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« C’est dans le côté obscur des choses, qu’on retrouve du bon. C’est dans le côté lumineux des choses, qu’on retrouve du mauvais. Il y a toujours un dévouement envers son opposé dans chaque chose.
-Ilona »

*Côté Ilona*

Je me réveille, en sursaut, en sueur, en haletant pour retrouvé de l’oxygène. J’ai fais un cauchemar sur mes traqueurs. Il arrive en courant, ayant entendu mon cris. Il s’approche de moi, s’arrêt et puis me caresse le front de sa tendre main, vérifiant que je ne fasse pas de la température. Il allume une lampe, et je le découvre en boxer. Je ne sais pas comment régir face à cette apparition soudaine de son corps. Il est musclé, pas de tatouage, même les tatouages lui donneraient une allure plus rebelle. Je suis presque entrain de fondre devant son corps, me rappelant enfin que j’étais en sous-vêtements. Je me cache, ce qui le fait rire. Son rire est en plus d’être contagieux, est magnifique. Je ne tiendrais pas longtemps dans ce fou rire, sans le bâillonner pour qu’il arrête de rire, me faisant légèrement rougir. Je ne suis pas habituée au contact des hommes, je rougis facilement parce qu’en plus, il est mignon, même à croqué. Je dois me ressaisir, j’ai des personnes qui me veulent du mal. Se serait dommage qu’un pauvre innocent souffre à cause de moi. On ne sait jamais se que cache réellement les personnes, si j’avais sue dans quoi je m’embraquais, j’aurais déguerpie instinctivement.

*Côté Niall*

Je savoure sa naïveté, on dirait encore une enfant, une enfant perdue, comme son âme, dans un champ de bataille, jonché de cadavre, sang partout, petit enfant cherchant après son père, avec son doudou dans les mains, cherchant son père pour qu’il lui raconte son histoire avant de s’endormir. C’est triste comme vision, mais c’est la vérité pour elle. J’ignore ce qui peut l’amenée à vouloir se jetée sous un train, enfin si il y a une autre raison, que moi, bien sûr. Je sais qu’elle veut se jetée sous un train, je lis dans son esprit comme dans un livre ouvert, mais certaines pages ont été arrachées et d’autres, avec le temps, l’écriture s’est effacée, et pour d’autres encore, la pluie de sa vie a mouillée les pages. Elle n’est pas si simple que ça, si déchiffrable, si accessible, si fragile, si dure. Elle humaine après tout, mais aussi un animal, elle ma proie, ma cible, dans le viseur de mon fusil de chasse qui n’est autre que moi aussi. Elle rougit, j’avoue que la situation est assez cocasse. Si quelqu’un entrerait, il se poserait quelques questions. Je suis en boxer, depuis, et elle, elle est en sous-vêtements, dans le canapé, sous une couverture. Je ne suis pas contre le fait de lui retirée sa couverture, j’aime bien les filles minces, mais elle n’a pas l’habitude des contacts avec les hommes. Je ne suis pourtant pas un de ces pervers, pédophiles, violeurs, drogués, alcooliques, fumeurs non plus, même si j’avoue que la pourchassée, m’excite. Elle a un visage enfantin, des fossettes malgré ses joues creuses. Elle est innocente, je le sais, mais je ne peux pas m’en empêché, elle doit payée, c’est tout, il n’y a pas d’autre choix. Je fus perturbé par sa question.

Elle : Tu aimerais fuir ?
Moi : Excuse-moi ?
Elle : Tu aimerais fuir ? Avec moi ?
Moi : Je n’ai pas envie de fuir, pourquoi tu as un problème ?
Elle : Non, ce n’est rien.
Moi : Tu peux me dire ?

Si elle le disait, elle serait morte avant demain. Elle ne sait pas le danger qu’elle court à l’instant.

Elle : Non, je n’ai rien dit, oubli.
Moi : Si, tu peux tout me dire, tu sais.

Je m’approche d’elle, m’assois sur le canapé, elle se redresse difficilement, je pose mes mains sur les siennes et la regarde dans les yeux. Elle ne sais pas quoi dire, si elle doit ou non, elle est assez confuse. J’approche mon visage du sien. Elle cligne des yeux et ses lèvres gigotté essayant de trouvé quelque chose à dire. Je ne sais pas ce qui me retient de ne pas l’embrassé immédiatement, sûrement mon objectif, de ne pas être amoureux, non plus et que je suis entrain de le devenir et fous amoureux en plus. Je me lance, je ne sais plus me retenir, je m’en fous de tombé amoureux pour le moment, c’est ses lèvres qui comptes. Je suis sous son emprise, dépendant d’elle depuis trop de longues années avant de pouvoir enfin touché son corps, si frêle, si fragile, si musclé par toute la route qu’elle a fait depuis sa naissance, si doux. Je l’aime, j’ai eu le coup de foudre, depuis que j’ai 6 ans pour elle. Cela fait plus de 12 ans, que je suis obsédé par elle, plus jamais je ne la lâcherais, même si il faudrait que je fuies ma famille pour elle, je le ferais, je suis prêt à tout, plus rien ne me séparera d’elle, sauf si elle m’aime pas. Je devrais alors m’y faire, mais je ne sais pas pourquoi, juste pour la faire souffrir, je l’obligerais à l’aimer, ou restée en ma compagnie, jusqu’à la fin de ses jours, sûrement en tant que ma servante, esclave, sur qui tapé quand j’ai besoin de me défoulé, la fille qui comblera mes manques de sexe. Elle n’aura pas d’autre choix que d’obéir. Je sais maltraiter les personnes, la preuve, je lui fais du mal, depuis que je l’ais vue. Elle a eue la malchance de tombée dans cette famille là. J’approche encore et encore mes lèvres des siennes, elle ne sait pas comment réagir. Je finis par scellés nos lèvres ensemble. Mes parents ne me surveille pas, j’ai 18 ans, ils ne s’occupent presque plus de moi. Ils m’ont achetés cette maison, et avec, comme mission, de la détruire, ce que je fais au moment-même. Elle y prend part, je déguste ce baiser, le meilleur de ma vie. Elle est née après moi, quelques mois après, je ressens tout ce que les autres appellent le vrai amour. Les jambes qui flageolent, les papillons dans le ventre, les frissons au touché, les entrailles en feu quand les lèvres entrent en contact et plein d’autre chose, que je ne serais décrire. Dans ma tête, c’est le tourbillon, tout se mélange, je ne contrôle plus rien. J’approche mon corps de plus en plus vers le sien, lui tenant toujours les mains. Son corps, je le sens, malgré la couverture, les frissons proviennent de mon échine et dévalant toute ma colonne vertébrale, je laisse mon corps bercé au rythme des battements de mon cœur fous et des frissons qui se propagent à en perdre l’haleine. Je ne contrôle plus mes gestes, je suis dans l’impuissance de mes sentiments. Je les ais gardé trop longtemps, trop longtemps sans pouvoir la frôlée, trop longtemps avant de pouvoir apprivoiser ses lèvres. Je suis en manque d’elle, comme un alcoolique qui n’a pas bu un verre de la journée, comme un fumeur qui n’a pas touché une cigarette, comme un drogué qui n’a pas planté une seringue dans sa peau de la journée. Je suis accro à elle, pire que de la drogue, pourtant j’en ais déjà pris, mais c’était tellement moins fort qu’elle. Tellement moins dangereux. Je suis peut-être psychédélique mais je l’aime, d’un amour fou et inconsidéré, depuis la première fois que j’ai bannis pour regard sur son doux visage. L’attirance, même dans un enfant de 6 ans, peut-être plus fort que celui de n’importe quel adulte, aussi plus étonnant mais plus réel. Je l’aime depuis le premier regard, un coup de foudre direct, infaillible comme dans Titanic. Je ne suis pas stupide non plus, je ne croyais pas en l’amour, jusqu’à ce que mes lèvres enfreignirent les règles de la distance pour s’accommodé de prendre possession des siennes. Je l’aurais j’en suis sûr. Je n’arrive plus à respiré, je retire mes lèvres des siennes, avec un petit bruit, comme collant. Elle me regarde les yeux grands ouverts, perturbée par ce baiser. Je dois lui avouer la vérité, sinon, je la perdrais quand elle l’apprendra, parce qu’un jour, elle le saura, il vaudrait mieux de ma bouche maintenant, que de quelqu’un d’autre plus tard. Je vais lui dire maintenant, ou quand je me saurais remis de ce baiser parfait, le meilleur. Je croyais qu’elle ne savait pas embrassé, et je me trompais royalement. Nos langues avaient mêmes partagées un bal fructueux et épicé. Je ne dirais pas non pour un autre échange de baiser et de langue, j’irais même plus loin, lui retire ses sous-vêtements. Elle est méfiante, je le vois, j’essaye de la rassurée en lui disant des mots doux à l’oreille. Elle se calme, elle me regarde plus normalement mais toujours avec méfiance et peur, dans le fond de ses orbes magnifiques. Je caresse sa joue, de mon majeure et index droit, juste le bout de mes doigts, côtés ongles. La délicatesse de mon geste, lui retire une petit vague de peur. Elle est plus à l’aise, elle prend confiance. Je ne veux pas gâché ce moment, surtout qu’elle commence à me faire confiance, en lui disant, qui je suis, que je suis son putain de traqueur qui la fait souffrir depuis des années, que j’ai eu ce maudit coup de foudre à 6 piges. Je ne veux pas qu’elle sache que j’ai failli faire de la tôle, que j’ai failli croupir en prison pour un attentat au viol. J’étais juste bourré, pour décompresser un peu, de lui courir après, comme un chien après sa balle. Je vais me taire et lui dire tout à l’heure, je dois garder encore un se secret pour gagné d’abord toute sa confiance, je dois toujours la faire souffrir.

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