Journal Intime

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Je n'y crois pas mes propres parents ne me croient même pas.

Je revenais chez moi après la balade. 

Et devant chez moi, Soja c'est arrêtée. Elle s'est couchée par terre.

Elle couinait. J'ai d'abord essayée de la relever. Mais elle ne bougeait pas. Je me suis mise à pleurer.

- Soja...Lèves-toi...

Elle leva les yeux vers moi. 

Mais ne bougea pas.

Je courra chez moi. 

La porte était fermée. 

Je tambourina mais personne n'ouvrait. 

La fenêtre de la cuisine était ouverte. 

J'entras pour trouver mon père, devant son ordinateur, écouteurs aux oreilles. 

- PAPA !!! PAPA !!! SOJA EST MALADE !!! Il faut l'emmener chez le vétérinaire ! 

Mon père porta Soja et la mit sur la banquette arrière de la voiture. Je me suis mise à coté d'elle. 

Elle avait posée sa tète sur ma cuisse et me regardait avec un regard implorant. 

Chez le vétérinaire :

Après avoir examiner Soja, L'homme nous annonçât : 

- Vétérinaire : Je vais vous demander d'attendre environ 1h pour que je puisse savoir ce que votre chienne a. Vous pouvez rentrer chez vous et je vous téléphonerai pour que vous reveniez ou vous pouvez attendre dans la salle d'attente. 

- Moi : On va attendre ! 

Et j'attendis plus d'une heure. M'inquiétant de plus en plus pour ma seule amie. 

- Vétérinaire : C'est bon, vous pouvez venir.

- Moi : QU'EST QU'ELLE A ???? 

- Vétérinaire : La piroplasmose.

- Moi : C'est quoi ? 

- Vétérinaire : C'est une maladie parasitaire qui s'attrape par les puces. Vous avez dut lui remettre du produit trop tard. 

- Moi : Il y a des médicaments  ? 

- Vétérinaire : Dans son état... On peut juste opérer. 

- Moi : Je peux la voire ? 

- Vétérinaire : Oui, bien sure. 

Elle avait l'air si fatiguée. 

Il fallu une heure à mon père et au vétérinaire pour ramener Soja à la salle de repos. 

Je ne voulais pas la lâcher. 

Elle avait l'air mieux en me voyant... 

Elle avait même réussi à se redresser difficilement pour lécher mes larmes...

Je ne cessais de crier et pleurer, mais ils n'ont quand même pas voulu que je reste avec elle, même s'il aurait fallu que je dors dans un panier pour chien, ou dans une cage près d'elle.