Oak Ridge Campus #1 King ©

By TamarSaborido

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#campus #hockey #patinage #romance #hefellfirst #spicy #newadult «Féroces sur la glace, fiers dans la victoir... More

🏒⛸️BIG ANNONCE 😍
Avertissement🔞
⛸️Un petit avant-goût?🏒
Chapitre 1 - King 🏒
Chapitre 2 - Brooke ⛸️
Chapitre 3 - Brooke ⛸️
Chapitre 4 - King 🏒
Chapitre 5 - Brooke ⛸️
Chapitre 6 - King 🏒
Chapitre 7 - King 🏒
Chapitre 8 - Brooke ⛸️
Chapitre 9 - King 🏒
Chapitre 10 - Brooke ⛸️
Chapitre 11 - King 🏒
Chapitre 12 - Brooke ⛸️
Chapitre 13 - King 🏒
Chapitre 14 - Brooke ⛸️
Chapitre 15 - King 🏒
Chapitre 16 - Brooke ⛸️
Chapitre 17 - King 🏒
Chapitre 18 - Brooke ⛸️
Chapitre 19 - King 🏒
Chapitre 20 - Brooke ⛸️
Chapitre 21 - King 🏒
Chapitre 22 - Brooke ⛸️
Chapitre 23 - King 🏒
Chapitre 24 - Brooke ⛸️
Chapitre 25 - King 🏒
Chapitre 26 - Brooke ⛸️
Chapitre 27 - Brooke ⛸️
Chapitre 28 - King 🏒
Chapitre 29 - Brooke ⛸️
Chapitre 30 - Brooke ⛸️
Chapitre 31 - King 🏒
Chapitre 32 - Brooke ⛸️
Chapitre 33 - King 🏒
Chapitre 35 - King 🏒
Chapitre 36 - Brooke ⛸️
Chapitre 37 - King 🏒
Chapitre 38 - Brooke ⛸️
Chapitre 39 - King 🏒
Chapitre 40 - Brooke ⛸️
Chapitre 41 - Brooke ⛸️
Chapitre 42 - King 🏒
Chapitre 43 - Brooke ⛸️
Chapitre 44 - King 🏒
Chapitre 45 - Brooke ⛸️
Chapitre 46 - King 🏒
Chapitre 47 - Brooke ⛸️
Chapitre 48 - King 🏒
Chapitre 49 - Brooke ⛸️
Chapitre 50 - Brooke ⛸️
🏒 Épilogue ⛸️
Mot de fin 💞
Où en est le tome 2?
ORC#2 - Cover reveal + résumé

Chapitre 34 - Brooke ⛸️

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By TamarSaborido

Le bruit d'un jet d'eau lointain m'arrache lentement à mon sommeil. Les paupières lourdes, j'ai du mal à les déployer. Couchée sur des draps en soie, je profite du contact du tissu contre ma peau. C'est doux, lisse et frais.

La tête posée sur un oreiller tout moelleux, je n'ai pas encore envie de me réveiller. Je me sens beaucoup trop bien pour ouvrir les yeux et affronter une nouvelle journée qui, je le sens, sera éprouvante mentalement. Dès l'instant où j'ai mis un pied dans cette maison, j'ai su que mon court séjour ne serait pas de tout repos. Néanmoins, j'étais loin de m'imaginer l'ampleur de la situation. Comme ce qui s'est produit cette nuit.

Les cris de King ; sa confession ; son désarroi... Ma gorge se noue tant j'ai pu sentir ses émotions. Elles faisaient écho aux miennes, à celles que j'ai pu éprouver lors de la mort de mon père. Parfois, quand je le regarde, j'ai l'impression de me voir dans un miroir tant nos vies sont similaires, à quelques exceptions près. Et c'est flippant.

Le bruit de l'eau cesse, j'entends alors le chant des oiseaux au-dehors. Leur mélodie m'apaise et m'aide à ouvrir les yeux petit à petit. Quelle heure est-il ? Je ne me souviens pas à quel moment de la nuit je me suis endormie.

La lueur du matin s'infiltre à travers la fenêtre qui se trouve au-dessus du lit. Ma vue s'adapte progressivement à cette clarté tandis que je m'étire et baille silencieusement, avant de remarquer l'Apollon qui me tourne le dos, une serviette enroulée autour de la taille. Devant son dressing, il semble dubitatif quant à son choix vestimentaire.

En catimini, je l'observe, émerveillée par la vue qu'il m'offre. Ses cheveux mouillés sont coiffés en arrière, son dos dégouline d'eau et je me retrouve à le contempler avec des airs de « voyeuse ». Ces années intensives de sport ont sculpté son magnifique corps, taillant chacun de ses muscles à la perfection. Ni peu, ni trop. King est juste parfait. Ou du moins, ce qui pour moi se rapproche le plus près de la perfection. Il est à tomber... et ma culotte pense pareil. Elle se glisserait bien jusqu'à mes chevilles.

Puis, soudain... la serviette atterrit à ses pieds.

Les yeux écarquillés, un glapissement meurt au fond de ma gorge. Mes prunelles sont happées par ce postérieur ferme, nu, qui s'offre à moi. Frustrée de ne pas pouvoir en découvrir davantage, je me mords la lèvre inférieure, au point où je sens un léger goût de sel et de rouille envahir ma bouche. Les cuisses serrées à l'extrême, je tente de diminuer la pression qui accroit entre mes jambes. La simple idée de le toucher, de découvrir ce dont j'ai été privée lors de notre première rencontre intime, me rend folle de désir.

Seigneur, je pourrais le contempler pendant des heures entières sans m'en lasser.

— Tu aimes ce que tu vois ? demande-t-il, narquois, toujours en me tournant le dos.

Il enfile un boxer, et pendant ce temps, mon cerveau vrille. Que suis-je censée faire ? Fermer les yeux et feindre le sommeil ? Ou admettre que je le mâtais sans aucune once de gêne ? D'une manière ou d'une autre, je crois que je suis foutue. Lui résister la nuit dernière a été une véritable torture. Je ne désirais qu'une chose : devenir sienne une fois pour toutes. Néanmoins, malgré cette envie viscérale qui me poussait à le vouloir à chaque fois plus près de moi, j'ai résisté. Après tout, je pensais ce que j'ai dit : je ne voulais pas profiter de la situation.

King pouffe et se retourne enfin, tandis que je fais semblant d'être endormie. Les paupières closes, garder mon sérieux s'avère compliqué. Ne pas rire me demande un sacré effort.

Je sens le côté gauche du matelas s'affaisser, et bientôt, son souffle chaud caresse ma peau, qui se recouvre de chair de poule.

— Petite tricheuse, murmure-t-il à mon oreille avant de me mordiller l'hélix. Je sais que tu me mâtais, Wolfy.

Sa peau encore mouillée frôle la mienne, chaude comme la braise. Le bout de ses doigts se balade sur toute la longueur de mon bras, me prodiguant de tendres caresses qui me font frissonner de plaisir. Ses lèvres se posent sur les miennes afin de me gratifier d'un tendre baiser auquel je réponds par automatisme. Il m'est impossible de rester impassible, j'en suis incapable. Mes bras s'enroulent autour de son cou dans le but de le tenir le plus près de moi possible. Rapidement, King se retrouve placé entre mes cuisses, écartées, pendant qu'il me dévore avec une envie grisante. Quand son sexe dur comme le fer repose contre le mien, palpitant, je geins, frustrée par ce contact qui me rend folle.

— Alors ? chuchote-t-il en suçotant ma lèvre inférieure. Conquise par mon fessier légendaire ?

— Crâneur, ricané-je. Je ne l'ai pas encore touché, je ne saurais te dire.

Ma petite provocation a l'effet escompté, puisque, audacieux, il glisse une de ses mains entre nous et soulève mon t-shirt. Il effleure mon ventre nu, avant de faufiler ses doigts sous l'élastique de ma culotte.

— Vilaine fille.

— Désolée, je ne crois que ce que je touche, le provoqué-je, la chaleur augmentant dans mon corps de manière exponentielle.

— Je te laisserai faire, si tu es gentille.

King décide de me torturer, à chaque fois un peu plus. Sa main ne va pas plus loin, elle demeure sagement sur mon mont de Venus, sans s'aventurer au-delà. De son sourire narquois, il me nargue comme jamais. Il semble très fier de lui, alors que je m'embrase sous son toucher.

— Frustrée, Wolfy ?

Je contracte les mâchoires et tente de me reprendre. La façon dont il joue avec moi devrait être interdite. Pourtant, j'adore ça. Cette façon qu'il a de me mettre à l'épreuve, de me laisser toujours le choix. Là, tout de suite, je n'ai pas très envie de faire joujou.

— Qu'est-ce que tu veux ?

Les yeux dans les yeux, je n'arrive pas à discerner ses iris de ses pupilles tant elles sont dilatées. Le désir s'insinue dans nos veines, nos corps, à la vitesse de l'éclair. Et plus l'attente est longue, plus cette envie viscérale, vitale, s'intensifie.

— Ta bouche.

— Et que veux-tu qu'elle te fasse ?

— Qu'elle m'embrasse, réponds-je, haletante et impatiente.

— Où ça ? m'allume-t-il en m'assenant un coup de rein magique. Sois plus explicite, Brooke.

Un long frisson dévale ma colonne vertébrale avant de se loger au creux de mon ventre. L'attente devient de plus en plus insoutenable, cruelle. Je désire la sentir partout sur moi.

Quant à son érection, elle me fait perdre la tête. Je crève d'envie de le toucher, de lui rendre tout le bien qu'il me fait.

— Tu sais parfaitement où, pourquoi poses-tu la question ?

— Juste pour en être sûr, répond-il, goguenard. Accroche-toi aux draps, Wolfy. Décollage imminent.

Il me gratifie d'un clin d'œil avant de m'embrasser, avalant mon souffle chaud. Sa langue rencontre la mienne dans une frénésie sans précédents, puis ses lèvres descendent sur mon cou, sa main soulève mon t-shirt et il commence à déposer de tendres baisers sur mon ventre tandis qu'il descend toujours plus au sud. Ma respiration retenue, je relâche la pression lorsque ses dents s'emparent de l'élastique de ma culotte et qu'il la fait coulisser le long de mes jambes.

— On dirait que ton minou est très heureux de me voir, gronde-t-il d'une voix rauque.

Sans plus tarder, il souffle délicatement sur ma fente déjà prête à l'accueillir, avant d'y passer sa langue sur toute sa longueur. Mon souffle devient plus lent, les battements de mon cœur augmentent face à la sensation de sa langue sur ma chair humide d'excitation.

— Ne t'en fais pas, poursuit-il en mordillant l'intérieur de ma cuisse. Je vais bien m'occuper de lui. Tu me fais confiance ?

— Toujours, haleté-je sans hésitation, une main plongée dans sa tignasse rebelle.

Sans ne plus tarder, il m'attrape par les cuisses et me tire afin de me traîner jusqu'au bord du lit. Je me laisse glisser sur le matelas, tel un pantin, et lorsqu'il se trouve agenouillé entre mes jambes, il me lance :

— Ouvre les yeux, Brooke.

Un poil perdue, je m'exécute. C'est alors que je vois son visage, tout près de mon intimité, le regard lubrique et prometteur de plein de folies.

— Si tu veux prendre ton pied comme jamais, ne romps pas le contact visuel pendant que je te lèche. As-tu compris ?

Bon sang, cette sale bouche... elle me donne envie de la lui laver avec du savon, et en même temps de la laisser me faire les choses les plus dépravées au monde.

La gorge extrêmement sèche, je me contente de hocher la tête et de suivre ses ordres au pied de la lettre. Du moins, je vais essayer. J'ignore si j'arriverai à soutenir son regard pendant un moment aussi... intime.

Un sourire machiavélique étire les coins de sa bouche, ses pupilles dilatées me promettent tout un tas de folies auxquelles je vais y prendre goût. Ses bras s'enroulent autour de mes cuisses afin de me maintenir en place et son visage plonge dans mon entrejambe. Le regard braqué sur cette scène érotique, mon cœur subit une interminable série de ratés à chacun de ses coups de langue. Il me dévore, tendrement, langoureusement, avec une appétence sans précédent. Appuyée sur mes coudes afin d'assister à ce cunni endiablé, mes bras tremblent, à l'instar de tout mon corps, tant les sensations sont intenses, indescriptibles.

Lent, rapide... en cercle, de haut en bas... succion, petite morsure... mon palpitant menace de lâcher à tout moment. Il me lape comme si j'étais sa glace préférée. Et ses yeux... Mon dieu, ses yeux ! Ses pupilles sauvages s'assombrissent, étincellent, me consument de la même manière que sa bouche.

Mes reins me brûlent, mon bassin bouge à la cadence de ses coups de langue. La délivrance est proche, je la sens pointer le bout de son nez, d'abord doucement, avant de menacer d'exploser.

Les lèvres scellées, je clos les paupières quand la déferlante provoque un raz de marée au fond de moi. Mes membres se contractent, mes orteils se crispent et la jouissance envahit tout mon être de manière synchronisée. La respiration saccadée, King ne me donne aucun répit. Il pousse la chose encore plus loin en venant caresser mon point G à l'aide de son majeur, tandis que sa langue continue de me titiller.

— Putain, marmonne-t-il, je crois que je vais jouir rien qu'en te regardant prendre ton pied, Wolfy. Tu es tellement...

— Asher ?

La voix de sa mère et deux coups portés à la porte de sa chambre viennent briser cet instant érotique. Je me raidis, Ash lance un coup d'œil en direction du battant. Heureusement, il est fermé à clé, je m'en suis assurée cette nuit.

— J'espère que tu es debout ! Nous partons dans trente minutes. Dis à ton amie de se préparer si elle compte venir !

Cependant, son fils ne répond pas. Au contraire, il plonge à nouveau son visage dans mon intimité, tout en poursuivant les assauts de ses doigts.

— Je vous trouve très tendue, Mademoiselle Greene, chuchote-t-il, amusé par ma tête actuelle.

Je dois sûrement avoir l'air d'une lapine prise entre les phares d'une voiture avant de se faire écraser.

— Ash, est-ce que tu m'entends ?

Mme Kingston-Smith tente d'ouvrir la porte, sans succès.

— Combien de fois t'ai-je dit de ne pas t'enfermer dans ta chambre ? le gronde-t-elle.

— Je ne pense pas qu'elle aimerait voir son fils dévorer une chatte, plaisante King. Même une aussi jolie et appétissante.

J'écarquille les yeux, il me gratifie d'un clin d'œil ainsi que d'une nouvelle léchouille. Comment arrive-t-il à continuer alors que sa mère se retrouve de l'autre côté de ces murs ? Et malgré moi, je ne peux qu'apprécier cette audace qui est la sienne. C'est grisant au possible. Néanmoins, j'espère qu'elle ne l'a pas entendu.

— Ah ! Tu es debout ! Est-ce trop te demander de répondre ?

— Je suis occupé ! braille-t-il en quittant mon entrejambe, visiblement énervé par l'insistance de sa génitrice.

— Qu'est-ce qui peut être aussi important pour que tu n'aies pas le temps de me répondre lorsque je te parle ?

King me lance un regard malicieux et dépose un baiser sur mon bas-ventre contracté, privé de ce nouvel orgasme.

Un poil sonnée, il me faut quelques secondes pour m'en remettre. Toutefois, si elle ne s'en va pas, je ne pourrai pas quitter cette chambre. King se lève, il n'est pas difficile d'apercevoir l'érection qui tend son boxer, encore plus qu'avant. Bon sang, c'est la deuxième fois qu'il s'occupe de moi et que je ne peux pas lui rendre la pareille. Pour le coup, je me sens... égoïste.

Mon merveilleux amant se dirige vers la porte, la fixe et à mon tour, je me lève puis ramasse ma culotte aux pieds du lit avant de l'enfiler, les jambes flageolantes.

— Oh, et bien, commence King, railleur, je pourrais t'en donner toute une liste. Comme par exemple, dévorer le min...

Paniquée, je plaque une main sur sa bouche afin de l'obliger à la boucler. A-t-il perdu l'esprit ? D'accord, il en veut à sa mère, mais ce n'est pas une raison pour la provoquer plus que nécessaire.

— Bref, soit en bas dans trente minutes. L'office débute à dix heures.

— Hum, hum.

Narquois, il retire ma main.

— J'y serai, et Brooke aussi.

Le cœur au bord des lèvres, j'entends les pas de la maîtresse de maison s'éloigner. Je soupire de soulagement, tout en foudroyant du regard ce petit con qui semble très satisfait de lui-même.

— Tu es dingue.

— Je sais, mais avoue que c'était drôle. Surtout te voir paniquer, s'esclaffe-t-il. Tu ne dois pas aller t'habiller ? Si j'étais toi, je prendrais une bonne douche. Tu sens le sexe à plein nez, et ton odeur va trop m'exciter. Je n'ai pas spécialement envie d'avoir la trique pendant la commémoration de mon père.

Son petit sourire provocateur m'agace autant qu'il m'allume. Toutefois, il a raison. Un passage sous la douche s'impose afin d'éliminer toute trace de fluides.

— Et si elle était encore dans le coin ? m'inquiété-je malgré tout.

— Eh bien, elle comprendra sans mal pourquoi je ne lui répondais pas. L'autre option, c'est de devenir ma prisonnière pour les temps à venir. Personnellement, je vote pour.

Avant que je ne puisse répliquer, sa bouche me gratifie d'un long baiser me fait perdre la notion du temps et de l'espace. J'en viens à oublier ce que je devais faire.

Une fois le baiser rompu, je demeure contre lui, pantelante, le souffle court.

— Va prendre ta douche, chuchote-t-il. Je peux venir te savonner si tu veux.

Cette proposition me rappelle à l'ordre, et j'essaye de reprendre mes esprits. Instinctivement, je le repousse. Son corps me fait trop perdre la tête, et dans moins d'une heure, je serai dans une cérémonie en l'honneur de son défunt père.

— Je m'en doutais, raille-t-il en frottant son nez contre le mien pour finalement l'embrasser. Allez, va avant que je ne te saute dessus.

Et vu le regard qu'il me lance, c'est ce qui risque d'arriver, sans le moindre doute. 

🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒🏒

Chapitre 🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🥵

Mais aussi drôle, on va pas se mentir 😂 Je pouvais pas rater une telle occasion. 

En tout cas, j'espère que ce chapitre vous a plu. 

On se retrouve demain pour la publication du chapitre 35 à 20h. 

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