Coucou !!
En média Emily VANCAMP que je vois bien pour Vicky.
Bonne lecture !!
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PDV Vicky
Je m'attendais à tout sauf à ce qui allais suivre. Ce ne pouvait pas être vrai ! Je ne pouvais pas, impossible... Je ne voulais pas !
Je regardais mon ventre et posais mes mains sur celui-ci. Impossible... J'étais sous le choc.
Pourtant tu l'es !
Ce n'est vraiment pas le moment conscience.
- Depuis quand ? murmurais-je
- Un mois et une semaine... répondis ma mère
- Et vous contiez m'en parler quand ???? m'énervais-je
- Ne crie pas ma chérie s'il te plaît. me supplia ma mère
- Nous attendions que tu ailles mieux... mais on te l'aurait dit à la fin de la semaine ! dit mon père en me regardant dans les yeux
- Charlotte elle...
- Non, ta soeur n'est pas au courant... murmura ma mère, les yeux dans le vague.
Nous restâmes silencieux, tous les yeux tournés vers le sol, perdu dans ces pensées. Je n'en revenais pas. Je ne sais combien de temps nous sommes resté là, les yeux dans le vague. Je suis... J'étais... Je n'arrivais pas à le dire.
Dis le !
Toi, on ne t'a pas sonné !
Je sursautais au son de la voix de mes parents
- C'est ton choix maintenant... dirent mes parents, on te soutiendra de toute façon !
Soudain, je levais brusquement la tête et posais mes yeux sur eux d'un air déterminé.
- Que s'est-il passé ?
Mes parents fuyaient mon regard.
- Tu t'es fait agressé.
- Ça je le savais déjà...
Ma mère pris la parole
- Il t'a emmené dans un terrain vague, derrière une poubelle et t'a frappé jusqu'à ce que tu perde connaissance (c'est ce que tu as dit à la police en tout cas) puis il t'a... il t'a...
Elle éclata en sanglot. Elle n'avait pas besoin de finir sa phrase pour que je comprennece qu'elle voulait dire : l m'avait violé.
- Comment m'a t'on trouvé ?
Mon père, qui essayait de calmer ma mère, me répondit :
- Un passant a cru entendre un bruit derrière la poubelle et allait repartir passant qu'il avait mal entendu et il a vu ton agresseur te mettre dans la poubelle. Quand ton agresseur l'a vu, il l'a frappé ce qui a alerté une autre passante et donc il s'est enfui laissant le premier passant avec seulement un bras cassé.
- L'a-t-on trouvé ?
- Tu devrais retourner te coucher...
- Papa répond moi !
- Il reste introuvable.
J'avais soudain sommeil. Je souhaitais une bonne fin de nuit à mes parents et regagnais ma chambre silencieusement. Je réfléchissais encore : j'étais enceinte ! Je ne pouvais pas le garder ! Mais aurais-je la force de l'abandonner ? Je ne savais pas...
Sans m'en rendre compte, je m'étais rendu dans la chambre de ma soeur au lieu de la mienne. Charlotte dormait paisiblement ce qui la rendait encore plus craquante. Je la réveillais doucement :
- Je peux dormir avec toi ? lui chuchotais-je
Elle hocha la tête et je m'installais à côté d'elle. Je me derrière elle et mes yeux se fermèrent aussitôt tandis que je pensais à la révélation dont mes parents venaient de me faire part. Je m'endormis au rythme de la respiration de ma petite soeur.
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Le lendemain :
Je fus réveiller par des rayons de soleil. Je me tournais vers le réveil qui indiquait 10h09. Je me rendis compte que je n'étais pas dans ma chambre et me rappelais alors de ce qui c'était passé la veille. Je décidais d'essayer de manger quelque chose bien que je n'avais pas du tout faim. Je pris du lait dans le frigo et en mis dans mon bol auquel j'ajoutais des céréales. Lorsque j'eus pris une cuillerée, je me rendis compte que, d'un seul coup, j'avais vraiment très faim. J'étais seule à la maison -puisque mes parents étaient au travail et ma soeur était au collège- donc j'en profitais pour me reservir.
Quand j'eus fini mon maxi petit déjeuner, je jetais un coup d'oeil dans la glace du salon en passant pour aller regarder la télévision et remarquais que j'étais tout habiller étant donné que je n'avais pas pris la peine de me changer hier en rentrant. Je décidais donc d'aller prendre une douche. Je pris des habits propres -genre un vieux tee-shirt et un jogging car je restais à la maison et ne comptais pas sortir- et mis mes anciens vêtements au sale. Je pris une douche bien chaude. Vingt minutes plus tard, je fermais l'eau avec l'impression d'avoir laver mon âme, m'habillais, descendis, allumais la télévision, m'installais sur le canapé et commençais à zapper en réfléchissant si j'allais garder ce bébé oui ou non : un décision s'imposait.
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Trois ans plus tard
Nous étions en décembre. Beaucoup de choses avait changé depuis trois ans. J'avais quitté mon groupe d'amies car elles s'étaient montrées très envahissantes en voulant tout le temps que je leur raconte ce qu'il s'était passé trois ans plus tôt et ne n'avaient jamais chercher à me remonter le moral ni à me soutenir moralement. Je restais à présent seule. Je m'étais habituer à cette solitude et les gens avaient fini par m'oublier et moi aussi finalement. Personne ne venait me parler et ce n'étais pas plus mal. Pour les autres, j'étais seulement timide mais ça n'avait rien à voir et je m'en fichais totalement. De plus, j'avais également avorté ce qui avait été très douloureux à l'époque mais je m'en remettais petit à petit. Du moins, j'essayais. Mais je n'ai pas envie d'en parler pour le moment mais je promets de raconter plus tard. Tout le monde avait été mis au courant pour mon avortement malheureusement pour moi qui voulait parfois être discrète. Au début, c'etait impossible...
Je réfléchissais donc à tout ça quand une ombre se dessina et me plongea dans l'ombre. Je levais la tête vers celui ou celle qui venait me déranger pendant ce temps de réflexion qu'était devenu mes récréations. C'était un nouveau de ma classe qui était arrivé il y a quatre mois. Il était brun aux yeux marron doré.
- C'est pour ? demandais-je
- Je... euh... Pourquoi t'es toute seule ?
- Parce que c'est mieux comme ça.
Je comptais la faire partir. Plus tôt il partirai, plus tôt je serai débarrassé. Je fus très étonné de le voir s'asseoir à côté de moi.
- Je peux savoir ce que tu fais ?
- Je m'installe à côté de toi !
- Il y a des gens qui t'attendent là... dis-je en montrant des garçons qui agitaient leurs mains en le regardant pour qu'il vienne les rejoindre
Le nouveau leur fis non de la tête et se tourna vers moi avec un grand et magnifique sourire.
- Ça ne te dérange pas ?
- S...
- Parfait !
Je soupirais...
- Comment tu t'appelles déjà ?
- Bastien... Toi c'est Victoria, c'est ça?
Je levais les yeux vers lui et le devisageais. J'avais l'impression de l'avoir déjà vu... Peut-être dans un magasin.
- Vicky c'est mieux...
Personne ne m'appelait jamais Victoria...
Je cherchais un mouchoir dans les poches de mon manteau mais n'en trouvais pas.
- Je peux ?
J'eus un mouvement de recul mais ne le repoussa pas lorsqu'il ouvrit doucement la poche de mon blouson et en sortis un paquet de mouchoir. Je le devisageais une seconde fois et plongea mes yeux dans les siens. Il me regarda avec amusement :
- Tu devrais mieux chercher la prochaine fois...
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Coucou!! Ça va ???
Nouveau chapitre !!
Je ne suis pas très satisfaite de ce chapitre mais bon...
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#unefilledefrance