La racaille en body

103 1 0
                                    

Un soir, je vois débarquer un jeune homme au style racaille des cités. Le type qui n'inspire aucune confiance.

Sa façon de s'exprimer trahissait clairement un manque évident de culture et d'éducation.

Ce genre de personne est toujours dans le collimateur des vendeurs. Toujours prêt à fomenter un mauvais coup.

D'ailleurs celui-ci ne cessait de m'épier du coin de l'œil, je suis alors convaincu qu'il cherche à me voler.

Je ne le quitte pas des yeux. C'est probablement ce qui l'ennuie et le décourage. Mais finalement tenta de s'approcher du comptoir et me demanda :

Je cherche une tenue sexy pour ma copine, elle est timide et ne veux pas rentrer dans le magasin !

Très méfiant mais conscient que la politesse doit rester ma priorité, je m'évertue à lui prodiguer des conseils sur le choix d'une lingerie sexy.

Son choix se porte finalement sur un body en dentelle de couleur verte.

Il me demande alors si sa copine qui attend dehors peut essayer la tenue dans une des cabines.

Je réponds par l'affirmative.

Sur ce, il semble dialoguer avec quelqu'un qui parait être juste en dehors du magasin, il revient vers moi et me dit :

Elle prend des clopes au night-shop et elle arrive, je peux déjà monter avec la lingerie et elle me rejoindra ?

Je trouve ça bizarre mais bon je sais qu'il n'aura pas le temps de me voler ce qu'il vient de prendre. Le temps de dévaler les escaliers qui mènent aux cabines j'aurais le temps de l'intercepter.

C'est donc sur de moi, que je lui donne la lingerie qu'il a choisi. Cinq grosses minutes se sont écoulées et je dois constater que je n'ai vu aucune fille rejoindre le jeune homme qui je le crois à ce moment précis attends dans la cabine. Soudain, je me apostropher par celui-ci, je lève les yeux et là, je ne peux réprimer un petit « hé » qui traduit assez fidèlement mon étonnement.

Je vois ce jeune homme qui vient de revêtir la tenue qu'il a choisi avec aux pieds des baskets.

Il me demande le plus naturellement du monde : « ça me va bien ? »

Je reste sans voix, complètement éberlué par l'image surréaliste qui se dévoile devant mes yeux. Je ne sais pas quoi lui dire.

Aussitôt je me ressaisi et lui hurle : « t'es malade ou quoi, dégage de mon magasin. Tu te fou de ma GUEULE !!!

Il s'est rhabillé et est parti tout tranquillement en me lançant : « Salut cousin ! »

sex-shop storiesNơi câu chuyện tồn tại. Hãy khám phá bây giờ