Les sœurs Sakt (TERMINER)

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PDV de Lifer

Après tout ce raffut vient le silence.je ne veux plus pensé à elle. Il est important que je me détende, les jours qui vont suivre seront rudes. J'ai une nation derrière moi, un peuple et un nom. Je suis censé protéger tout ce petit monde alors je me dois d'être dans l'état propice à ma victoire. Toutes ennemis qui oseraient ce dresser contre moi, devrais  connaître son  sort avant même d'être révéler à ma vue.

J'étais sur mon trône comme à mon habitude, je réfléchissais à ce que je pouvais faire, à divers stratégies pour vaincre l'ennemi. Je pris une décision. Je me leva et parti dans mes appartements, me plonger plus dans cette réflexion qui me semblait être parfaitement en raccorde avec la situation qui s'impose devant moi.

Alors que je marchais dans les couloirs presque infinies de la maison de mon enfance, ornés de ses moulures parfaite semblant couronnés le plafond. Son sol en marbre, qui créait une dance des époques rythmer par les talons de chaque souliers, se servant de lui comme marche pieds. Des souvenirs me frappaient, ils me menaient loin dans le passé, cette époque où tout m'était permis, cette époque où mon père et moi étions plus proche que jamais. Mon père détestait marcher derrière les gens mais il me disait de marcher devant lui pour que j'apprenne à être la tete et non la queue. Il était sur de lui dans tout ce qu'il faisait, ce qui relançait, la parfaite image de l'autorité suprême qu'il voulait représenter. Il avait des visions différentes du monde et poussait les gens à les adopter... surtout ses filles. Mais moi cela ne m'a jamais déranger, de ressembler à mon père. Lucy avait soif de liberté malgré le faite qu'elle aimait tout les récits divers et variés que lui offrait la collection de livre de père  dans la bibliothèque loin de l'extérieur dont finalement, elle pouvait ce passer tant qu'elle gardais sa liberté spirituelle qui lui était offert par ses ouvrages...

J'abouti en fin la longue traversé des ces galeries. Saisissant la poigné de la porte de ma chambre en un instant j'étais dans celle si et refermais la porte. Je longea la grande pièce du regard avant de marcher d'un pas très lent vers la terrasse. Je mis mes mains à plat sur les remparts qui m'empêchais de tomber. Je contemplais l'immense ville sur qui une ombre aussi immense qu'elle planait, attendant la faille pour déverser sa fureur.

Oubliant cette pensé funeste, après avoir parcourut visuellement mon empire, j'inspira profondément en relâchant l'air prisonnier de mes poumons... Je laissa mon corps s'envoler vers les cieux. me sentir au dessus de la force d'attraction permanente qui me maintenais au sol, je cessais de me contenir, bien loin de tout les humains fragiles, je céda la place à ma vrai nature celle que personne ne peut voir sous peine de me haïr. 

Je ne sais vraiment pas comment font ces gens aimés de tous, j'ai de nombreuse fois essayer mais ma façon naturel d'être reprenait vite le dessus sur ma volonté de bien faire. Et j'ai fini par délaisser cette idée absurde et contraire à ma nature. C'est vrai franchement <<si tout le monde t'aime tu a un sérieux problème>>.

Après cette ascension, je redescend en retrouvent ma prison charnel. Je suis vraiment épuiser cela fait cinq jours que l'autre démon, c'est échapper de l'enfer et cinq jour que je ne dors pas. Je m'allonge délicatement sur les draps en satin de mon lit et enlace Morphée.

<<si tout le monde t'aime tu a un sérieux problème>> Bob Marley.