce que tu veux sans jamais rien foutre ? Dis moi.

Je cligne des yeux plusieurs fois. Nilz m'envie.

— Nilz, tu ne pourras jamais être heureux. Tu sais pourquoi ? Parce que tu ne le veux pas. Tu veux souffrir et faire souffrir. J'ai renoncé à tout ça quand je suis tombé amoureux de ta sœur. Tu sais, Nilz, tout ce qu'il m'est arrivé, est arrivé par ta faute. Pas de la mienne. Et je l'ai compris. Je peux être heureux maintenant. Parce que je ne suis pas le responsable de mon malheur. Tu l'es. En haut, il y a une fille qui a longtemps été brisée par toi, par tes conneries, par ta violence.. Cette fille, tu lui as fais subir des choses qu'aucune filles de treize ans n'auraient dû subir. Elle a perdu sa mère juste après. Elle a perdu sa mère, et elle a perdu son frère. Elle a perdu la seule personne qui aurait pu la prendre dans ses bras sans rien dire. Elle t'a perdu toi. Par ta faute. À toi.

Je reprends ma respiration et fixe longtemps Nilz, dont les yeux brumeux essayent de me faire passer un message.

Ses yeux me disent clairement: «Tu as raison, gamin, tu as raison».

— Est-ce que tu as déjà ressenti ce vide, tu sais, juste ici, il demande en se touchant le torse.

J'ai presque envie de rire. Il ne sait pas ce que c'est d'avoir des émotions, ce gars.

— Ouais, bien trop de fois.

Je tourne la tête vers la fenêtre et je vois que Tyler n'est plus dedans. Il a dû prendre de l'avance et partir chez Cameron à pieds.

— Ce vide, je le ressens depuis que j'ai huit ans, il dit d'un coup, d'une voix teintée de peur.

Il a peur de se confier. Mais il sait très bien que justement, comme il l'a dit, je suis la seule personne à pouvoir le comprendre. Et si je dois écouter ce psychopathe pour qu'il se barre à tout jamais, je le ferais. Merde. Je le ferais deux cent fois.

— À huit ans, mon père m'a dit que.. que j'étais  fou. Que j'étais pas comme les autres gosses et que je serais jamais pareil qu'eux. Putain, j'ai cru que j'étais un super héros, ou un truc  comme ça, tu vois, comme un enfant de huit ans. Puis il m'a dit que j'avais des problèmes, tu sais, que j'étais un peu malade dans ma tête. J'ai pas compris au début. Puis en grandissant, je l'ai vu de moi même. J'étais un extra-colérique. Quand Heaven voulait un câlin, je lui disais des choses immondes pour rien, et quand ma mère me caressait les cheveux, je repoussais sa main en disant qu'elle était trop froide.. Elle me manque tu sais, ma mère. Elle était belle, tellement belle que je voulais me marier avec elle. C'est la seule femme que j'ai aimé. Mais j'avais envie de la détruire. Depuis le début. J'avais envie de détruire tout ce que je voyais. J'étais le genre de gosses à écraser les fourmis pour rien, ou à insulter les gens un peu trop fort dans la rue quand ils me bousculaient. J'étais un sale gosse, et je le savais.

Je m'assois sur le canapé, dans le noir, et j'attends qu'il continue. Il tourne en rond dans la pièce.

— T'as raison, gamin, j'ai jamais voulu être heureux. Toute simplement parce que je n'ai jamais eu de raisons de l'être. Personne ne m'aimait. Personne n'a jamais voulu de moi. Alors j'ai voulu tout détruire. Heaven, ma mère, mon père, mes amis, toi, Jonas, Chris, Maxwell, le Blondinet qui servait de petit copain à Heaven... J'ai voulu détruire tout ce que je pouvais détruire. Mais maintenant qu'il n'y a plus rien à détruire, dis moi, qu'est-ce que je peux faire ? il me demande, comme désespéré.

Ce mec est un obsessionnel. Il a besoin de détruire la vie des gens comme si s'était une drogue. La destruction est sa dose d'héroïne.

Alors que Nilz est sur le point de continuer son récit, un cri l'en empêche.

MAMAN !

Heaven.

Je n'ai pas le temps de me lever que Nilz a déjà monter les escaliers à une vitesse affolante.

Je le rejoins dans la chambre sombre d'Heaven, où j'entends sa respiration sifflante.

J'allume la lumière rapidement et vous Nilz penché au dessus d'elle.

— Elle a quoi ?! il crie presque.

Je le pousse en arrière et redresse Heaven, transpirante.

Ne la touchez pas ! Je vous en supplie..., elle dit dans son sommeil.

— Heaven, c'est moi. Réveille toi, c'est passé, je suis là, je lui dis dans l'oreille.

Elle se débat quelques secondes dans mes bras puis m'enlace très fort.

— Il est parti ? elle demande, effrayée, les yeux toujours fermés.

Elle rêve encore.

Elle doit parler de l'homme qui a violé et tué sa mère, alors qu'elle était cachée sous le bureau de la secrétaire, seule.

— Oui, il est parti. Ne t'inquiète pas, d'accord ? Dors, je reviens, je dis doucement en caressant ses cheveux.

Je la repose dans les draps et me tourne vers Nilz, qui regarde sa sœur avec de grands yeux, lui même effrayé de ce qu'il vient de se produire.

— Il s'est passé quoi, là ?

— Elle fait des cauchemars du soir où sa mère est morte. Elle était là, quand s'est arrivé. Il faut toujours que quelqu'un dorme avec elle, sinon..

Il comprend et hoche la tête doucement.

— Je vais repartir à New-York. Je sais pas trop pourquoi je suis revenu ici, mais faut que je me barre.

Il sort de la pièce et je le suis doucement dans la maison.

Quand il ouvre la porte pour sortir, il se tourne une dernière fois vers moi.

— Sache que si je t'ai détruis, Caden, c'est parce que ouais, j'ai toujours voulu être comme toi. Être quelqu'un de fort. Alors il a fallut que je te bousille, et j'avais réussi. Je t'avais complètement brisé. Mais tu es beaucoup plus fort que je ne le croyais. Gamin, je te déteste, mais merci. Merci de m'avoir laissé te détruire.

Alors que la porte se referme derrière lui, je réponds à la porte :

— Derien. Et merci, merci à toi de m'avoir brisé. Parce que sans ça, je n'aurais jamais eu besoin d'un remède.

###########

COUCOU !

Alors, qu'avez vous penser de ce long chapitre ? Perso, j'ai adoré l'écrire. Nilz est un personnage très difficile à cerner, mais j'espère que vous avez réussi à l'apprécier ne serait-ce que le temps d'un petit moment.

Dites moi tout en commentaires !

Je suis entrain de réfléchir à la fin d'Heaven, et j'hésite encore entre pleins de scénario à différents. Franchement, j'en ai marre d'être compliquée.

N'oubliez pas d'aller jeter un œil à mes autres histoires si ce n'est pas déjà fait et suivez moi sur les réseaux:

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Avec tout mon amour,

C.

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