Miss Price...

Chapitre 28

Bonjour à toutes et à tous ! Voici le nouveau chapitre qui, encore une fois n'est pas en retard! Il est même bien en avance d'ailleurs! N'hésitez pas à voter ça me fait plaisir, et surtout à commenter et laisser vos avis c'est un plaisir pour moi d'y répondre (et c'est un plaisir de les recevoir, c'est tellement encourageant)! Bonne lecture à vous !
Merci beaucoup pour vos retour sur le dernier chapitre, merci d'être encore aussi nombreux après cette longue attente vous êtes tou(te)s adorables ! Full Love !! ❤
PS : Je voulais vous faire un petit cadeau pour mon anniversaire alors je me suis empressée d'écrire ce chapitre. Le prochain chapitre de Ma Nébuleuse est à moitié écrit je vous promets de le mettre demain ou après demain mais je voulais à tout prix écrire ce dernier ! ! Je vous aimes tous ! ( si tu as lu entièrement jusqu'ici je t'aime un peu plus que les autres )

PS²: CE CHAPITRE CONTIENT UN PASSAGE PLUTOT... COMMENT DIRE... CHAUD?... Alors, - de 16 ans ce n'est pas à moi de vous dire ce que vous devez faire mais j'aurais prévenu. Ça faisait plusieurs fois qu'on me le demandait alors le voilà ce fameux passage...
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-Pdv d'Emma-
Je me reveille doucement ne sentant plus aucun corps contre le mien, je glisse ma main sur l'autre côté du lit qui était presque froid. Je viens attraper mon téléphone, il était midi, évidemment Price ne serait pas restée au lit aussi longtemps. Je me lève doucement dans l'obscurité de la chambre, j'en profite pour entrouvrir les stores puis sort jusqu'au salon.
Ma professeure est assise en tailleur sur le canapé entourée de dossier, se tenant la tête entre les mains. Elle n'est toujours pas habillée, je profite de sa concentration pour l'observer, ses boucles brunes glissant contre son visage.
- Volkov si tu crois que je ne sens pas ton regard sur moi tu te trompes.
Sa réponse me fait sourire, j'avance vers elle, elle tourne la tête vers moi.
- À quelle heure est-ce que tu t'es levée ?
- Il y a une heure environ, je me suis réveillée avant mais...
- Mais ?
Elle retourne le regard vers ses dossiers en marmonnant.
-Je n'avais pas envie de sortir du lit.
Je viens m'asseoir sur la partie restante du canapé, évitant les fiches éparpillées.
- Je croyais que le sommeil était surfait ?
Elle me lance un regard noir.
-Il l'est.
Elle relâche les dossiers dans ses mains sur la table basse et se lève d'un coup.
-J'ai besoin d'une pause, ça fait 3 jours que je suis sur ses dossiers.
- J'ai cours à 15h, mais il faut que je te parle de quelque chose avant...
Elle se tourne vers moi.
- Dis-moi...
- Gregorovitch... Il a laissé quelque chose devant ma porte...
Je me lève et part chercher les clefs dans mon sac, je lui tends directement... Après une rapide analyse.
- C'est une blague Emma ?! Pourquoi tu me l'as pas dit plus tôt ! Il aurait pu directement venir ici et se planquer pour nous attendre !
- Je suis désolée j'avais complètement oublié avec tout ça...
- Bon habille-toi on va devoir aller voir Elena au bureau, elle va mettre en surveillance toutes les habitations sur ce trousseau.
Visiblement la journée était loin d'être de tout repos...

Nous rentrons dans son appartement après être passé à son bureau, ses mains viennent se poser sur mes hanches. Je me retourne pour lui faire face, ses lèvres viennes se précipiter contre les miennes, son corps se colle contre le mien, difficile de réprimer les sensations grisantes que cela me procure. Sa langue vient glisser sur ma lèvre inférieure avant de la mordre assez fortement, un léger goût métallique se glisse dans ma bouche tandis que la jolie brune vient lécher la blessure.
Ses mains glissent rapidement sous mon pull tandis que ses lèvres dérivent contre mon cou.
- Regina... J'ai cours...
J'entends un léger grognement.
- Quel cours ?
J'inspire un grand coup.
- Méthodologie.
Elle relève la tête pour mieux m'observer tout en me défiant du regard, ses yeux noirs de désir me laisse sans réponse.
- Je peux te l'apprendre la méthodologie Emma... Je meurs d'envie de toi...
Sa voix est légèrement plus grave que habituellement, je me meurs... Comment voudrez vous que je lui résiste après ça, je dépose les armes...
Ses lèvres reviennent au creu de mon coeur, ses incisives viennent taquiner ma peau tandis que ses mains me retire ma veste qui tombe au sol, rapidement suivi de mon pull... Je lui retire également sa veste d'un geste brusque, elle vient me regarder dans les yeux surprise. Je crois avoir trouver un point sensible ici. Je l'attrape par les hanches et vient la coller contre le mur tout en l'embrassant, ma cuisse vient glisser entre les siennes tandis que mes mains remonte sur son chemisier. Je m'empresse d'essayer de le déboutonner mais j'abandonne au bout du deuxième, préférant tout arracher d'un coup, je la sens gémir dans notre baiser, je ne peux m'empêcher de sourire.
Je viens glisser ma main dans ses cheveux les agrippant un peu plus fort au passage tout en venant coller ma peau contre la sienne. Mes lèvres relâche les siennes pour venir contre son cou.
-Emma....
J'avais eu droit à bien des choses de la part de ma professeure, mais pas encore celle là... Ma main droite glisse le long de ses côtes avant de trouver ma fermeture de sa jupe, je relève la tête pour la regarder dans les yeux...
- Je peux ?
Elle est juste merveilleuse, les joues légèrement rouge, la tête rejetée en arrière contre le mur, ses yeux viennent plonger dans les miens.
- Je te laisse me faire tout ce que tu voudras, je consens à tout sauf si je te demande d'arrêter...
Un large sourire vient se placer sur mes lèvres.
- Bien, alors à partir de maintenant, c'est moi qui contrôle.
Je viens reposer mes lèvres sur sa clavicule tandis que je retire sa jupe qui glisse le long de ses jambes. Je jette un œil à la déesse contre moi qui se retrouve en sous-vêtements et porte jarretelles noirs. Je retiens un grognement presque animal de s'échapper de mes lèvres...
Ma main relâche lentement ses cheveux et vient glisser au creux de ses reins puis contre une de ses fesses, l'agrippant au passage tandis que je viens laisser une marque au creu de son cou. Un grognement se fait entendre, mais cette fois si, il ne vient pas de moi.
Sa cuisse remonte contre ma hanche tandis que la mienne se colle entre ses jambes lui arrachant un gémissement. Ses mains qui étaient auparavant accrocher à mes épaules viennent planter leurs ongles dans ma peau.