Chapitre 3: Retour à Wonderland

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Pendant de très longues minutes j'eus l'impression de chuter dans un tunnel sans fond aux murs miroitant représentant des scène de lui petit parlant à son seul ami: Le chat de Cheshire. Au fur et à mesure que je chutais, la vitesse se ralentis jusqu'à ce que je ne descendais plus que deux trois centimètres par seconde. Enfin après ce qui me semblait être une éternité, je touchai le sol. Un sol dur et froid, il s'agissait de dalles en pierres.

Le temps que je reprenne tous mes esprits et que ma vue revienne à la normale je sentis un vent glacé sur ma peau. Je vis alors que je me trouvais dans un château et que le vent passait par des vitraux cassés. Me relevant j'ai massé mon dos engourdit, observant le monde autour de moi. J'ai d'abord fais une crise de panique, me mettant à hurler contre mon gré et à frapper sur la table qui trônait au centre de la pièce immense. Le bois à moitié pourri s'est brisé en deux et je repris enfin confiance en moi. Je me suis dirigé vers un trône de marbre qui était situé au fond de la pièce, la dominant de sa splendeur. Des coeurs étants gravé sur ses repose bras j'ai pensé à une sorte d'armoiries.

Alors que j'observais le trône un grognement se fit entendre. Un grognement ressemblant plus à un raclement de gorge, en me retournant j'ai vu que par les trous dans les murs rentraient des choses. Mon dieu des chose qui n'avaient rien de naturel et de normal. On aurait dit des chiens qui auraient à la place de la peau de la chaire sanglante et boursouflé. Ils avaient six pattes au lieu des quatre qu'on normalement les chiens et avaient deux longues et fines antennes de chaires sortant de leurs yeux et qui semblaient êtres des capteurs compilant tous les sens existants car les bêtes ont immédiatement dirigé celles-ci vers lui. Ils ont dévoilés leurs longues dents pointus implantés de façon anarchique dans leur bouche. J'ai a nouveau paniqué, leur apparence repoussante me dégoutait au plus haut point et les grognements qu'ils poussaient semblaient humains. Au moment où l'une de ces bêtes s'est approchée de moi, je me suis mis à hurler comme un animal espérant que ça les fasse fuir, mais rien, aucune réaction. J'ai alors soulevé une pierre de taille conséquente et l'ai jeté sur eux, la pierre écrasa l'arrière train d'une des bêtes. Celle-ci grogna, s'arracha de sa partie écrasée et continua à s'approcher de lui avec ses deux pattes restantes, trainant ses boyaux derrière lui. Mon estomac s'est retourné. J'étais paralysé, mes jambes refusaient de bouger, les bêtes se rapprochaient de moi. C'était finis pour moi, dans mon esprit j'étais déjà mort. L'un des monstres se jeta sur moi et je fermai les yeux par réflexe.

Il y eut un violent bruit comme si un tronçonneuse broyait quelque chose de mou. Je rouvris les yeux et vit la bête empalée sur ce qui semblait en effet être une lame de tronçonneuse. D'un violent coup la bête fut découpée en deux et je vis une jeune femme, d'une vingtaine d'année. Son teint pale été taché du sang du monstre et ses longs cheveux blond flottaient dans le vent. Elle portait un corset blanc par dessus un justaucorps bleu ciel et ses jambes recouvertes de bas rayé noir et blanc s'enfonçaient dans des bottes en cuir aux talon imposant. Elle fit voleter ce qui semblait être un mixte entre une épée et une tronçonneuse à travers la têtes des monstres qui furent déchiquetés sous les coup de sa danse de la mort. Une fois avoir finit de découper les créatures, elle s'est accroupit et a tiré une pince en métal de sa sacoche pour arracher les dents de ces bêtes. J'ai alors remarqué que ses bras était semblables à ceux d'une poupée de porcelaine.

Sortant de ma paralysie je pus enfin m'exprimer:

-M.. Merci de m'avoir sauvé, je.. J.. Qui es-tu ?

Elle me lança un regard et je vis ses yeux si particuliers, l'un était bleu foncé et l'autre doré brillant, ses deux iris étaient cernés de violet et juste en dessous sa bouche était d'une couleur cramoisie.

-Ce n'est pas moi qu'il faut remercier, remercies plutôt lui pour m'avoir prévenu.

Elle pointait du doigt un mur.

WONDERLAND; Story is Written in blood.On viuen les histories. Descobreix ara