Mon nom est Lucy

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PDV de Lucy

J'en ai encore rêver de dezze qui crie de douleur, de tristesse et surtout de colère. Je me demande, si elle me déteste. Mais, je l'ai fait pour la famille, pour Asgard et même si j'ai honte et que ça ma détruit de devoir faire ça mais c'était pas de ma faute. J'ai juste écouter Lifer. Je suis partie, pas, pour oublié mais pour ne pas que Lifer essaye encore de me contrôler comme elle le fait tout le temps. Si, elle me tente encore je vais péter un câble et ce ne serait bon pour  personne que je déraille. j'ai fait trop de bêtises, je me suis rattraper en aidant a emprisonner Dezze. Je ne peux pas flancher maintenant.

Que dire sur moi, Je suis une amoureuse de l'amour, les gens m'aiment beaucoup, parce que j'ai gagné le titre de la sakt la plus gentille mais c'est je suis loin d'être la fille sage qui obéie sans rien dire et qui s'occupe de la veuve et de l'orphelin. La bonne blague tout les Sakt sont des connards. Je suis juste un peu lunatique, je pense mais je pense que comparer aux autres je suis bien la plus agréable aux externe de la famille. Si on peut dire que ce groupe de personnes est une famille bien-sur . J'ai une peur panique de ces horribles créatures nommées araignées mais c'est vrai quoi elles sont hideuses. Je suis une personne assez courageuse, je déteste que l'on me parle comme a une enfant même si je fait souvent la gamine, je suis un peu comme la voix dans notre trio a mes sœurs et moi, je m'excuse pour elles, je traduit quand dezze sort son langage des plus haineux et quand Lifer ne dit rien et se contente de regarder ailleurs et je suis aussi celle qui les calme quand ça va trop loin. Elles avaient l'habitude de se battre pour un regard de travers ou une pique lancer a table même si dezze ne parlait plus beaucoup et ne venait près ce que jamais au dîné de famille, elle ne refusait pas la moindre occasion pour lancer une petite pique a Lifer qui répondait avec le sourire. C'était drôle de toujours faire l'arbitre puis de me retrouver embarquer dedans a me disputer avec elles. Nous voilas loin des petite querelle chacune dans son coin...

_Lucy!!! Quelqu'un crie mon nom mais je sais déjà ce qui se passe Dezze a du s'échapper.

_Dezze est où? Dis-je en sortant calmement de ma chambre. Elle me regarde étonné. J'ai dit où est Dezze? Je lui souris.

_Comme savez vous que...

_C'est ma sœur, je la connais... Alors???

_Nous ne savons pas encore. On est bien dans la merde là.

_Bien, ne venez me chercher que quand vous le saurais. Il faut pas que je panique pas ici.

Je rentre dans ma chambre, ferme la porte et PANIQUE, il faut PANIQUER, ok ok Lucy RESPIRE, il faut aussi RESPIRER. Bon, j'en étais sur qu'elle devait sortir, c'était évidant. Je suis sur que Lifer est déjà au courant, c'est peut-être avec du courant qu'elle va me torturer. Je vais boire du thé beaucoup de thé pour me calmer, je préférerais me saouler mais une de mes sœur qui est surement dans une colère noir contre moi est a ma recherche donc pour ne pas être plus pathétique que je ne serais dans pas longtemps, il faut que je sois sobre. Je me fait un thé et m'assois sur la terrasse en laissant mon esprit divaguer...

Et la j'entend quelqu'un frapper à ma porte, ça pourrais bien etre Dezze, elle a de ses jeux sadiques, celui de toquer à la porte de ses ennemis  elle l'appelle "c'est la mort" et elle chante une fois que les gens on ouvert

C'est la mort,                                                                                                                                                                            Qui toque à la porte,                                                                                                                                                            Sachez quelle n'a jamais eu tort,                                                                                                                            Monsieur, Mesdames,                                                                                                                                                        Voici le terminal.

Je dis entrer mais se n'est pas ma sœur, c'est ma fille enfin pas vraiment mais elle est tout comme.

_Je suis venue vous lire un poème, pour vous détendre. Sa voix est tellement apaisante mais aujourd'hui pas de grand sourire ni de saut partout, aujourd'hui calme.

_ Maintenant, je viens t'offrir ma mémoire

Pour que tu te souviennes de mes pensées
Il te faudrait réaliser mon errance ce soir
Il te faudra te souvenir comme j't'ai aimé
Souviens-toi aussi de toutes mes victoires
Et de ces mots que ma bouche a formulés
.
Sera-t-il possible, dis, que tu t'souviennes
De toutes ces blessures que t'm'as infligées ?
Penses-tu qu'il se peut que tu comprennes
Toutes ces déchirures qui m'ont déchirée ?
J'aimerais qu'enfin, demain, tu retiennes
Tous ces jours où nous nous sommes aimés
.
Ô toi, à qui je suis à apprendre à mentir
Sans plus me blesser, pars ! Moi j'm'en vais
Quand je t'vois je te montre mon sourire ...
Alors que mon être hurle dans ses plaies
Tu sais j'me meurs de pouvoir te maudire

Je passe courant à toute allure en secret.

Je me retourne, ce n'est pas...                                                                     

Les sœurs Sakt (TERMINER)Where stories live. Discover now