Oak Ridge Campus #1 King ©

By TamarSaborido

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#campus #hockey #patinage #romance #hefellfirst #spicy #newadult «Féroces sur la glace, fiers dans la victoir... More

🏒⛸️BIG ANNONCE 😍
Avertissement🔞
⛸️Un petit avant-goût?🏒
Chapitre 1 - King 🏒
Chapitre 2 - Brooke ⛸️
Chapitre 3 - Brooke ⛸️
Chapitre 4 - King 🏒
Chapitre 5 - Brooke ⛸️
Chapitre 6 - King 🏒
Chapitre 7 - King 🏒
Chapitre 8 - Brooke ⛸️
Chapitre 9 - King 🏒
Chapitre 10 - Brooke ⛸️
Chapitre 11 - King 🏒
Chapitre 12 - Brooke ⛸️
Chapitre 13 - King 🏒
Chapitre 14 - Brooke ⛸️
Chapitre 15 - King 🏒
Chapitre 16 - Brooke ⛸️
Chapitre 17 - King 🏒
Chapitre 18 - Brooke ⛸️
Chapitre 19 - King 🏒
Chapitre 20 - Brooke ⛸️
Chapitre 21 - King 🏒
Chapitre 22 - Brooke ⛸️
Chapitre 23 - King 🏒
Chapitre 24 - Brooke ⛸️
Chapitre 25 - King 🏒
Chapitre 26 - Brooke ⛸️
Chapitre 27 - Brooke ⛸️
Chapitre 28 - King 🏒
Chapitre 29 - Brooke ⛸️
Chapitre 30 - Brooke ⛸️
Chapitre 31 - King 🏒
Chapitre 32 - Brooke ⛸️
Chapitre 33 - King 🏒
Chapitre 34 - Brooke ⛸️
Chapitre 36 - Brooke ⛸️
Chapitre 37 - King 🏒
Chapitre 38 - Brooke ⛸️
Chapitre 39 - King 🏒
Chapitre 40 - Brooke ⛸️
Chapitre 41 - Brooke ⛸️
Chapitre 42 - King 🏒
Chapitre 43 - Brooke ⛸️
Chapitre 44 - King 🏒
Chapitre 45 - Brooke ⛸️
Chapitre 46 - King 🏒
Chapitre 47 - Brooke ⛸️
Chapitre 48 - King 🏒
Chapitre 49 - Brooke ⛸️
Chapitre 50 - Brooke ⛸️
🏒 Épilogue ⛸️
Mot de fin 💞
Où en est le tome 2?
ORC#2 - Cover reveal + résumé

Chapitre 35 - King 🏒

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By TamarSaborido

Ma bonne humeur de ce matin est partie se faire voir dès le moment où j'ai mis un pied en-dehors de ma chambre. Crispation, rancœur... ces sentiments m'envahissent à nouveau, et ce, depuis le début de la messe.

L'église catholique de Saint Bénédict se retrouve bondée de monde. J'ai du mal à croire qu'après douze ans, il y ait tant de monde qui vienne à cette commémoration. Ça me dépasse.

Il y a des membres de la famille, proche ou éloignée, mais surtout des hommes d'affaires qui bossent encore à ce jour avec James. D'anciens associés de mon père, en somme.

Je sais déjà ce qui se passera juste après la fin de l'office. Je vais devoir me mettre sur le côté, près de l'allée, et serrer les mains de personnes dont j'ignorais l'existence jusqu'à encore ce jour.

C'est tellement... hypocrite. Je me demande pourquoi est-ce qu'ils viennent, ou encore, pourquoi ma mère se voit obligée de convier tout ce monde. Il ne s'agit pas d'un enterrement, simplement d'un discours prononcé par le prêtre en la mémoire de mon paternel. Cet événement devrait être privé, intime, quatre-vingts pour cent des présents n'ont rien à foutre ici. Ce sont juste des fouineurs, des vautours qui ne recherchent qu'à se repaître du malheur d'autrui.

Sans oublier les foutus journalistes qui vont sans doute se ramener à la toute fin. Ils font toujours le coup. Je ne comprends pas à quoi rime tout ce cirque, ça me dépasse, et honnêtement, je crois que je n'ai pas envie de le savoir. Encore des manipulations de la part de James, c'est un fait. Il veut se faire passer pour le meilleur ami meurtri de la perte de son acolyte, qui malgré le temps écoulé, ne parviens pas à oublier sa perte.

Mon cul !

La voix du curé résonne dans tout le bâtiment, pourtant, je l'écoute à peine. Je suis bien trop plongé dans mes pensées, mes rancœurs. J'aimerais m'en débarrasser une fois pour toutes, mais tant qu'il y aura des points d'ombre sur le suicide de mon géniteur, je crois que j'en serai incapable. Je suis en colère depuis bien trop longtemps pour tout effacer d'un claquement de doigts. Non, ce serait trop facile.

Soudain, la main de Brooke se glisse dans la mienne. Je tourne mon regard vers elle et mon cœur s'apaise presque instantanément. Elle est si discrète, tellement en retrait, que pendant un moment, j'avais oublié sa présence. Ses doigts s'enroulent aux miens, puis de son pouce, elle caresse ma peau afin de me détendre. J'inspire et expire à plusieurs reprises.

Habillée d'une petite robe à volants bleue marine aux points blancs dont la jupe lui arrive jusqu'aux genoux, elle est à croquer. Cette couleur lui sied à ravir. Elle est simple, tout en étant parfaite pour l'occasion.

Les paroles du prêtre devraient s'avérer réconfortantes, or c'est cette fille qui m'apporte tout ce qu'il me manquait, ce dont j'avais besoin sans en être réellement conscient. Brooke est une évidence. Mon évidence.

À son contact, je m'évade, me sens un poil plus léger. Son odeur m'énivre, me transporte à ces moments si intimes partagés un peu plus tôt ce matin, dans ma chambre. L'envie d'aller encore plus loin me crevait le bide, néanmoins, ce n'est pas plus mal qu'on ait été interrompus. J'imagine que tout arrive pour une raison, aussi frustrant que cela soit.

L'office prend fin quelques minutes plus tard, et comme chaque année, tous les conviés se ramènent pour me dire à quel point l'absence de mon père se fait sentir. Certains, je ne les ai jamais vus de ma vie, mais je joue mon rôle à la perfection. Sourire collé sur la face, je répète vautour après vautour « merci d'être venu ». Et ainsi de suite, avec au moins une centaine de personnes.

À la toute fin, c'est la famille qui vient me trouver. Des oncles, des tantes, des cousins, que j'ai peut-être aperçu une ou deux fois depuis que je suis né. Ma froideur se fait sentir, ma patience commence à atteindre ses limites et ma mère s'en aperçoit. Les mâchoires contractées, je tente de rester poli, mais l'angoisse et l'oppression s'emparent de ma poitrine. J'ai l'impression qu'on a placé une enclume en plein milieu de ma cage thoracique, qu'elle me tire vers le bas, jusqu'au plus profond des abymes. Je veux hurler, tout casser, me débarrasser une fois pour toutes de ces sentiments néfastes.

— Est-ce que je peux y aller ? marmonné-je à l'intention de ma mère.

— Il y a un repas avec toute la famille à la maison, me rappelle-t-elle.

— Je passe mon tour, je n'ai pas envie de jouer au gentil fils devant tous ces gens. J'ai rempli ma part du deal.

— Asher, je ne sais vraiment par ce qui te prend, continue-t-elle en me prenant à part pour me gronder comme si j'étais un gosse de huit ans. Tu pourrais montrer un peu plus de respect, tu ne crois pas ?

— Du respect ? persifflé-je. Je t'en prie, ne joue pas à ça avec moi, maman. Je ne comprends pas pourquoi tu fais cette foutue cérémonie toutes les putains d'années. C'est d'une hypocrisie sans nom. Et tous ces gens... qui sont-ils ? Connaissaient-ils au moins papa ?

— Certains oui, d'autres non. Ta copine ne l'a jamais rencontré, et elle est là à ce que je sache, non ?

La colère gronde dans mes veines. Elle est sérieuse ? Ce n'est pas comparable, bordel de merde ! Brooke est là pour moi, pas pour mon père, et ma mère le sait parfaitement. Je crois que j'ai clarifié cette affaire hier soir pendant le repas.

— Je peux y aller ? réitéré-je.

— Ash, soupire-t-elle. Pourquoi rends-tu la situation si compliquée ? Nous sommes une famille, nous devrions être soudés.

— Une famille ? pouffé-je. Je t'en prie, regarde la vérité en face pour une fois dans ta vie, Amanda.

Face à l'utilisation de son prénom, elle écarquille les yeux, médusée. Je crois que c'est une première, jamais je ne l'avais utilisé pour m'adresser à elle. Une sorte de culpabilité se fraie un chemin à travers l'amertume jusqu'à mon cœur.

— Tu pourrais au moins aller nettoyer la tombe de ton père et y déposer des fleurs ? me sollicite-t-elle sans me regarder dans les yeux.

— Je m'en occupe, accepté-je sans rechigner. J'irai chercher mes affaires plus tard. Brooke et moi repartirons dans la soirée pour Oak Ridge.

— Fais ce que tu veux. Tu es chez toi, murmure-t-elle en repartant vers les autres, visiblement déçue.

Je la contemple s'éloigner en ayant l'impression d'être un gros enfoiré.

Ce n'est pas qu'une impression, mon pote.

***

Agenouillé devant la tombe de mon paternel, je m'active à débroussailler sa pierre tombale. Je relis sans cesse son épitaphe : « Père et mari exceptionnel, ami dévoué. Tes proches ne t'oublient pas ». Ces mots me filent la gerbe. Ils ont poussé l'hypocrisie vraiment loin, jusqu'au cimetière, là où il reposera pour l'éternité.

Cette journée est vraiment merdique, moi qui avais bon espoir ce matin que tout se déroule comme sur des roulettes... mais non, c'était trop beau pour être vrai.

Je continue de me défaire des mauvaises herbes, avant de déposer le bouquet de tulipes blanches que j'ai acheté en chemin. Brooke les a choisies, je n'avais aucune idée de quelles fleurs feraient plus l'affaire. Quoi qu'il en soit, je me sens plus apaisé qu'un peu plus tôt.

— King, tu es certain que ça va ? me demande Wolfy en posant une main sur mon épaule. Tu n'as plus ouvert la bouche depuis que nous avons quitté l'église.

Un long soupir m'échappe, ce n'est pas contre elle. J'ai la sensation que tout ce que l'on pourra dire ou faire aujourd'hui m'agacera. Je me sens comme une véritable merde, je ne suis pas fier de mon comportement, surtout en ce qui concerne ma mère. À croire que je souhaite la blesser à tout prix, même inconsciemment.

— Ne t'occupe pas de moi. Ça va aller, tenté-je de la rassurer.

— Tu n'es pas seul, ne l'oublie pas.

Elle repose sa tête contre mon épaule et se laisse un peu aller. Je savoure son contact tout en fermant les paupières. Elle m'apporte tout ce qui me manquait : quiétude, patience et je crois... qu'hier elle m'a ouvert les yeux. Tout n'est ni blanc ni noir, et au fond, je sais que ma mère et James s'inquiètent pour moi. En ce qui concerne mon parrain, il y a clairement un souci de communication. Nous n'arrivons pas à nous causer sans avoir envie de nous écharper. Mon comportement n'aide pas, c'est certain.

Comment suis-je censé me débarrasser de cette haine ? Parfois, j'ai l'impression qu'elle finira par avoir ma peau tant elle me consume. Je m'accroche trop au passé, au souvenir de mon père. Ces images s'effaceraient-elles si je décidais de le laisser partir une fois pour toutes ?

Je rouvre les yeux et fixe la tombe, les lettres incrustées dans la pierre. J'effleure les contours de son nom, Michael S. Kingston.

— Comment était-il ?

Étrangement, j'ignore comment répondre à cette question. Peut-on se fier au jugement d'un enfant de huit ans ? Pour moi, il était mon héro, celui à qui je voulais ressembler sur tous les aspects. Il m'a transmis sa passion pour le hockey, l'envie de devenir joueur professionnel. Bref, de réussir là où lui avait échoué. Depuis, son rêve est devenu le mien.

— D'après mes souvenirs, il était génial. Patient, aimant... c'était mon meilleur ami, mon confident. Nous avions une relation très fusionnelle, je dirais même privilégiée.

— Tu dois beaucoup lui ressembler, je me trompe ?

— Je suppose. J'espère m'éloigner le plus possible des décisions qu'il a prises.

Je revois à nouveau le canon de la carabine contre mon menton, prêt à tirer.... Un frisson me secoue de la tête aux pieds.

— J'en suis persuadée, me rassure-t-elle en m'embrassant sur la joue. Tu es King, tu es prédestiné au succès. Je le sais.

Un sourire béat se dessine sur mes lèvres, puis je saisis délicatement son menton afin de poser ma bouche sur la sienne dans le but de lui faire savoir toute ma gratitude. Sa présence à mes côtés compte beaucoup pour moi.

Elle effleure mon nez du sien, le regard tendre et se lève.

— Je te laisse une minute en tête à tête. Je serai près de la voiture.

Cette attention me touche, mais je ne suis pas étonné. Nous avons une expérience plutôt similaire en ce qui concerne la mort. Je la regarde s'éloigner, un sourire béat collé sur les lèvres, le cœur léger et l'âme apaisée.

Les secondes filent, je garde malgré tout le silence. Je n'ai jamais trop compris les gens qui s'adressent à une tombe, après tout, personne ne risque de te répondre. Pourtant, comme jamais auparavant, un besoin viscéral me prend aux tripes.

— Je crois que j'ai rencontré l'amour de ma vie, papa, soupiré-je avec l'impression de dérailler totalement. Je tenais à te la présenter, c'est fou hein ?

Comme escompté, je parle dans le vide, personne pour me donner la réplique. Néanmoins, ça me fait du bien. Au moins, exprimer ce que j'éprouve vis-à-vis de Brooke me libère d'un certain poids. J'ignore où nous allons, si nous fonçons vers un avenir radieux ou tout droit dans le mur, pourtant... je chéris chaque instant passé à ses côtés, peu importe nos activités.

— J'espère qu'où que tu sois, tu es en paix, déclaré-je en effleurant derechef son nom sur la pierre.

Au bout de quelques instants, où le vent ébouriffe mes cheveux, je me remets debout avant de tourner les talons pour rejoindre Wolfy. Au moins dix minutes se sont écoulées depuis qu'elle est partie, je ne veux pas la faire poiroter plus que nécessaire.

En arrivant près de la voiture, je retrouve ma belle patineuse appuyée contre l'un des flancs de sa Ford, une sucette entre ses lèvres. Sans parler de ses talons qui ont disparu, à présent, elle porte des converses noires. Cette image si digne d'elle me fait marrer. J'imagine que ses escarpins lui menaient la vie dure et qu'elle en a eu assez de souffrir.

— Ça a été ? me demande-t-elle.

— Oui, expiré-je. Merci... pour tout, Brooke.

Sans se faire prier, elle se love contre moi et m'enlace de toutes ses forces. Sur la pointe des pieds, cette petite créature se cramponne à moi comme si sa vie en dépendait. J'imagine que cette situation ne doit pas être aisée pour elle.

— Un jour, vous vous retrouverez, assure-t-elle en reculant, les larmes aux yeux.

Aussi étrange que cela puisse paraître, je n'ai jamais cru à ce genre de contes. Pour moi, lorsqu'une personne décède, elle cesse tout simplement d'exister. Il n'y a pas d'après, il n'y a que les souvenirs qui perdurent. C'est à travers eux que l'on peut retrouver nos proches disparus.

— S'il n'y a pas « d'après », la vie n'a aucun sens, tu ne crois pas ? continue-t-elle.

— J'ignorais que tu étais croyante. Tu penses sérieusement que notre existence ne prend pas fin avec notre mort ?

Un peu mal à l'aise, elle hausse les épaules, tout en détournant le regard. Peut-être que ma curiosité est mal placée, ou qu'elle a senti une sorte de moquerie émaner de ma question. Or, il n'en est rien.

— Je ne saurais comment l'expliquer, enchaîne-t-elle d'une petite voix. J'aime croire que les gens qui nous ont quittés, nous attendent de l'autre côté. Qu'en rendant notre dernier souffle, nous retrouvons toutes ces personnes qui ont rendu notre vie meilleure, qui nous ont aimés de manière inconditionnelle. J'ai espoir de revoir mon père un jour, King.

Si demain je trépassais, j'aimerais devenir son ange gardien afin de l'accompagner dans toutes les étapes de sa vie. Et oui, j'aimerais qu'une fois son heure arrivée, nous puissions nous retrouver et tout recommencer.

— Une sorte de paradis personnel où l'on revit sans cesse les bons souvenirs, et où la souffrance n'a pas lieu d'être, poursuit-elle.

Ses propos sont si profonds qu'ils me fendent le cœur. Cependant, je l'envie. Elle a quelque chose auquel se raccrocher, et ça, c'est poétique.

— C'est une belle philosophie, admets-je en l'étreignant à nouveau. Je peux te la piquer ?

Quitte à croire une fantaisie, autant plonger dans la sienne.

— Elle est toute à toi, Ash.

J'embrasse le sommet de sa tête, touché par sa sensibilité et par sa pureté. Plus elle se dévoile à moi, plus je suis touchée par sa force, sa ténacité et sa personnalité. J'ignore si elle s'en rend compte, mais à cause d'elle, j'ai atteint le point de non-retour.

Je suis foutrement amoureux d'elle. 

🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒

Bon, on s'en doutait un peu qu'il était foutrement amoureux, mais c'est toujours beau de voir nos bookboyfriends admettre l'évidence, non? 👀

Un chapitre centré sur la mort, la perte et l'après. Où les similitudes entre nos deux héros se renforcent. Sinon, la musique que j'ai choisi pour ce chapitre est très spéciale pour moi. C'est avec ce morceau que j'ai écris la fin du chapitre, où Brooke et King se tiennent près de la voiture et qu'ils parlent de ce qui pourrait se passer après la mort, au moins au récit auquel Brooke s'accroche. 

En tout cas, j'espère que ça vous a plu ! 

On se retrouve demain pour la publication du chapitre 36 à 20h. 

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