"Dites à ma miff' que j'appellerai
Je n'oublie pas les gens toujours présent quand il le fallait
Dites à ma femme que je l'aimerai
Quelque soit la distance entre nous ça ne changera jamais
Même si la route que je suis n'est pas assurée
Je reste sûr de mes choix, oui je les assumerai
Sans hésiter, juste suivre une volonté
Quitte à me rendre compte que je me suis trompé"
IMRAAN.
J'étais heureux, elle avait accepté ma demande, je pourrais l'embrasser, la toucher à nouveau, elle redeviendra ma femme, elle reportera mon nom de famille, que demande mieux, c'est ma moitié cette femme, et je ne cesserais de le dire.
Après avoir fini de manger, nous avons décidé de rentrer, il n'était que 22 heures du soir, mais avant je voulais offrir mon cadeau, j'avais acheté une nouvelle maison, parce que je n'arrive plus à rester dans l'ancienne, après tout ce que j'ai fait, je l'ai trompé avec sa sœur la bas, je l'ai frappé la bas, j'ai habité avec sa sœur la bas, j'étais agressé la bas, je voulais recommencer tout à 0, je pense que c'est mieux pour nous deux à vrai dire, et puis la maison, et beaucoup plus spacieuse, je pourrais lui faire pleins des enfants, je suis trop dans futur, mais je pense déjà mes enfants, à Nahid quand il sera grand, et qui sait il aura une petite sœur, je conduis une bonne trinitaire minutes,jusqu'arrive a la destination.
[...]
- Tu peux les ouvrir.
Elle ouvre ses yeux, et elle reste bouche béé, j'ai réussi, elle est éblouie par la maison, tant mieux, je voulais que ça.
- Tu aimes?
Zeïna.- Si j'aime ? bien sûr que si c'est magnifique, mais pourquoi m'avoir emmené ici ?
-*sourire* Surprise !
Elle me regarde ses gros yeux, et m'interroge du regard, elle est mignonne cette femme, ma femme.
Zeïna - Comme ça "Surprise" ?
-*sourire* Voilà notre future maison, où grandira nos enfants, où on dînera tout les soir, pour l'instant il y'a pas d'immeubles, donc ça peut apparaître un peu vide, mais ça c'est pas un problème.
Elle me regarde encore une fois et me fait un grand sourire, mais elle sort vraiment toutes ses dents, puis elle me saute dessus, putain comment j'ai envie de l'embrasser là, mais je peux pas, et il faut que je me retienne.
Zeïna - Je t'aime Imraan.
- Moi aussi, je t'aime Zeïna.
[...]
Zeïna- JASMINE T'ES LAAAA?
Elle a même pas fini de traverser la porte qu'elle commence à crier déjà, moi je stationnes, la voiture dans le garage, a côté de la voiture à Zeïna, et je sors, je fermes tout les portes, quand mon téléphone se mets à sonner, c'est une numéro masqué, d'habitude je ne réponds pas à ce genre d'appel, mais a ce moment j'étais tellement heureux, que je me suis même pas rendu compte.
- Allô
-*ironique* Cher Imraan.. tu vas bien ?
- c'est qui ?
- Tu ne reconnais pas ma voix.
- j'ai pas votre temps, soit vous me dites qui vous êtes, soit allez bien nique votre mère cordialement.
- Si, je serais vous, j'dirais pas ça, ça pourrait être fatale, mais vu que je suis de bonne humeur, je dirais qui suis-je, Divaio, ça ne vous dire rien ?
- Anthony...
- t'es plutôt fort! bravo
- qu'est-ce que tu veux?
Anthony - Zeïna !
- Tu l'aura jamais sache le.
Anthony - Vous êtes sûr, que penseriez votre sœur, ou encore Nahid? vous voulez les garder en vie.
- Azy t'es un gros mytho, ma sœur elle est chez moi et elle garde mon fils
Anthony - vous êtes sûr?
J'allais le répondre quand, je vois Zeïna venir en courant vers moi, essoufflée,elle avait l'air d'avoir peur.
Zeïna -*essoufflée* Imraan, Ils sont plus là ! Jasmine et Nahid ne sont plus là.